La présidente libérienne, Ellen Johnson Sirleaf a annoncé mardi le limogeage de ministres et de hauts responsables restés à l'étranger en dépit de son appel à revenir pour participer sur place à la lutte contre l'épidémie d'Ebola. La présidente libérienne, Ellen Johnson Sirleaf a annoncé mardi le limogeage de ministres et de hauts responsables restés à l'étranger en dépit de son appel à revenir pour participer sur place à la lutte contre l'épidémie d'Ebola. "Tous les responsables occupant des fonctions de niveau ministériel" ou leur équivalent dans la haute administration "qui ont violé les ordres" sont "relevés de leurs fonctions", a annoncé le cabinet de la présidente dans un communiqué, sans préciser combien de ministres, ni lesquels, étaient concernés. Le Liberia est le pays le plus touché par l'épidémie sans précédent qui frappe l'Afrique de l'Ouest. La présidente Ellen Johnson Sirleaf avait ordonné à ses ministres se trouvant hors du pays de rentrer au Liberia dans le cadre de l'état d'urgence décrété le 6 août, avertissant que ces mesures exceptionnelles étaient nécessaires "pour la survie de (l')Etat". Les personnes "à la tête de services publics importants" verront leurs salaires bloqués jusqu'à leur retour au pays, a ajouté la présidence. Mme Sirleaf "félicite tous les membres du gouvernement et les hauts fonctionnaires qui ont suivi les ordres et sont revenus pour se joindre au combat contre le virus mortel Ebola", selon le même source. L'épidémie d'Ebola a fait au total 1.427 morts, dont 624 au Liberia, 406 en Guinée, 392 en Sierra Leone et 5 au Nigeria, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) arrêté au 20 août. "Tous les responsables occupant des fonctions de niveau ministériel" ou leur équivalent dans la haute administration "qui ont violé les ordres" sont "relevés de leurs fonctions", a annoncé le cabinet de la présidente dans un communiqué, sans préciser combien de ministres, ni lesquels, étaient concernés. Le Liberia est le pays le plus touché par l'épidémie sans précédent qui frappe l'Afrique de l'Ouest. La présidente Ellen Johnson Sirleaf avait ordonné à ses ministres se trouvant hors du pays de rentrer au Liberia dans le cadre de l'état d'urgence décrété le 6 août, avertissant que ces mesures exceptionnelles étaient nécessaires "pour la survie de (l')Etat". Les personnes "à la tête de services publics importants" verront leurs salaires bloqués jusqu'à leur retour au pays, a ajouté la présidence. Mme Sirleaf "félicite tous les membres du gouvernement et les hauts fonctionnaires qui ont suivi les ordres et sont revenus pour se joindre au combat contre le virus mortel Ebola", selon le même source. L'épidémie d'Ebola a fait au total 1.427 morts, dont 624 au Liberia, 406 en Guinée, 392 en Sierra Leone et 5 au Nigeria, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) arrêté au 20 août.