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40 % des Français indécis
Publié dans Info Soir le 29 - 03 - 2017

Hésitation n Quarante pour cent des Français restent encore indécis et ne savent toujours pas pour qui voter lors de l'élection présidentielle, dont le premier tour se déroulera à moins de quatre semaines.
Selon un sondage réalisé par l'Ifop pour Synopia que l'Opinion a révélé hier en exclusivité, 40% des Français voteraient blanc lors du premier tour, alors que la participation à ce tour de la présidentielle n'est jamais passée sous la barre des 70 %. L'enquête a relevé une véritable hésitation des électeurs français à se rendre aux urnes, une hésitation qui concerne également le choix des candidats. Quatre français sur dix, certains d'aller voter, déclarent que leur choix pour le premier tour peut encore changer. Nombreux sont les observateurs qui redoutent une forte abstention au premier tour, supérieure à 30 %, estimant ce "wait and see" des électeurs confortera sans aucun doute la candidate du Font national, Marine Le Pen que le dernier sondage la place en tête, malgré ses démêlées avec la justice, suivie du candidat et fondateur du mouvement En Marche ! , Emmanuel Macron. Un autre sondage IPSOS Sopra Steria pour Radio France et France Télévisions, publié hier, indique que si le premier tour de l'élection avait lieu dimanche prochain, les Français placeraient en tête Marine Le Pen (25 % des intentions de vote) et Emmanuel Macron (24 %), devant François Fillon (18 %), Jean-Luc Mélenchon (14 %), Benoît Hamon (12 %). Ce qui montre la grande incertitude des électeurs, selon des analystes, du jamais vu en France à un mois du scrutin, estiment-ils. Par ailleurs, l'on craint qu'on se dirige vers un vote blanc d'une grande frange de la population jeune, un moyen d'expression pour dire leur mécontentement face à une élection présidentielle entachée par les révélations sur les affaires touchant les candidats François Fillon et Marine Le Pen. D'ailleurs, une pétition en faveur du vote blanc a déjà recueilli 230 000 signatures, selon les animateurs de cette campagne. La campagne électorale, telle que menée par les 11 candidats, ne semble pas avantager le débat démocratique et l'on assiste, surtout ces derniers jours, à des pugilats Fillon-Macro, Le Pen-Macron, Fillon-Hollande, Hamon-Valls, au lieu d'apporter des réponses aux attentes des Français, dont le quotidien est rudement frappé par les problèmes liés au chômage, à la sécurité et à la prise en charge sociale, commente-t-on. Le deuxième débat politique que compte organiser France 2 trois jours avant le premier tour entre les 11 candidats sera boycotté par le candidat de France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, et Emmanuel Macron s'est montré réticent par le fait qu'il soit organisé 72 heures avant le scrutin. Mais de nombreux observateurs, aucun des candidats n'est parvenu à présenter un projet mobilisateur ni à imposer un thème assez saillant pour le débat, estimant que l'élection présidentielle risque de se jouer sur un coup de dés .
L'ex-Premier ministre Valls votera Macron, contre son propre camp
Nouveau rebondissement dans la campagne présidentielle française, l'ex-Premier ministre du quinquennat socialiste Manuel Valls a annoncé ce mercredi qu'il voterait pour le centriste Emmanuel Macron face au "risque de victoire" de l'extrême droite, tournant le dos au candidat de son propre camp. "Je prends mes responsabilités (...) parce que je pense qu'il ne faut prendre aucun risque pour la République", a affirmé le finaliste malheureux de la primaire socialiste sur BFMTV, alors que les sondages prédisent pour l'heure un face-à-face entre Emmanuel Macron et la candidate de l'extrême droite Marine Le Pen au second tour de la présidentielle, le 7 mai. M. Valls, Premier ministre social-libéral du président François Hollande de 2014 à 2016, a expliqué sa décision "face à la crise de la gauche et la marginalisation de notre candidat Benoît Hamon", vainqueur de la primaire socialiste désormais en cinquième position dans les sondages, et "face à l'effondrement moral de la candidature de François Fillon", le candidat de la droite empêtré dans les affaires judiciaires « Après le ralliement du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, le soutien de Manuel Valls renforce le candidat centriste. A 39 ans, l'ex-ministre de l'Economie de François Hollande, positionné au centre, attire les foules dans ses meetings et accumule des soutiens à gauche comme à droite de l'échiquier politique. Soucieux de ne pas apparaître comme l'héritier d'un quinquennat socialiste impopulaire, M. Macron a prudemment "remercié" M. Valls de son soutien sur la radio Europe 1, tout en assurant qu'il serait "le garant du renouvellement des visages, du renouvellement des pratiques". Sa porte-parole Laurence Haïm a souligné que M. Macron "ne gouvernerait pas" avec M. Valls.
Un ex-ministre entendu par la police sur l'emploi de ses filles
L'ex-ministre français de l'Intérieur Bruno Le Roux a été entendu par la police dans le cadre d'une enquête sur des emplois parlementaires octroyés à ses deux filles adolescentes, apprend l'Afp ce mercredi de sources proches du dossier. L'ancien ministre qui a démissionné la semaine passée après la révélation de cette affaire a été entendu hier après-midi en audition libre par les enquêteurs de l'Office anticorruption de la police judiciaire. Cette audition fait suite à l'ouverture une semaine plus tôt par le Parquet national financier (PNF) d'une enquête préliminaire sur ces emplois controversés. La semaine passée, une émission de télévision avait révélé que Bruno Le Roux avait employé ses deux filles alors qu'elles étaient lycéennes puis étudiantes, entre 2009 et 2016, pour un total d'environ 55.000 euros de salaires, alors qu'il était député. Elles n'avaient lors des premiers contrats que 15-16 ans. Le ministre avait assuré que les contrats de ses filles correspondaient "bien sûr à des travaux effectivement réalisés". L'audition de M. Le Roux a été menée à l'abri des regards au moment où Penelope Fillon, l'épouse du candidat de la droite, était entendue par les juges d'instruction dans l'enquête sur ses emplois comme collaboratrice parlementaire de son mari et de l'ex-suppléant de ce dernier Marc Joulaud. Interrogée plusieurs heures dans le bureau des juges, elle a été à son tour inculpée mardi soir pour "complicité et recel de détournement de fonds publics", "complicité et recel d'abus de biens sociaux" et "recel d'escroquerie aggravée".


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