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Souffrances Africaines
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 11 - 07 - 2019


Livres
Une odyssée africaine. Le drame de la migration clandestine. Roman de Amèle El Mahdi. Casbah Editions, Alger 2018, 172 pages, 800 dinars.
L'histoire de quatre migrants subsahariens : Rabiou, Afi, Théodore, Pascal... et d'autres et d'autres. Venant de presque tous les pays du sud du Sahara : Congo, Niger, Cameroun Nigéria, Mali, Burkina, Guinée...On aura, aussi, l'histoire de Patrick, celle de Néné et de sa petite Elikya cherchant à rejoindre, on ne sait où (Alger ?) , l'époux et père, la «doctoresse» Marie , une aide-soignante faisant face à deux mille passagers d'un bateau tenant à peine sur l'eau du fleuve Congo et au moteur faisant des siennes.
L'histoire, aussi, de lieux pour certains, maudits, désormais connus mondialement : Zinder, Agadez, Arlit (la poussiéreuse et misérable, lieu de trafics de tous genres, point de transit de tous les migrants vers l'Algérie), In Guezzam, l'Ahaggar, Tam... et, enfin, Alger (et son camp, l'Afrika Town, entre Baba Ali et Semmar) pour les plus chanceux. Toutes ces personnes ont décidé, un jour, de quitter leur pays pour aller vivre sous d'autres cieux. Non pour le plaisir de la découverte du monde mais seulement pour s'extirper d'une misère sans nom et d'un avenir qui n'existe pas. Réaliser un rêve (des études ou du travail permanent permettant d'aider, par la suite, la famille «abandonnée»...), ne plus subir la dictature d'une nature ingrate, la dictature de pouvoirs répressifs ou la pressin d'une société bloquée par l'intolérance... La migration, l'exil, la harga... A chacun son mot.
Pour atteindre l' «Eden», l'Europe si fantasmée, la route est bien longue, bien dure et parsemée d'embûches; les plus douloureuses étant celles dressées par les autres hommes des régions traversées, toujours, dans la clandestinité et la peur d'être pris, d'être emprisonné puis refoulé: Des traversées (du fleuve Congo par exemple) hasardeuses, des passeurs insatiables, les abandons en plein désert, des brigands qui dépouillent les passagers de leurs maigres fortunes, des autorités implacables , des voleurs et des violeurs (qui ne font pas de différence d'âge ou de genre), des marchands de sommeil, des esclavagistes aussi, des exploiteurs de main- d'œuvre à bon marché... avec, heureusement, quelques (rares) hommes de cœur et de bien.
Sahara, Libye, Algérie, Maroc... nos «héros» vont tout connaître, tout subir... la femme, belle et seule de surcroît, subissant, bien sûr, les assauts les plus sauvages...
Afi mettra onze années pour arriver au Maroc... et y restera avec bien d'autres, rêvant de Mellila, si proche et si inaccessible derrière un mur infrachissable. Afi avait vingt-et-un ans lorsqu'elle avait quitté Kinsasha. Recueillie par l'église évangélique de la ville de Fès, elle créera une petite entreprise fabriquant des objets en cuir à vendre aux touristes. Rabiou, lui, est revenu en Algérie, à Tamanrasset, vivant (et faisant vivre ses enfants scolarisés à In Gall) de son métier de tailleur. Pascal est toujours à Gourougou à attendre la prochaine descente pour tenter d'entrer en Europe.Théodore (l' «intello» , le meneur d'hommes rêvant de «sauver son pays»), fuyant Zinder (après des émeutes qui avaient ciblé la communauté chrétienne), encore étudiant à l'Université, est mort quelque part en Libye et sa dépouille n'a jamais pu être récupérée.
L'Auteure : Professeur de maths'. Déjà plusieurs ouvrages dont deux romans ( «La belle et le poète» consacré à Abdallah Ben Kriou et «Tin Hinan, ma reine»), un conte fantastique et un livre de contes pour enfants, «Les belles histoires de grand-mère».
Extraits : «Comment croyiez vous que l'on arrive à survivre lorsque la souffrance et la misère vous accompagnen,t votre vie durant, et que seule la mort est susceptible de vous en libérer ? Comment croyez-vous que l'on puisse survivre lorsque de toute son existence on n'a pas vécu un seul jour de paix ? Lorsqu'on ignore ce qu'est manger à sa faim. Lorsque dormir le ventre vide devient plus qu'une habitude , une coutume.» (p 51), «Il est vain et illusoire de vouloir interdire aux hommes de se déplacer à leur guise sur la terre de Dieu, ces hommes qui ont de tout temps éprouvé le besoin irrésistible de découvrir le monde pour le connaître et se connaître, qui ont toujours ressenti ce désir éperdu, propre à leur race, d'un lendemain meilleur et qui ont constamment eu cette envie irrépressible d'aller au-delà des frontières et, malgré les dangers, appréhender l'ailleurs» (p 171) .
Avis : 172 pages d'émotion... Un roman de la vraie vie... de la misère du monde... un monde si près, si loin. Un monde qui nous concerne. Directement. Un roman qui se lit d'un seul trait, comme si on avait envie de vite se sortir d'une histoire tellement douloureuse, si bouleversante.... et culpabilisante. Après l'avoir lu, vous ne verrez plus du même œil l' «étranger». Plus compréhensif, plus proche... plus humain ? On l'espère.
Citations : «Si le silence est quelquefois d'or, bien souvent il est lâcheté, hypocrisie et trahison» (p 11), «On pense à tort que la corruption et la prospérité vont de pair, en vérité la corruption se complaît dans l'opulence aussi bien que dans le dénuement, seule la valeur et la nature des pots de vin diffèrent» (p 30), «Seuls les riches peuvent se permettre de se lamenter sur leur propre sort, les pauvres , eux, n' en ont pas les moyens» (p 33), «Celui qui ne respecte pas sa parole et ne tient pas une promesse donnée est quelqu'un de bien méprisable» (p 91), «L'Homme ne connaîtra le bonheur sur terre que le jour où il n'éprouvera plus le besoin de dresser des murs, car ce jour-là il aura vaincu la vanité, la haine et la peur qui l'ont toujours habité et poussé à rejeter l'autre, son semblable, son frère» (p 134), «La haine pourvue d'uniforme et d'insigne ne recule devant rien, elle ne s'embarrasse ni de scrupules, ni de lois, ni de morale. Dotée de pouvoir, elle révèle ce qu'il y a de plus vil en nous, et met à jour ce que nous tentons de cacher sous des termes vides et pompeux comme civilisation et humanité, notre bestilaité ( p 139)
AU FIL DES JOURS :
ACTUALITES
1. Vision politique d'un autocrate... vision rédigée , dit-on, par un «intellectuel récupéré» (la chair est vive et la vie est chère !... la belle excuse) qui avait mis son talent (indéniable) au service du «clan»
Extrait(s):
-93ème session de la Conférence internationale du Travail du Bit, tenue à Genève, Abdelaziz Boutfelika, alors président de la République a prononcé un discours le mardi 7 juin 2005, discours dans lequel il a présenté sa vision du processus démocratique en Algérie : «Les émeutes d'octobre 1988 ne sont pas une révolution démocratique parce que la société algérienne ne considérait pas l'hégémonie de l'Etat-Parti unanimiste et autoritaire comme totalitaire et despotique.... A. Bouteflika (plutôt son porte-plume) dégage quatre «grands moments» dans l'expérience démocratique en Algérie:
Le premier «peut être qualifié de période de centrifugation généralisée et de ressac du populisme...marquée par une effervescence associative et politique faite le plus souvent de libertarisme contestataire et festif qui s'avère incapable de générer des organisations à même de prendre en charge l'expérience démocratique».....
Le deuxième moment «peut être caractérisé par l'inflexion de la tendance centrale de la société algérienne, face à la montée des périls, principalement de la terrible déferlante terroriste et à la gestion drastique de la crise financière».... C'est une période de souffrances extrêmes... (ndlr : sic !)
La société algérienne vit, à l'heure actuelle, le troisième moment de son expérience démocratique: émergence d'un pluralisme politique et d'un redéploiement économique...
Elle s'apprête, aujourd'hui, à aborder le quatrième moment de son expérience démocratique, «celui de la réconciliation nationale qui, pour l'essentiel, consiste à passer de la «démocratie-structure» à une «démocratie-valeur»... «(ndlr : re-sic !)
Ndlr : Il n'a pas vu (ou on n'a pas voulu lui faire voir) venir la quatrième vague, celle qui allait l'emporter et tout son régime (et le système !) avec.
- Dimanche 16 avril 2006, à l'ouverture des travaux du Colloque sur «la démocratie en Algérie : réalités et perspectives», organisé à Constantine par la Fondation Ibn Badis, A.Bouteflika prononce un discours: Pour lui, «la démocratie n'est pas une religion. Pour nous, en tout cas, elle n'est pas la valeur suprême»
- Mercredi 21 décembre 2011 dans son discours à l'ouverture de l'année judiciaire 2011-2012: «Tout un chacun sera soumis au contrôle de la Justice et devra, par conséquent, se plier à ses décisions dans tout ce qui a trait aux échéances nationales ou à l'exercice d'un des droits politiques ou autres», a-t-il dit, martelant encore que l'administration n'était pas exempte de ce contrôle ni de l'obligation de conformer aux décisions de la Justice.»Tous les droits, libertés, autorités et prérogatives seront exercés dans le strict respect de la loi et sous le contrôle de la Justice», a insisté le chef de l'Etat.
Ndlr : Tu parles, Charles !
2. En ce moment, lors des marches du Vendredi, la presse et les journalistes sont critiqués voire même insultés et menacés... parfois traités de «traîtres» et de «mercenaires». Certes, bien des reproches peuvent être faits, mais la généralisation abusive est intolérable après tout ce que la presse a, par le passé (lointain et récent), accompli comme prouesses, subi comme répressions et accepté comme sacrifices. On a déjà oublié les assassinés de la décennie rouge, les procès et les emprisonnements, la ruine organisée de titres... Tous oublieux que la presse nationale, désormais et depuis 90, n'est plus une. Comme l'Algérie. Elle est diverse et plurielle. Du bon et du mauvais. Dans le secteur public et dans le secteur privé. Hélas, depuis 1999 tout particulièrement, elle a été méprisée par les pouvoirs, manipulée par les «services», infiltrée par l'affairisme... C'est d'ailleurs le secteur le moins réglementé. Toujours avec des textes d'encadrement (exemples des lois relatives à l'Information et à l'Audiovisuel) mais rarement sinon jamais, avec les textes d'application, laissant ainsi un libre jeu (toujours malsain) en faveur des Autorités. Cela date du milieu des années 90 avec un «art» consommé de la démocrature avec Bouteflika et Cie. Ils en ont rajouté une couche en laissant «fleurir», entre autres, un audiovisuel off-shore dont on ne sait plus quoi faire et qui fait ce qu' «on» lui dit de faire. Le drame, c'est que le peuple qui insulte aujourd'hui les journalistes est à peu près le même que celui qui encensait, hier à peine, les chaînes off-shore et consommait à profusion les titres de presse «jaunes».
Tout cela dit sauf... sauf si les attaques actuelles contre la presse et les journalistes sont produits et clamés par ceux-là mêmes qui, au début des années 90, durant la décennie rouge, ont assassiné (ou poussé à l'assassinat) les journalistes qui dénonçaient leurs crimes.
Et, ne pas perdre de vue que la seule vraie sanction contre une presse et un journaliste dit(s) ou supposé(s) «traître (s)» , c'est de ne pas l'acheter, ne pas lire, ne pas regarder (la télévision) , ne pas lui donner de la publicité... bref, le boycotter. Ceci dit pour ne pas retomber dans une autre dictature... celle des mini-foules partisanes... infiltrées dans le Hirak.
3/ Encore des responsables qui ont totalement raté l'occasion de se taire... Un premier (un «ministre»... sur «facebook» le nouveau Journal officiel) qui, dans une dynamique toute «hirakienne» veut lancer un «sondage» pour savoir s'il faut oui ou non renforcer l'utilisation de l'anglais dans l'enseignement supérieur. Une question incongrue quand on sait que l'Université est (ou aurait dû l'être depuis fort longtemps) ouverte, dans toutes les disciplines, à toutes les langues du monde dont on en a besoin. Je me souviens, en 1964, en première année de l'Ecole de journalisme, section francophone, il y avait des cours d'anglais, de terminologie arabe, de russe, d'espagnol et d'italien. Au choix sauf pour l'arabe, obligatoire. Un second (encore un «ministre») pour avoir évoqué l'utilisation de l'anglais dans la formation sans préciser sa pensée profonde qui consistait, je suppose, à insister sur l'apprentissage des langues vivantes permettant une meilleure intégration dans le monde moderne. Comme s'il n'y avait pas déjà assez de problèmes avec le français (qui se perd), l'arabe (qui patauge) et le tamazight (qui reste ignoré). Pourquoi pas le chinois ou le russe ou l'italien ou le turc, langues de nos plus grands partenaires industriels et commerciaux, tant qu'on y est. De la démagogie ? de la précipitation ? de la fuite en avant ? ou tout simplement de l'« incompétence» à gérer les affaires d'Etat.
CITATIONS
-Dans notre pays, chaque époque et chaque régime inventaient leur propre terminologie pour désigner leurs partisans ou leurs adversaires (Belkhodja Khadidja, «Amar Belkhodja. L'arpenteur de la mémoire». Récit © Editions Alpha, Alger 2015)
-Le succès vous propulse au rang de Vip. On vous flatte, on vous courtise... Une fois élu, on commence à vouloir cumuler les mandats.... On devient, en réalité, un véritable dictateur pour soi-même (Smain, «Je reviens me chercher». Essai © Editions Michel Lafon, Neuilly sur Seine/France , 2011 )
- J'avais tout, je savais tout, ou du moins je croyais ! Ce que je ne savais pas de cette vie, c'est qu'il suffit d'un jour, d'un instant, d'une seconde, pour que toute une existence soit dévorée (Farida Sellal, «Farès». Récit © Casbah Editions, 2007, 2è édition)
ARCHIVE BRÛLANTE
Jeudi 26 décembre 2013 :
Par Brahim Taouchichet, in «Le Soir d'Algérie».
Contribution de Abdelaziz Rahabi, ancien ministre : Extrait :
Q : «Pour avoir fait partie de son gouvernement, quel a été votre rapport à Bouteflika ? Autoritariste pour certains, d'une grande intelligence pour d'autres...
R : Un homme-pouvoir qui n'entreprend aucune action si elle ne renforce pas son pouvoir. Il a gouverné en marge des institutions parce qu'il estimait qu'il avait une relation sacrée avec son peuple et n'avait pas de compte à rendre. Il était séduit par le modèle des pays du Golfe et ne croyait pas en la démocratie en ce qu'elle met le chef de l'Etat sous le contrôle des élus et sous l'autorité de la loi. Ceci explique son aversion pour la liberté d'expression. Il pense que sa forme de gouvernement correspond à la mentalité algérienne et c'est là qu'il a fait sa plus grosse erreur d'appréciation car le peuple attend de ses dirigeants qu'ils aient de l'ambition pour leur pays pas seulement pour eux-mêmes. De ce point de vue, il est tout le contraire de Zeroual»


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