Mais que se passe-t-il au FLN ? La question est posée par des militants et des sympathisants du parti qui n'arrivent pas à se faire une idée précise de l'ambiance qui règne au sein des structures et organes du parti. Le FLN ne serait-il pas bien au musée selon eux ? Les «amis» de Belkhadem et les redresseurs ont failli en arriver aux mains, samedi dernier, devant le siège du parti. Les tiraillements pour ne pas dire la déliquescence qui atteint le vieux parti est à son comble. Des ex-ministres de la République, des sénateurs et des députés se sont crêpés le chignon devant des citoyens médusés par cette scène indigne de ceux qui sont les «politiques» du pays. Les raisons ? Pour les redresseurs : leur occupation du siège du parti. Pour les «amis» de Belkhadem : défendre le territoire convoité par les «frères ennemis». Une vraie scène de film de mauvais goût à laquelle ont eu droit les badauds en ce début de semaine. Les protagonistes voulaient en découdre, n'était-ce la présence importante des forces de sécurité arrivées en renfort pour parer à un éventuel débordement. Ce qui d'ailleurs a failli arriver sans la présence des policiers qui se sont interposés entre les deux parties en conflit. L'opération de «délogement» de l'occupant du siège à savoir Abdelaziz Belkhadem et son bureau politique amputé de quelques membres qui sont allés rejoindre le camp de la contestation n'a pas eu le résultat escompté. Il est vrai que le secrétaire général du parti a eu la présence d'esprit de faire appel à des «jeunes militants dévoués à la cause» du premier responsable du vieux parti. Le clash est définitivement consommé entre «les redresseurs» et Abdelaziz Belkhadem accusé par les contestataires des pires dérives du FLN. Les deux camps font prévaloir la «légalité» de leurs actions qui sont, selon eux, conformes aux statuts et au règlement intérieur du parti. D'un côté, des ministres, des députés et des sénateurs et autres hauts fonctionnaires de l'administration qui tentent un «squat» du siège du parti et de l'autre côté des figures ayant les mêmes fonctions et des «militants engagés» pour défendre la «grande maison FLN» très convoitée par les frères ennemis. Cela dure depuis plus d'une année. Abdelaziz Belkhadem ne s'avoue pas vaincu pour autant. Il est sorti indemne et si l'on peut dire «conforté» par les législatives de mai dernier. Il a réussi la prouesse de hisser le FLN aux premières loges de l'APN. Cependant, il n'a pas bénéficié trop longtemps de cette «aura», mais néanmoins ses détracteurs ont cru déceler un appui du pouvoir au secrétaire général pour services rendus et donc ils ont freiné un peu leur ardeur à «dégager» Abdelaziz Belkhadem qui a entre-temps repris du poil de la bête à la faveur de ce succès électoral auquel personne ne s'attendait sauf peut-être lui qui a promis qu'il y aurait des surprises lors de cette consultation électorale. Pour une surprise, ce fut une surprise pour les contestataires qui attendaient au tournant le secrétaire général du FLN. Qu'est ce qu'il y a lieu de faire pour le dégommer ? La question est restée posée pour les redresseurs qui étaient obligés de tenir compte et du résultat du scrutin du 9 mai dernier et de l'appui dont serait bénéficiaire le SG du FLN auprès du président de la République. Et surprise aussi, quelques jours après. Et là, Belkhadem est vraiment surpris. Il ne figure plus dans le gouvernement Sellal qui a remplacé Ahmed Ouyahia au poste de Premier ministre. Les redresseurs ont interprété l'éviction du secrétaire général du FLN de l'exécutif gouvernemental, comme un signe de la fin politique de l'homme et que son «délogement» du siège du parti comme opération tout à fait dans leurs cordes. Il semble que les redresseurs ont pêché par excès d'assurance et Belkhadem leur a fait savoir qu'il entend rester et ce jusqu' à la tenue des élections présidentielles de 2014. Un scrutin qui scellera son destin, lui qui a gravi les échelons grâce à la baraka des saints qui le protège. Mais que se passe-t-il au FLN ? La question est posée par des militants et des sympathisants du parti qui n'arrivent pas à se faire une idée précise de l'ambiance qui règne au sein des structures et organes du parti. Le FLN ne serait-il pas bien au musée selon eux ? Les «amis» de Belkhadem et les redresseurs ont failli en arriver aux mains, samedi dernier, devant le siège du parti. Les tiraillements pour ne pas dire la déliquescence qui atteint le vieux parti est à son comble. Des ex-ministres de la République, des sénateurs et des députés se sont crêpés le chignon devant des citoyens médusés par cette scène indigne de ceux qui sont les «politiques» du pays. Les raisons ? Pour les redresseurs : leur occupation du siège du parti. Pour les «amis» de Belkhadem : défendre le territoire convoité par les «frères ennemis». Une vraie scène de film de mauvais goût à laquelle ont eu droit les badauds en ce début de semaine. Les protagonistes voulaient en découdre, n'était-ce la présence importante des forces de sécurité arrivées en renfort pour parer à un éventuel débordement. Ce qui d'ailleurs a failli arriver sans la présence des policiers qui se sont interposés entre les deux parties en conflit. L'opération de «délogement» de l'occupant du siège à savoir Abdelaziz Belkhadem et son bureau politique amputé de quelques membres qui sont allés rejoindre le camp de la contestation n'a pas eu le résultat escompté. Il est vrai que le secrétaire général du parti a eu la présence d'esprit de faire appel à des «jeunes militants dévoués à la cause» du premier responsable du vieux parti. Le clash est définitivement consommé entre «les redresseurs» et Abdelaziz Belkhadem accusé par les contestataires des pires dérives du FLN. Les deux camps font prévaloir la «légalité» de leurs actions qui sont, selon eux, conformes aux statuts et au règlement intérieur du parti. D'un côté, des ministres, des députés et des sénateurs et autres hauts fonctionnaires de l'administration qui tentent un «squat» du siège du parti et de l'autre côté des figures ayant les mêmes fonctions et des «militants engagés» pour défendre la «grande maison FLN» très convoitée par les frères ennemis. Cela dure depuis plus d'une année. Abdelaziz Belkhadem ne s'avoue pas vaincu pour autant. Il est sorti indemne et si l'on peut dire «conforté» par les législatives de mai dernier. Il a réussi la prouesse de hisser le FLN aux premières loges de l'APN. Cependant, il n'a pas bénéficié trop longtemps de cette «aura», mais néanmoins ses détracteurs ont cru déceler un appui du pouvoir au secrétaire général pour services rendus et donc ils ont freiné un peu leur ardeur à «dégager» Abdelaziz Belkhadem qui a entre-temps repris du poil de la bête à la faveur de ce succès électoral auquel personne ne s'attendait sauf peut-être lui qui a promis qu'il y aurait des surprises lors de cette consultation électorale. Pour une surprise, ce fut une surprise pour les contestataires qui attendaient au tournant le secrétaire général du FLN. Qu'est ce qu'il y a lieu de faire pour le dégommer ? La question est restée posée pour les redresseurs qui étaient obligés de tenir compte et du résultat du scrutin du 9 mai dernier et de l'appui dont serait bénéficiaire le SG du FLN auprès du président de la République. Et surprise aussi, quelques jours après. Et là, Belkhadem est vraiment surpris. Il ne figure plus dans le gouvernement Sellal qui a remplacé Ahmed Ouyahia au poste de Premier ministre. Les redresseurs ont interprété l'éviction du secrétaire général du FLN de l'exécutif gouvernemental, comme un signe de la fin politique de l'homme et que son «délogement» du siège du parti comme opération tout à fait dans leurs cordes. Il semble que les redresseurs ont pêché par excès d'assurance et Belkhadem leur a fait savoir qu'il entend rester et ce jusqu' à la tenue des élections présidentielles de 2014. Un scrutin qui scellera son destin, lui qui a gravi les échelons grâce à la baraka des saints qui le protège.