L'organisation des citoyens dans des associations de quartier devient de plus en plus fréquente à travers le pays. Persuadés que l'action organisée est plus fructueuse et porteuse, les citoyens notamment ceux des grandes villes, sont nombreux à créer ces petites entités au sein des agglomérations urbaines, en particulier dans les nouvelles cités et ce, pour une meilleure gestion du quotidien. L'organisation des citoyens dans des associations de quartier devient de plus en plus fréquente à travers le pays. Persuadés que l'action organisée est plus fructueuse et porteuse, les citoyens notamment ceux des grandes villes, sont nombreux à créer ces petites entités au sein des agglomérations urbaines, en particulier dans les nouvelles cités et ce, pour une meilleure gestion du quotidien. Créée en 2008, l'association de quartier El-Hanaa de Beni Merad, dans la wilaya de Blida, devient plus qu'une nécessité pour les habitants de toute la commune dans laquelle ils trouvent leur refuge et leur point de force également. L'association, selon les centaines de ses membres, est là «pour permettre aux citoyens de défendre leurs intérêts». La wilaya de Blida a connu, rappelons-le, surtout ces dernières années, une extension particulièrement importante, ce qui a exigé une sorte d'organisation, notamment dans les plus grandes cités, pour mieux communiquer avec les autorités locales surtout quand il s'agit des petits soucis du quotidien. «A l'instar de ces dizaines d'associations de quartiers qui naissent dans différentes localités de notre wilaya, nous nous sommes organisés dans cette association afin de mieux gérer notre quotidien ainsi que nos rapports avec les autorités», dira le président Kermach Djamel. Il faut noter que le mouvement associatif, notamment les associations de quartier en Algérie, a connu une nette progression et ils sont même devenues une nécessité absolue et participent clairement à l'organisation de la vie au sein des cités. Ces entités, en effet, ont pu servir de trait d'union entre les différentes parties, facilitant le dialogue et aidant à une intervention plus efficace des autorités communales. «Au début, ça paraissait un peu difficile de s'auto-défendre dans un milieu urbain de plus en plus anarchique. Il faut bien avouer que le civisme et la citoyenneté dans ces temps de la technologie et de la rapidité deviennent hélas des mots très anciens et même oubliés. A l'ère des fast-foods et de la consommation rapide, les gens n'ont hélas plus le temps d'admirer l'environnement, donc de remarquer cette insalubrité qui envahit notre vie et pourrit notre existence. Donc, le plus important pour nous en tant que locataires d'une cité flambant neuve était justement de mettre ce bijoux doté de toutes les commodités à l'abri de cette anarchie et inculquer aux habitants l'esprit de l'organisation pour faire durer le plus longtemps possible notre bien-être», nous dira le responsable de l'association El-Hanaa. «Il est vrai que nous n'avons, au début, pas pu faire face à cette minorité d'habitants inconscients et insouciants de la protection de notre environnement et donc de notre quiétude, mais en concrétisant plusieurs projets et en réalisant nos objectifs, des dizaines de personnes ont voulu adhérer et tout le monde se met à fond maintenant pour améliorer davantage notre cadre de vie», affirme le responsable. Plusieurs objectifs ont été donc tracés par les membres de ladite association pour assurer les meilleures conditions et un cadre de vie agréable, à commencer par la préservation de l'environnement qui fait partie des prérogatives de cette organisation, notamment face à l'urbanisation anarchique qui porte atteinte gravement à l'image de nos villes. Il est toutefois à noter, dira le président, «que l'action des associations demeure très insuffisante face au laisser-aller de certains habitants et des autorités, en plus du manque de moyens, mais notre présence constitue tout de même un plus pour la gestion des cités. Transmettre, gérer les manques au sein des cités et surtout transmettre, même d'une façons officieuse, les préoccupations des habitants aux services concernés et aux autorités locales, pour justement une meilleure coopération au bénéfice de chacune des parties, sont les bases sur lesquelles l'association El-Hanna de Beni Merad active. Nous essayons d'encadrer et de bien organiser nos réclamations. Ainsi, elles seront certainement mieux prises en charge, et beaucoup plus rapidement puisque, organiser notre contact avec les pouvoirs publics est plus facile et efficace». Etant comme un véritable trait d'union entre le citoyen et les responsables communaux, ladite association a participé à la résolution de multiples problèmes, notamment ceux liés à l'amélioration de l'environnement et de la qualité de vie pour les habitants non seulement de son quartier, mais de plusieurs autres dans les différentes communes de la wilaya de Blida. «En collaboration avec plusieurs autres associations, nous avons aussi organisé des rencontres et des débats sur plusieurs thèmes et dans différents domaines pour informer les citoyens et les sensibiliser sur surtout ce qui concerne les fléaux sociaux, la santé publique et aussi l'action sociale et la charité qui se dissout petit à petit dans notre société.» Les membres de l'association, à l'instar de plusieurs autres dans la wilaya de Blida, ont relevé avec succès le défi de bien gérer leur quotidien et régler les petits soucis de tous les jours par eux-mêmes, et à présent tout va pour le mieux pour leur quartier. De ce fait, la gestion du quartier devient automatiquement beaucoup plus efficace au grand bonheur des résidants. Des campagnes de nettoyage, d'aménagement, de peinture, de plantation… deviennent des actions volontaires et très normales dans les quartiers de la commune de Beni Merad depuis la création de ces associations. Il est à noter que l'organisation participe aussi dans les séminaires et les réunions nationales des associations pour s'échanger des idées avec des associations de tous le pays et trouver les meilleurs moyens qui peuvent assurer une vie paisible et moderne aux citoyens. Créée en 2008, l'association de quartier El-Hanaa de Beni Merad, dans la wilaya de Blida, devient plus qu'une nécessité pour les habitants de toute la commune dans laquelle ils trouvent leur refuge et leur point de force également. L'association, selon les centaines de ses membres, est là «pour permettre aux citoyens de défendre leurs intérêts». La wilaya de Blida a connu, rappelons-le, surtout ces dernières années, une extension particulièrement importante, ce qui a exigé une sorte d'organisation, notamment dans les plus grandes cités, pour mieux communiquer avec les autorités locales surtout quand il s'agit des petits soucis du quotidien. «A l'instar de ces dizaines d'associations de quartiers qui naissent dans différentes localités de notre wilaya, nous nous sommes organisés dans cette association afin de mieux gérer notre quotidien ainsi que nos rapports avec les autorités», dira le président Kermach Djamel. Il faut noter que le mouvement associatif, notamment les associations de quartier en Algérie, a connu une nette progression et ils sont même devenues une nécessité absolue et participent clairement à l'organisation de la vie au sein des cités. Ces entités, en effet, ont pu servir de trait d'union entre les différentes parties, facilitant le dialogue et aidant à une intervention plus efficace des autorités communales. «Au début, ça paraissait un peu difficile de s'auto-défendre dans un milieu urbain de plus en plus anarchique. Il faut bien avouer que le civisme et la citoyenneté dans ces temps de la technologie et de la rapidité deviennent hélas des mots très anciens et même oubliés. A l'ère des fast-foods et de la consommation rapide, les gens n'ont hélas plus le temps d'admirer l'environnement, donc de remarquer cette insalubrité qui envahit notre vie et pourrit notre existence. Donc, le plus important pour nous en tant que locataires d'une cité flambant neuve était justement de mettre ce bijoux doté de toutes les commodités à l'abri de cette anarchie et inculquer aux habitants l'esprit de l'organisation pour faire durer le plus longtemps possible notre bien-être», nous dira le responsable de l'association El-Hanaa. «Il est vrai que nous n'avons, au début, pas pu faire face à cette minorité d'habitants inconscients et insouciants de la protection de notre environnement et donc de notre quiétude, mais en concrétisant plusieurs projets et en réalisant nos objectifs, des dizaines de personnes ont voulu adhérer et tout le monde se met à fond maintenant pour améliorer davantage notre cadre de vie», affirme le responsable. Plusieurs objectifs ont été donc tracés par les membres de ladite association pour assurer les meilleures conditions et un cadre de vie agréable, à commencer par la préservation de l'environnement qui fait partie des prérogatives de cette organisation, notamment face à l'urbanisation anarchique qui porte atteinte gravement à l'image de nos villes. Il est toutefois à noter, dira le président, «que l'action des associations demeure très insuffisante face au laisser-aller de certains habitants et des autorités, en plus du manque de moyens, mais notre présence constitue tout de même un plus pour la gestion des cités. Transmettre, gérer les manques au sein des cités et surtout transmettre, même d'une façons officieuse, les préoccupations des habitants aux services concernés et aux autorités locales, pour justement une meilleure coopération au bénéfice de chacune des parties, sont les bases sur lesquelles l'association El-Hanna de Beni Merad active. Nous essayons d'encadrer et de bien organiser nos réclamations. Ainsi, elles seront certainement mieux prises en charge, et beaucoup plus rapidement puisque, organiser notre contact avec les pouvoirs publics est plus facile et efficace». Etant comme un véritable trait d'union entre le citoyen et les responsables communaux, ladite association a participé à la résolution de multiples problèmes, notamment ceux liés à l'amélioration de l'environnement et de la qualité de vie pour les habitants non seulement de son quartier, mais de plusieurs autres dans les différentes communes de la wilaya de Blida. «En collaboration avec plusieurs autres associations, nous avons aussi organisé des rencontres et des débats sur plusieurs thèmes et dans différents domaines pour informer les citoyens et les sensibiliser sur surtout ce qui concerne les fléaux sociaux, la santé publique et aussi l'action sociale et la charité qui se dissout petit à petit dans notre société.» Les membres de l'association, à l'instar de plusieurs autres dans la wilaya de Blida, ont relevé avec succès le défi de bien gérer leur quotidien et régler les petits soucis de tous les jours par eux-mêmes, et à présent tout va pour le mieux pour leur quartier. De ce fait, la gestion du quartier devient automatiquement beaucoup plus efficace au grand bonheur des résidants. Des campagnes de nettoyage, d'aménagement, de peinture, de plantation… deviennent des actions volontaires et très normales dans les quartiers de la commune de Beni Merad depuis la création de ces associations. Il est à noter que l'organisation participe aussi dans les séminaires et les réunions nationales des associations pour s'échanger des idées avec des associations de tous le pays et trouver les meilleurs moyens qui peuvent assurer une vie paisible et moderne aux citoyens.