Attendu depuis plusieurs semaines et annoncé sur divers supports publicitaires, notamment sur le réseau social Facebook, l‘arrivée, mercredi soir, de l‘humoriste algérien Abdelkader Secteur à Constantine a provoqué un véritable «branle-bas de combat» et une jolie «pagaille» à l‘intérieur et aux alentours du palais de la culture Malek-Haddad. Embouteillage et saturation de tous les points de stationnement dans les artères et les rues situées aux alentours du palais de la culture, attroupements devant les portails, chahuts et disputes à l‘intérieur de la bâtisse bondée de monde, ont marqué la «première» de cet artiste attachant sur le Vieux Rocher. Le désordre a été, de surcroît, aggravé par un retard de plus d‘une heure de la vedette, ce qui a fait circuler des rumeurs quant à une éventuelle annulation du spectacle. Celui-ci a finalement eu lieu avec une heure de retard et l‘humoriste n‘a pas eu de difficultés pour apaiser les esprits et à tourner en dérision les «retards des vols d‘Air Algérie» à l‘origine du retard de son arrivée à Constantine. Le show a finalement été des plus réussis et des plus hilarants et le public est finalement sorti détendu avec le sentiment que sa patience a été payante et bien récompensée. Ce passage d‘Abdelkader Secteur à Constantine a une fois de plus remis sur le tapis une question qui revient comme un leitmotiv ces dernières années à Constantine : l‘absence dans la ville d‘infrastructures à même d‘accueillir de grands spectacles et la faiblesse de la «culture du spectacle» chez bon nombre d‘organisateurs. Avec peu de moyens, la boîte privée qui a organisé le spectacle d‘Abdelkader Secteur a pu vendre plus de 600 billets à 1.500 dinars l‘unité, alors que le spectacle d‘une star comme Mami, ou d‘un groupe aussi prestigieux que l‘ONB (Orchestre national de Barbès) et autres vedettes internationales, ont eu lieu au mois de juillet au Théâtre de verdure devant un public très clairsemé faute d‘une bonne promotion. Attendu depuis plusieurs semaines et annoncé sur divers supports publicitaires, notamment sur le réseau social Facebook, l‘arrivée, mercredi soir, de l‘humoriste algérien Abdelkader Secteur à Constantine a provoqué un véritable «branle-bas de combat» et une jolie «pagaille» à l‘intérieur et aux alentours du palais de la culture Malek-Haddad. Embouteillage et saturation de tous les points de stationnement dans les artères et les rues situées aux alentours du palais de la culture, attroupements devant les portails, chahuts et disputes à l‘intérieur de la bâtisse bondée de monde, ont marqué la «première» de cet artiste attachant sur le Vieux Rocher. Le désordre a été, de surcroît, aggravé par un retard de plus d‘une heure de la vedette, ce qui a fait circuler des rumeurs quant à une éventuelle annulation du spectacle. Celui-ci a finalement eu lieu avec une heure de retard et l‘humoriste n‘a pas eu de difficultés pour apaiser les esprits et à tourner en dérision les «retards des vols d‘Air Algérie» à l‘origine du retard de son arrivée à Constantine. Le show a finalement été des plus réussis et des plus hilarants et le public est finalement sorti détendu avec le sentiment que sa patience a été payante et bien récompensée. Ce passage d‘Abdelkader Secteur à Constantine a une fois de plus remis sur le tapis une question qui revient comme un leitmotiv ces dernières années à Constantine : l‘absence dans la ville d‘infrastructures à même d‘accueillir de grands spectacles et la faiblesse de la «culture du spectacle» chez bon nombre d‘organisateurs. Avec peu de moyens, la boîte privée qui a organisé le spectacle d‘Abdelkader Secteur a pu vendre plus de 600 billets à 1.500 dinars l‘unité, alors que le spectacle d‘une star comme Mami, ou d‘un groupe aussi prestigieux que l‘ONB (Orchestre national de Barbès) et autres vedettes internationales, ont eu lieu au mois de juillet au Théâtre de verdure devant un public très clairsemé faute d‘une bonne promotion.