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Des petites crises qui deviennent grandes
Publié dans Le Maghreb le 01 - 02 - 2011


A chaque fois qu'éclate une crise locale qui se traduit par des blocages de route, des fermetures des APC, parfois même des daïras, le regard se tourne d'abord vers les élus locaux, puis vers l'administration locale, à savoir les walis. Les revendications sont purement locales et devraient trouver des solutions locales. De quels moyens financiers disposent les élus locaux pour offrir des réponses locales ?? Comment arriver à faire participer les citoyens à la vie locale et écrire de nouvelles pages dans la démocratie locale ? Qui doit en prendre l'initiative ? L'administration centrale ? l'Assemblée nationale quand la primauté au niveau partisan et même Etatique va au parlementaire au détriment de l'élu local ? N'est ce pas que les bousculades sont plus grandes pour l'accès comme candidat à la députation qu'à la fonction de président d'APC alors que pour les partis politiques, l'enjeu pour ce qui concerne à la fois l'audience et l'image devrait se jouer au niveau local ? Bien évidemment que la préférence des candidats pour la députation est marquée par les avantages et par la possibilité de devenir ministrables car il n'y a pas de passerelle entre élu local et fonction de ministre et plus haut encore. Avec 48 wilayas, plus de 500 daïras et plus de 1 500 communes, peut on dire que le territoire est bien quadrillé, que la décision se prend au plus près des citoyens, que les populations participent à la prise en charge de leur propre devenir local ? Pour environ 1 500 communes, plus de 15 000 élus locaux, peut on dire que les représentants des populations sont d'abord assez nombreux pour représenter le plus possible les préférences populaires, qu'ils ont assez de pouvoir pour donner le plus possible de satisfaction aux demandes locales ? Peut on dire qu'il y a assez de décentralisation accompagnée par un désengagement de l'Etat au profit des élus locaux afin de dire réellement qu'il y a une démocratie locale ? Peut on dire que sans une réelle décentralisation, les populations peuvent participer à la vie locale et qu'il suffirait d'une instruction d'en haut pour que les populations ressentent l'intérêt de participer par exemple aux délibérations locales ? Peut on dire également que les élus locaux peuvent être obligés de faire participer les populations aux délibérations alors que ce sont eux les élus mandatés par des élections pour délibérer au nom des populations ? Peut-être y en aurait-il pour penser qu'il y a là trop de questions posées alors que justement il n'y en a jamais assez car l'enjeu est trop important. Nombre de personnes au niveau local pensent pourtant que le pouvoir local est trop confisqué par les élus et par les autorités administratives et que le combat politique pour faire prendre en charge les préférences de la masse se doit d'être mené. D'abord, depuis l'indépendance, l'Algérie a fonctionné avec la même structuration en wilayas, daïras (insignifiantes en terme de pouvoir) et en communes. Il n'y a rien au dessus des wilayas, donc des APW, et rien que plus petit que la commune.

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