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Le Caire : métropole tentaculaire
Ces destinations qui envoûtent les Algériens
Publié dans Le Maghreb le 17 - 08 - 2008

De notre envoyée spéciale en Egypte Nassima Bensalem
Le Caire, envoûtante pour les uns, Le Caire, envoûtante pour les uns, insupportable pour les autres, ne laisse jamais indifférent. C'est une étape majeure lors d'un voyage en Egypte, que l'on soit passionné d'histoire ancienne ou amoureux des villes d'Orient. Le berceau des civilisations : l'Egypte ou Oum El Dounia, abrite deux des sept merveilles du monde, la pyramide de Kheops à Gizeh et le Phare d'Alexandrie. Après dix jours passés en Egypte, on se rend compte que rien ne remplace pour confronter ses connaissances avec des émotions et la réalité ; un voyage dans la capitale "le Caire" Avant de partir, on avait feuilleté des manuels, consulter des sites Internet pour retrouver les sites et quartiers qui méritent d'être visités. Malgré les connaissances requises, notre atterrissage fut une révélation. Il faut visiter le Caire au moins une fois dans sa vie. On a beau satisfaire notre curiosité à travers des livres, des documentaires, ou encore le net mais l'idéal est de se rendre sur place pour vivre constater de visu la majesté du pays des pharaons. Nous nous sommes rendus en Egypte avec un groupe d'une quarantaine de personnes, un séjour organisé par l'agence de voyage Najah Travel Agency de Bouira. Le groupe est composé d'enseignants notamment et de quelques cadres d'entreprises publiques. Prix de la virée 94.000 DA. Bien entendu, pour bien des fonctionnaires, une partie du prix (50%) prise en charge par les œuvres sociales. Comme tous, la première idée qui me taraudait l'esprit était de voir de près les pyramides Gizeh. Avant même de prendre l'avion en direction du Caire, les parfums d'Orient embaumaient déjà l'aéroport Houari Boumediene, où nous avons rencontré un groupe de musiciens égyptiens venus accompagner la chanteuse Warda El Djazairia qui avait animé la veille une soirée. Les discussions ont porté sur les pyramides, le Nil, les vestiges, les souks et surtout l'Egypte et sa chaleur mais aussi les embouteillages infinis au Caire. Après plus de trois heures de vol, nous sommes arrivées au Caire dans l'après-midi. A peine nous avions foulé le tarmac cairote, nous avons été assaillis par les bouffées caniculaires particulièrement étouffantes en ce mois d'août. La chaleur était certes insupportable, mais nous devions nous y habituer. Un grand bus climatisé et confortable nous attendait. Les Cairotes sont très conviviaux et très hospitaliers, ils nous souhaitent la bienvenue à tout bout de champ. Leur façon de parler vous impressionne et vous donne une certaine assurance, à aucun moment vous ne vous sentez dans un pays étranger, bien au contraire. Leur caractère amical et joyeux avec les touristes connaît un succès et les Egyptiens ont compris cela.
Outre les pyramides et le Nil c'est peut-être cet aspect de convivialité qui a fait que l'Egypte accueille plus de 9 millions de touristes chaque année. Notre premier contact de la journée est Tamer El Telbany en sa qualité de Tourism manager de l'entreprise Blessing Travel. Ce dernier nous a servi de guide pour cette première journée. C'est en faite le partenaire de l'agence algérienne. Travailler en partenariat semble être réussi puisque cela permettra d'avoir un meilleur produit pour un prix raisonnable. D'ailleurs les touristes algériens qui se sont rendus en Egypte n'ont payé que 94 000 DA pour dix jours en pension complète à hauteur de 60%. L'Egypte attire des millions de visiteurs chaque année grâce à son histoire et aux vestiges de l'époque des Pharaons (Gizeh, Luxor, Karnak, la Vallée des Rois et des Reines), mais aussi en raison des croisières sur le Nil. Dès l'antiquité grecque et romaine déjà, des voyageurs remontaient le cours de ce célèbre fleuve pour admirer les temples et les vestiges pharaoniques. L'activité touristique n'est donc pas nouvelle.
Une mégapole étouffante
Avant de rejoindre l'hôtel Zoser où nous devions passer la nuit, nous avons sillonner par bus les principales artères de la capitale, un guide égyptien était en notre compagnie pour tenter de nous informer sur les moindres détails. Première remarque : pourquoi tant de policiers dans les rues ? Le guide nous explique qu'un nouveau code de la route vient d'être appliqué, d'où la mobilisation importante des agents de la sécurité. Le Caire souffre énormément d'embouteillage, c'est le lot quotidien des Cairotes Pour traverser la ville, on n'aura que deux mots à dire, embouteillage et klaxon. Nos petits bouchons algérois n'ont rien à voir avec ceux d'ici… c'est impressionnant. Au Caire aussi on fait peu de cas du code de la route. Chose qui ne nous a pas trop dépaysés. La conduite est frénétique : les voitures doublent à droite, se faufilent au milieu, ne respectent jamais les feux et même les chaouiches (policiers) ne peuvent les arrêter. Le klaxon sert de clignotant. Le danger est accentué par la qualité des routes : une grande partie des routes sont en terre battue et seules les grandes avenues sont goudronnées. Mais il n'est pas rare d'être surpris par des nids-de-poule. Les véhicules qui se déplacent au Caire sont très variés : du camion à la charrette tirée par un âne transportant des légumes. La nuit, la conduite devient périlleuse puisque certains véhicules ne sont pas équipés de phares et d'instruments d'éclairage. Les sorties des grandes routes ne sont pas indiquées et sont parfois en angle droit. Les bretelles des ponts qui enjambent le Nil sont rajoutées ensuite. Le piéton doit braver les dangers d'une traversée hasardeuse et slalomer entre les voitures. La ville est confrontée à deux autres grands problèmes : la gestion des ordures et la construction des bâtiments. Les bâtiments ne sont jamais achevés en raison d'une loi d'incitation à la construction qui exempt d'impôts les maisons en construction. La brique est à nue, les tiges d'acier du béton armé parfois aussi. Les échafaudages semblent fragiles. Les façades sont parfois lézardées. Les quartiers du centre-ville, autour de la place du Tahrir, près du musée du Caire, ressemblent par leurs infrastructures davantage à une ville occidentale même si les trottoirs se délabrent. insupportable pour les autres, ne laisse jamais indifférent. C'est une étape majeure lors d'un voyage en Egypte, que l'on soit passionné d'histoire ancienne ou amoureux des villes d'Orient. Les bords du Nil, près de l'île de Zamalek, sont agrémentés de tours modernes qui abritent des hôtels luxueux (Hilton, Continental, …) ou des administrations. Malgré tous ces désagréments, les Cairotes semblent heureux. Ils sont toujours près à vous renseigner. Bien sûr, certains services se négocient contre un bakchich. Néanmoins, l'Égypte n'est pas du tout peuplé de mendiants. Les femmes sont voilées, les hommes sont souvent vêtus d'habit traditionnel égyptien : une sorte de grand vêtement et coiffé un turban et chaussées de sandales. Le Cairote est chaleureux, aime vous approcher et vous serrer la main. Dans les cafés des quartiers commerçants, il fume la chicha, cette grande pipe à eau et mange le foul, un plat à base de fèves. Les Cairotes vivent de jour comme de nuit, les commerces, les souks, les restaurants, les cafés, les pharmacies, les bazars, les fast-foods sont ouverts jusqu'au petit matin, ils ferment pendant quelques heures pour rouvrir tôt dans la matinée.
Gizeh : Majestueuses pyramides
Le lendemain matin, rendez-vous à 9 heures à la réception pour aller à la découverte des prestigieuses pyramides de Giezh. Symboles de l'Egypte des Pharaons, les trois pyramides du Caire et le Grand Sphinx imposent le silence. Rien à dire, juste admirer. Petit rappel historique : Le pharaon Kheops choisit ce lieu de Gizeh pour dresser son monument funéraire. La plus haute et la plus ancienne de ces pyramides est celle de Kheops. Les deux autres sont celles de Khephren et de Mykérinos. Nous traversons à nouveau le Caire et ses embouteillages pour arriver dans la banlieue de Gizeh… et là, au détour d'un chemin et derrière des immeubles, on aperçoit ce pourquoi nous sommes venus en Égypte… les Pyramides qui datent de 4 500 ans. Les uns comme les autres se disent avoir vu de nombreux reportages sur l'Egypte au travers du petit écran mais voir les pyramides de près ça fait tout de même quelque chose…. On comprend alors Napoléon qui s'est extasié devant ce paysage lors de la campagne d'Egypte. Imaginez plutôt qu'avec les blocs de pierre de la première pyramide, Kheops, on pourrait construire un mur de 3 mètres de haut et épais de 30 cm. On nous dit que 2 300 000 pierres ont servi pour la construction de la pyramide Kheops, des pierres pesant de 2 à 20 tonnes. Viennent ensuite les pyramides de Khephren qui a conservé une partie de son revêtement calcaire puis celle de Mykérinos la plus petite. Petite déception tout de même, car les pyramides sont bien gardées et il n'est pas possible de s'en approcher pour toucher ces monstres sacrés de l'Egypte antique. On nous dit qu'il est possible de pénétrer dans la pyramide de Kheops mais seulement 150 personnes le matin et idem l'après-midi qui sont autorisées .... Donc les premiers arrivés sont les premiers servis. Autant dire que dans un groupe, c'est perdu d'avance car tu ne seras jamais là assez tôt ... Seule la salle funéraire de la pyramide de Kheops est au centre. Dans les deux autres, les architectes ont repris le système du mastaba avec le tombeau en profondeur. Il semble que Kheops entraînait beaucoup trop de contraintes physiques et techniques. Imagine les milliers de tonnes que doit soutenir cette chambre ! Mykérinos, la plus petite pyramide, est ouverte en permanence et permet de se payer une belle séance de claustrophobie (Entrée à 10 L.E). En effet, ce minuscule boyau fait à peine 1m sur 1m et c'est à double sens. Le gardien n'arrête pas de hurler afin que le flux de touristes ne ralentisse pas. Certains ont parfois un blocage en plein milieu et commencent à paniquer légèrement .... Il faut avouer que la chaleur, les relents de sueur, marcher en canard ce n'est pas toujours évident. Au bout de 10-15mn de chenille infernale, on arrive dans la salle du tombeau. C'est complètement vide mais tu l'as fait ! Au retour il est recommandé de prendre une grande inspiration pour rebrousser chemin ! Direction ensuite vers un promontoire permettant de voir tout le plateau et les trois pyramides ensemble. Les centaines de touristes s'affaiblissent avec la chaleur et les marchands marchandent à mort sans répit, objets traditionnels, des chèches… à la main ils sillonnent tout le site. Sur le site il faut être un peu dur avec les Egyptiens qui vous proposent de vous prendre en photos car on vous demande des bakchich pour tout et pour rien… au bout de 10 jours ça devient pesant. Mais il faut le dire, tous les services se payent et le tourisme est considéré comme l'une des principales ressources de l'économie égyptienne. Nous continuons notre chemin vers le sphinx immense et magnifique… Imaginez un peu l'image de ce sphinx qui se découpe sur les pyramides… C'est à vous couper le souffle. Nous nous retrouvons pratiquement dans la ville en fait. Il faut pénétrer dans le temple précédant pour atteindre un des autres mystères de l'Egypte. 72 m de large sur 20 m de haut, il représente Khephren. Très fragile, un bloc de 200 tonnes tomba en 1988. Il est aujourd'hui en partie restauré et les pattes font même un peu tâche, tellement elles sont neuves ! Sa conservation a été possi le grâce à son enfouissement pendant les derniers siècles. Il n'empêche que c'est une très belle vision. Déjà, à son époque, Thoumosis IV, en 1400 av JC, fit un songe sur le Sphinx qui lui ordonna de le dégager . On considère qu'il faut environ 40 ans pour qu'il soit de nouveau enseveli naturellement ..... En face de nous, les pyramides semblent être dans le jardin ! Les pyramides de Gizeh et le Sphynx, c'est le clou de tout voyage au Caire, et malheureusement les centaines de cars de touristes qui défilent chaque jour brisent la magie du lieu tel qu'on se l'imagine depuis l'école primaire. Un endroit paradisiaque et vide de toute vie humaine. Mais, on a le souffle coupé face à tant de grandeur et de perfection. Après avoir déjeuné, nous avons fait un petit arrêt artisanat local pour visiter une fabrique de papyrus où l'on nous explique la fabrication à partir de la plante de papyrus. Pour info, la haute Egypte et la basse Egypte étaient représentées par le papyrus et la fleur de lotus. Bien entendu, le but est de nous faire jouer notre rôle de touriste et de nous faire acheter quelques souvenirs à des prix exagérés, soit 150 livre la feuille de papyrus de taille moyenne. Deuxième escale : la fabrique de concentré de parfum, puisque le guide propose de la visiter et pourquoi pas d'acheter quelques flacons à des prix exorbitants!
Musée national du Caire : 2 millions de pièces conservées
Autre site à ne pas rater : le musée national des antiquités égyptiennes du Caire. Notre guide, M'hamed, nous offre deux heures de temps pour la visite guidée. Nous visitons le musée avec les explications précieuses de notre guide sur l'archéologie égyptienne et l'histoire des dynasties. Nous passons donc au travers des différentes périodes de l'histoire égyptienne pour finir par aller voir les fameuses momies (en option 40 livres). C'est impressionnant de voir comment elles ont traversé le temps. Certaines sont si bien conservées qu'on s'attend presque à ce qu'elles ouvrent les yeux….. Comme souvent dans ce genre de voyage "découverte", nous ne restons malheureusement que peu de temps au musée. Il faudrait au moins y rester la journée entière. Mais notre guide nous a fait voir et expliqué le principal et nous a ensuite amenés au deuxième étage du musée où se trouve la précieuse collection des objets retrouvés dans la tombe de Toutankhamon dans la vallée des rois. Là encore c'est magnifique… le sarcophage tout en or, les bijoux… de quoi animer de nombreux fantasmes !Nous quittons le musée pour aller visiter la citadelle de Salah Eddine Al Ayoubbi, perchée au-dessus du Caire, construite entre 1 176 et 1 182, ainsi que la mosquée El Azhar. Les touristes algériens profitent de l'occasion pour effectuer la prière d'el aâsr au sein même de la mosquée. On dit que c'est une tradition, les touristes musulmans ont la possibilité de faire une prière à n'importe quel moment de la visite. La mosquée El Azhar abrite, derrière sa succession de cours et de minarets, une des plus hautes autorités de l'islam. Lieu de culte, mais aussi et surtout nœud social, la mosquée n'est pas un simple lieu de prière mais un ensemble d'institutions sociales qui s'intègrent dans des ensemble urbains regroupant plusieurs types d'institutions. Après un déjeuner copieux sur un bateau restaurant à quai sur les bords du Nil, nous nous dirigeons à Khan Khalil, où se trouve le célébrissime souk éponyme. Lieu idéal pour les touristes pour dénicher des petits souvenirs en boîtes, bibelos, narguilés, robe égyptienne, et tenues de danse égyptienne ont d'ailleurs la cote. C'est aussi un endroit où se regroupent les familles égyptiennes jour et nuit autour d'un café, d'un thé ou de la chicha. Le Caire n'en finit pas de bouger...La ville contraste avec sa vie, son animation, ses contraintes et son histoire cent fois millénaire. Si les touristes affectionnent particulièrement Charm El Cheikh, Luxor ou Alexandrie, le Caire reste unique.


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