Le gala, que devait animer Rabah Asma au stade Oukil-Ramdane de Tizi-Ouzou, a été annulé par les responsables de la direction de la culture de Tizi-Ouzou. En effet, quelques minutes après la rupture du f'tour, des émeutes violentes ont éclaté au centre-ville de Tizi-Ouzou. Des citoyens qui en ont assez des coupures quotidiennes et récurrentes du courant électrique ont pris d'assaut le siège de la direction de Sonelgaz, situé près de la mairie de Tizi-Ouzou. Les manifestants, en colère, étaient déterminés à mettre le feu à l'édifice, n'eut été l'intervention des éléments des brigades antiémeutes. Les escarmouches se sont poursuivies jusqu'à une heure tardive de la nuit et cette fois-ci, c'est la résidence du wali qui allait être prise pour cible par les citoyens ainsi que le stade Oukil-Ramdane où les galas artistiques se poursuivaient en dépit des attentats et du deuil qui frappent la Kabylie depuis une semaine. Mais la présence en forces des éléments des brigades antiémeutes a pu éviter le pire. Le gala, que devait animer Rabah Asma au stade Oukil-Ramdane de Tizi-Ouzou, a été annulé par les responsables de la direction de la culture de Tizi-Ouzou. En effet, quelques minutes après la rupture du f'tour, des émeutes violentes ont éclaté au centre-ville de Tizi-Ouzou. Des citoyens qui en ont assez des coupures quotidiennes et récurrentes du courant électrique ont pris d'assaut le siège de la direction de Sonelgaz, situé près de la mairie de Tizi-Ouzou. Les manifestants, en colère, étaient déterminés à mettre le feu à l'édifice, n'eut été l'intervention des éléments des brigades antiémeutes. Les escarmouches se sont poursuivies jusqu'à une heure tardive de la nuit et cette fois-ci, c'est la résidence du wali qui allait être prise pour cible par les citoyens ainsi que le stade Oukil-Ramdane où les galas artistiques se poursuivaient en dépit des attentats et du deuil qui frappent la Kabylie depuis une semaine. Mais la présence en forces des éléments des brigades antiémeutes a pu éviter le pire.