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Publication. Deuxième roman de Ali Hadjaz : Silence, ou l'amour impossible des mariages mixtes
Publié dans El Watan le 01 - 12 - 2018

Après La vie des anges, un roman psychologique paru en 2005 aux éditions Edilivre, l'écrivain Ali Hadjaz, retraité de l'éducation nationale, vient de publier aux éditions Identité son deuxième roman intitulé Silence, dans la même veine que son premier ouvrage.
C'est une histoire d'amour entre un Algérien et une Française et dans laquelle l'auteur évoque aussi la Kabylie durant les années de feu et de sang qu'a vécues l'Algérie pendant la décennie noire. Pitch du roman : «Divorcée de son mari, Michel, Sylvie se lance alors à cœur perdu à la reconquête de son premier amour, Kaci.
Elle veut tenter une deuxième chance, pourquoi pas ? Elle va vivre une expérience de lévitation ardente, enivrante. Mais Kaci va-t-il brûler tous les vaisseaux et se laisser transporter dans cette aventure vers une destination inconnue», lit-on sur la quatrième de couverture de ce récit poignant de grande actualité. Malika Rabahi note dans la préface que la dernière partie de ce livre est une forme de spéléologie dans les profondeurs de l'être humain, qui recherche désespérément comment refaire surface après s'y être engouffré par amour.
«Ali Hadjaz, pour son deuxième roman, s'essaie à un exercice presque périlleux, oserai-je dire, de se mettre à la place d'une femme, étrangère de surcroît. C'est une gymnastique intéressante et surtout originale. L'homme qui est en lui s'est féminisé le temps d'un roman. Il décrit d'une manière simple les travers et les tourments de cet homme de Kabylie pris entre deux cultures : l'occidentale grisante, libérale et si attrayante pour tout blédard, et la culture kabyle, engoncée dans ses tabous et tous ses paradoxes.
C'est une histoire simple et contemporaine, où se retrouveront beaucoup de personnes des deux rives», décrypte l'auteur de la préface. Né à Tizi Ouzou le 31 décembre 1963, Ali Hadjaz est un retraité du secteur de l'éducation nationale. Il fait ses premières armes artistiques dans l'audiovisuel.
Il rafle le premier le prix de l'Olivier d'or en tant que réalisateur à la 5e édition du Festival du film amazigh, à Ghardaïa (2005) pour son documentaire I Kecc d acu i txedmed ? (Qu'as-tu fait de tes 20 ans ?).
La maison d'édition Edilive, où est publié son premier roman, La vie des anges, présente Ali Hadjaz comme «un pont entre les deux rives de la Méditerranée», ajoutant que «le travail littéraire qu'il fournit est une source de découverte et de passion qui contribue au développement et au maintien des bonnes relations entre les Français et les Algériens».


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