Une réflexion est en cours d'étude au niveau du ministère des Travaux publics afin de trouver des solutions au manque de main-d'œuvre sur les chantiers. « C'est une contrainte qui a retardé les projets. Nos jeunes ne veulent pas travailler après 16 h, soit parce qu'ils sont aisés ou par ce qu'ils n'aiment pas travailler. Nous nous penchons sur cette question et nous trouverons des solutions très prochainement », a-t-il indiqué.