Le ministre de la Communication, Hamid Grine, est revenu sur la note adressée, il y a quelques jours, aux chaînes de télévision privées où il leur a été demandé de revoir les programmes qui comportent des scènes appelant à la violence et qui n'ont aucune relation avec les valeurs de la société algérienne. « Leur liberté s'arrête là où commence celle des autres », a affirmé le ministre en marge de la clôture de la session de printemps du Parlement. Il a rappelé que « la liberté à laquelle son département croit est celle qui tient compte de la déontologie, de la conscience professionnelle et du respect ». Il a relevé, à ce titre, que « certains programmes des chaînes de télévision privées ne respectent pas la déontologie ».