Enigme - Un vaisseau spatial de type ovni s'est-il écrasé avec ses occupants en Chine, voilà plusieurs milliers d'années ? C'est ce que beaucoup pensent dans le milieu de l'ufologie, et estiment que les Dropas en sont les descendants. En effet, ce peuple mystérieux et discret se serait adapté à ses nouvelles conditions de vie sur Terre, et vivrait depuis plusieurs générations sur la planète Bleue... Enquête sur l'une des énigmes extraterrestres les plus passionnantes concernant ces visiteurs de l'étrange. L'histoire est longtemps tenue secrète. «De très anciennes légendes chinoises font d'ailleurs référence à un peuple de petits hommes jaunes venus des nuages avec des têtes si grosses et si horribles qu'ils étaient pourchassés et tués.» Parlent-elles des Dropas ? La Chine n'a ouvert ses frontières qu'il y a peu de temps ; peut-être est-ce cela qui explique l'absence d'enquête approfondie sur les Dropas. N'oublions pas qu'après l'étrange catastrophe de Tunguska en Sibérie au début du siècle précédent, la première expédition mis plus de 25 ans à se rendre sur place ! Il y a des endroits sur Terre où les investigations sont plus difficiles à réaliser... Mais plusieurs éléments concrets peuvent néanmoins nous être utiles pour tenter de répondre à cette fascinante question : le peuple des Dropas est-il issu d'une race extraterrestre qui se serait acclimatée à la vie sur Terre ? L'histoire des Dropas est portée au public en 1938, lorsqu'une équipe d'archéologues chinois découvre dans des cavernes de l'Himalaya situées près de la frontière entre la Chine et le Tibet un ensemble de tombeaux creusés dans la roche. De curieux motifs parsèment la galerie : étoiles, planètes liées entre elles par un complexe réseau de lignes, et surtout la représentation de petits êtres coiffés d'un casque... des dessins datées de 12000 ans. L'analyse de l'intérieur des tombes achève de stupéfier les archéologues : les squelettes retrouvés sont très petits et frêles (1 mètre de haut en moyenne), avec un crâne exagérément gros. Plusieurs cavernes étaient, par ailleurs, artificielles et reliées entre elles ; les parois semblaient comme lissées ou polies par un étrange outil qui aurait dégagé une chaleur extrême. L'expédition de scientifiques fit également la découverte d'un objet en forme de spirale qui, selon leurs dires, ressemblait curieusement à un «33 tours préhistorique». Le disque, qui présentait un trou en son centre, était rempli de caractères indéchiffrables et de symboles stellaires. Bien vite, on compris l'importance de cet artefact, et plusieurs «perceurs de codes» s'acharnèrent pendant des années à tenter de déchiffrer cette écriture inconnue. Envoyé à l'Académie des études préhistoriques de Pékin, le disque fut en effet confié à plusieurs experts, mais ce n'est qu'au bout de 20 années de recherche que le docteur Tsum Um Nui put donner un sens aux caractères présents sur sa surface. Mais les conclusions de son travail étaient tellement édifiantes qu'on lui interdit pendant 2 ans de publier quoi que ce soit sur le sujet. En 1962, le linguiste chinois informe le public de son déchiffrage, cela lui vaudra la disgrâce et les moqueries de ses collègues. Selon lui, le disque parle d'un groupe d'êtres à bord d'une «sonde spatiale» qui se serait écrasée sur Terre il y a 12000 ans dans les montagnes de Baya Kara Ula. La suite du récit est également très surprenante : les survivants se firent décimer par le groupe de chasseurs préhistoriques qui habitaient les grottes à l'époque. L'apparence des «visiteurs», corps maigre et grosse tête, ne revenait pas du tout à ces humains, dérangés par cette intrusion intempestive de leur territoire. Les entités, à force de patience et de douceur, finirent, malgré tout, par faire comprendre leurs intentions pacifistes et furent «tolérées» au bout de quelque temps.