Le stationnement ne se fait plus suivant un calendrier comme le stipule la réglementation du code de la route. Il est vrai que conjoncturellement le véhicule défaillant est immobilisé par le fameux « sabot » et c'est jouer au chat et à la souris. Les scènes vécues chaque jour, chaque semaine, chaque mois et durant toute l'année interpellent toutes les autorités et responsables concernés car s'agissant d'un chef-lieu de wilaya qui a été dans un passé pas lointain le paradis du tourisme, de la propreté, de l'ordre et de la sécurité. Les temps ont changé et les autorités directement concernées à savoir l'APC et la direction du transport avec leur armada de cadres ne donnent plus l'impression de vouloir s'attaquer au mal qui ronge une si belle cité millénaire : le désordre et l'anarchie, populisme oblige.