La société D-Wave Systems vient de fournir à la Nasa et à Google un cordinateur quantique de 512 qubits alors que les laboratoires de par le monde n'arrivent à travailler qu'avec une dizaine de qubits. Le calculateur en question n'est autre que le D-Wave Two, commercialisé depuis peu par la société canadienne D-Wave Systems. La société D-Wave Systems vient de fournir à la Nasa et à Google un cordinateur quantique de 512 qubits alors que les laboratoires de par le monde n'arrivent à travailler qu'avec une dizaine de qubits. Le calculateur en question n'est autre que le D-Wave Two, commercialisé depuis peu par la société canadienne D-Wave Systems. Comme son prédécesseur, ce calculateur est censé utiliser l'intrication quantique pour mettre en œuvre un algorithme quantique de recuit simulé avec des qubits. Il utiliserait des circuits supraconducteurs, non pas pour effectuer des calculs avec des portes logiques (comme c'est d'ordinaire le cas avec des ordinateurs, y compris quantiques), mais afin d'utiliser une technique dite de calcul quantique adiabatique.Les algorithmes de recuit simulé permettent de résoudre des problèmes d'optimisation, auxquels la Nasa est confrontée depuis longtemps. C'est pourquoi elle utilise des supercalculateurs comme ceux qui se sont succédé dans son célèbre département, connu sous le nom de Nasa Advanced Supercomputing (NAS) Facility.En optant pour le D-Wave Two, la Nasa confirme qu'elle espère bien explorer les possibilités des calculateurs quantiques pour résoudre plus efficacement qu'avec des ordinateurs classiques divers problèmes, tels que le trafic aérien, la planification de missions ou d'autres relevant de la robotique et de la recherche d'exoplanètes. Pour sa part, Google compte sur le potentiel des calculateurs quantiques pour optimiser la recherche dans des bases de données, la reconnaissance vocale, mais surtout l'apprentissage automatique (machine learning en anglais). Comme son prédécesseur, ce calculateur est censé utiliser l'intrication quantique pour mettre en œuvre un algorithme quantique de recuit simulé avec des qubits. Il utiliserait des circuits supraconducteurs, non pas pour effectuer des calculs avec des portes logiques (comme c'est d'ordinaire le cas avec des ordinateurs, y compris quantiques), mais afin d'utiliser une technique dite de calcul quantique adiabatique.Les algorithmes de recuit simulé permettent de résoudre des problèmes d'optimisation, auxquels la Nasa est confrontée depuis longtemps. C'est pourquoi elle utilise des supercalculateurs comme ceux qui se sont succédé dans son célèbre département, connu sous le nom de Nasa Advanced Supercomputing (NAS) Facility.En optant pour le D-Wave Two, la Nasa confirme qu'elle espère bien explorer les possibilités des calculateurs quantiques pour résoudre plus efficacement qu'avec des ordinateurs classiques divers problèmes, tels que le trafic aérien, la planification de missions ou d'autres relevant de la robotique et de la recherche d'exoplanètes. Pour sa part, Google compte sur le potentiel des calculateurs quantiques pour optimiser la recherche dans des bases de données, la reconnaissance vocale, mais surtout l'apprentissage automatique (machine learning en anglais).