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Suspense : Un cri dans la nuit 142e partie
Publié dans Info Soir le 29 - 11 - 2016

Résumé de la 141e partie n Le «apparemment» était délibéré. Jenny aurait pu jurer que Mme Hanover était chez elle lorsqu'elle avait appelé.
On ne fait pas de telles allusions sans être sûr de soi, pensa Jenny.
Elle s'efforça de prendre l'air désinvolte. «Eh bien,docteur Garrett, que pensez-vous de mon fils ? Gagnera-t-il un prix à la fête du comté ?
— Un vrai pur-sang», répliqua Mark. Sa voix trahissait quelque chose. Une inquiétude ? De la pitié ? Etait-ilcomme elle sensible à l'aspect si chétif du bébé ?
Elle en était sûre.
Rooney se montra une nurse accomplie. Elle aimait par-dessus tout donner son biberon complémentaire au bébé après que Jenny l'eut nourri au sein. Ou bien elle lisait une histoire aux fillettes une fois le nouveau-né endormi.
Jenny apprécia cette aide. Le bébé l'inquiétait. Il dormait trop, il était trop pâle. Ses yeux commençaient à fixer les mouvements. Ils seraient grands et légèrement en amande, comme ceux d'Erich. Ils avaient une couleur bleu de Chine pour l'instant. «Mais je suis certaine d'y voir des points verts. Je parie qu'il aura les yeux de ta mère, Erich. Tu serais content ?
— Très content.»
Il déménagea le lit à baldaquin vers le mur orienté au sud. Elle laissa la cloison ouverte entre la chambre principale et la petite pièce. Jenny pouvait ainsi entendre chaque bruit que faisait le bébé dans son moïse.
Erich n'avait pas réintégré leur chambre.
«Tu as encore besoin de te reposer, Jenny.
— Tu peux venir dormir avec moi. Cela me ferait plaisir.
— Pas encore.»
Elle préférait cela, au fond. Le bébé occupait toutes ses pensées. Il avait perdu cent quatre-vingts grammes à la fin du premier mois. Le pédiatre prit l'air grave. «Nous allons augmenter la dose dans le biberon. Je crains que votre lait ne soit pas assez nourrissant pour lui. Mangez-vous correctement ? Quelque chose vous tourmente-t-il ? Souvenez-vous qu'une mère détendue rend un bébé plus heureux.»
Elle se força à manger, à grignoter, à boire des verres de milk-shakes. Le bébé commençait toujours par têter avec avidité, puis il se fatiguait et s'endormait. Elle en parla au médecin.
«Il serait préférable de faire des analyses.»
Le bébé resta trois jours à l'hôpital. Elle dormit dans une pièce près de la nurserie. «Ne te fais pas de soucispour mes filles, Jenny, je m'occuperai d'elles.
— Je sais, Erich.»
Elle vécut pour les instants où elle tenait l'enfant dans ses bras.
L'une des valves cardiaques était déficiente. «Il faudra sans doute l'opérer plus tard, mais on ne peut pas enprendre le risque tout de suite.»
Elle se souvint de la malédiction de Maude Eckers. «Dieu maudisse l'enfant que vous portez.» Ses bras se refermèrent autour du nouveau-né endormi.
A suivre
Mary Higgins Clark
tragédies D'hier et d'aujourd'hui : Evacuation d'urgence mortelle ! 15e partie et fin
Résumé de la 14e partie n Augmenter la largeur du passage à 76 centimètres facilite grandement la circulation.
Et installer des bandes lumineuses au sol visibles même en cas de fumée pour guider les passagers vers les sorties sont les principales recommandations de l'experte. Mais la psychologue découvre un autre moyen d'améliorer la sécurité sans modifier la cabine. Elle étudie le comportement du personnel de bord et découvre que les passagers sortent bien plus vite si le personnel se montre sûr de lui. «Il ne faut pas que chaque individu prenne une décision. Les gens doivent faire exactement ce que le personnel de bord ou la procédure ordonne. Il ne faut pas qu'ils hésitent. Surtout à la porte» indique la spécialiste. Ses recherches incitent les avionneurs à redessiner les cabines pour les rendre plus sûres. Mais un appareil de sécurité prête toujours à controverse : le masque à gaz. D'après l'un des experts, il devrait être obligatoire à bord de tous les vols commerciaux. «Cela ne fait aucun doute, aucun», indique-t-il. Pourtant, Hélène Mur, se montre un peu plus circonspecte. Elle a étudié l'effet de cet accessoire sur le comportement et craint qu'il ne perturbe l'évacuation. «On n'a qu'une minute trente à deux minutes pour évacuer tout le monde. Donc il ne faut pas que les gens aient quelque chose de difficile à enfiler. Parceque cela va les ralentir», affirme-t-elle. «La leçon la plus importante de cet accident, c'est que chaque seconde compte», ajoute-elle. Aujourd'hui dans le monde entier, on part du principe qu'un habitacle devient invivable en cas d'incendie au bout de 90 secondes. Les passagers du vol 28 ont perdu beaucoup de temps à cause du blocage de la porte. Les enquêteurs en concluent que le mécanisme du toboggan s'était actionné trop tôt et qu'il avait gêné l'ouverture. Un défaut faisait que le couvercle du caisson du toboggan se coinçait quand on ouvrait la porte trop rapidement. Après l'accident de Manchester Boeing a rapidement revu ce système pour que cela ne se reproduise plus. Si elles avaient été adoptées lorsqu'elles avaient été évoquées dans un ancien rapport, cela aurait sauvé des vies six ans plus tard. En effet, en 1991 un 737 percute un autre avion sur une piste de Los Angeles et prend feu. Une bonne partie des 22 personnes qui périssent sont asphyxiées par la fumée. Et en 2005 l'accident de l'appareil d'Air France à Toronto, a montré à quel point les choses ont changé depuis le drame de Manchester. Les 309 personnes qui étaient à bord sont sorties en 90 secondes. Il n'y a eu aucun mort grâce aux modifications importantes qui ont été apportées depuis le vol 28. Un avion qui n'a jamais décollé…
L. Aït Saïd
HistoireS étranges : L'escalier de Santa Fe 2e partie
Résumé de la 1re partie n En 1852 : il devint rapidement évident que si les sœurs voulaient répondre aux intentions de Monseigneur Lamy, qui souhaitait en les amenant à Santa Fe, qu'elles instruisent les gens, qu'elles auraient besoin d'un couvent et d'une chapelle.
Les charpentiers mexicains commencèrent à travailler pour les Sœurs. L'école fut terminée, et on l'appela le Collège de Lorette, de Notre Dame de Lumière. Cela signifie qu'elle devrait être strictement gothique, et de fait, elle sera la première structure gothique à l'ouest du Mississipi. Les constructeurs mexicains se remirent à travailler sur la nouvelle bâtisse. Elle serait grande ; plus grande en fait que la plupart les chapelles des missions de cette contrée. Elle devait faire 25 pieds de large (8 mètres environ) 75 pieds de long (23 mètres environ) et 85 pieds de haut (26 mètres environ). Sœur Madeleine note dans les annales que la construction de la chapelle était placée sous le patronage de Saint Joseph, «en l'honneur duquel nous recevions chaque mercredi la Sainte Communion afin qu'il nous prête assistance». Puis elle ajoute : «nous avons été témoins de la puissance de son aide en plusieurs occasions». Les travaux de construction de la chapelle se réalisèrent non sans quelques difficultés financières, et de la part des Sœurs, avec un maximum de Foi. Ce n'est que lorsqu'elle fut presque terminée qu'elles se rendirent compte qu'une horrible erreur avait été faite. La chapelle en elle-même était magnifique : et la tribune pour la chorale ne l'était pas moins. Mais aucune liaison entre les deux n'avait été prévue ! Il n'y avait pas de cage d'escalier, et l'exceptionnelle hauteur de la tribune ne laissait pas la place d'en positionner un ordinaire. Mère Madeleine fit appel à de nombreux charpentiers pour essayer de construire un escalier : mais les uns après les autres, ils prenaient les mesures, réfléchissaient, puis ils hochaient la tête en disant tristement : «c'est infaisable, ma Mère». Il semblait n'y avoir de choix qu'entre deux solutions : mettre une échelle pour atteindre le chœur, ce qui paraissait dans tous les cas peu pratique, ou raser tout l'édifice, pour le reconstruire différemment. La dernière solution eût été un crève-cœur. Pourtant, quiconque connaît les Sœurs, quelles qu'elles soient, sait qu'elles ne se résoudront pas à des solutions aussi drastiques sans d'abord avoir dit quelque chose comme «attendons un peu, et faisons une neuvaine». Et parce qu'elles avaient une grande dévotion à Saint Joseph, les Sœurs de Lorette lui adressèrent une neuvaine, afin qu'il trouve une solution convenable à la question. Le dernier jour de la neuvaine, un homme aux cheveux gris se présenta au couvent, avec son âne et sa caisse à outils. Lorsqu'il vit Mère Madeleine, il lui demanda s'il pourrait aider les Sœurs à construire un escalier ! La Mère donna volontiers son accord, et il se mit au travail. Selon la tradition orale, passée par les sœurs présentes à l'époque aux suivantes, les seuls outils en sa possession étaient un marteau, une scie et une équerre en té. 
A suivre


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