Les arrêts de travail, grèves cycliques et contestations font l'actualité en 2014. Leur nombre se multiplie chaque jour et tous les secteurs y ont pratiquement recours pour espérer le règlement de leurs conflits. Les arrêts de travail, grèves cycliques et contestations font l'actualité en 2014. Leur nombre se multiplie chaque jour et tous les secteurs y ont pratiquement recours pour espérer le règlement de leurs conflits. Les arrêts de travail, grèves cycliques et contestations font l'actualité cette année. Leur nombre se multiplie chaque jour où tous les secteurs ont, pratiquement utilisé, ce recours pour espérer le règlement de leurs conflits. Il est temps de faire un bilan sur le nombre de grèves en Algérie et leur impact sur les institutions. Des secteurs comme l'Education, la Santé, les administrations publiques restent dominantes dans le recours aux arrêts de travail. Leur droit constitutionnel est certes garanti, mais les spécialistes observent toutefois l'effet de contagion dans certaines institutions publiques restées jusque-là paisibles. Le vrombissement de la contestation sociale gagne du terrain et c'est devenu le seul moyen qui s'offre aux grévistes pour faire entendre leurs voix. Mais vu l'ampleur des débrayages chroniques qui traduisent parfois un impact insidieux sur l'équilibre du secteur en question, le réaménagement du code du travail accompagné de certaines mesures font que le recours systématique à la grève n'est pas le seul procédé qui reste à suivre. Les nouveaux éléments juridiques qui vont encadrer le droit à la grève n'ont pas suscité véritablement de réactions des corps professionnels alors que les syndicats minimisent leurs portées. Ainsi, l'article 312 du nouveau code de travail explique les étapes que doivent suivre les grévistes avant l'aboutissement de leur droit à l'arrêt de travail. Il est stipulé ainsi que « le recours à la grève se fait par voie de vote à bulletins secrets. Le préavis de grève doit être déposé le même jour au niveau de l'Inspection du travail et de l'employeur 8 jours avant le début de la grève ». Ce qui est considéré comme une crainte, c'est le fait de stipuler dans l'article 351 qu'un gréviste peut être réquisitionné. Ce qui a été le cas de pas mal de secteurs avant la publication de ce nouveau code. L'autre inquiétude est celle où l'article 363 annonce des sanctions pénales contre les syndicalistes s'ils boycottent les voies de conciliation qui sont de 10.000 à 20.000 DA et sont doublés à chaque absence. Bref, la voie répressive contre les grévistes est perçue par des syndicalistes comme une atteinte contre le droit de grève en question. Un procédé dissuasif qui met en en relief que l'approche de l'encadrement de la grève est policé. En parallèle, lorsque les grèves se mettent en trop, le Bureau international du travail recommande de communiquer aux syndicats, le droit minimal avec des jours précis sur le recours au débrayage. En d'autres termes, aucun secteur n'a le droit de déposer un préavis de grève avant 45 jours tel que le stipule un autre article du nouveau code de travail. Cela dit, les pouvoirs publics chercheraient à mettre la pression sur les corps d'administrations et les autres secteurs sensibles à valider la procédure de conciliation sociale. Mais les syndicats restent hésitants en faisant dire aux différents responsables de tutelles que l'absence de communication et la rupture du dialogue sont les résultats qui aboutissent à la protesta. Les arrêts de travail, grèves cycliques et contestations font l'actualité cette année. Leur nombre se multiplie chaque jour où tous les secteurs ont, pratiquement utilisé, ce recours pour espérer le règlement de leurs conflits. Il est temps de faire un bilan sur le nombre de grèves en Algérie et leur impact sur les institutions. Des secteurs comme l'Education, la Santé, les administrations publiques restent dominantes dans le recours aux arrêts de travail. Leur droit constitutionnel est certes garanti, mais les spécialistes observent toutefois l'effet de contagion dans certaines institutions publiques restées jusque-là paisibles. Le vrombissement de la contestation sociale gagne du terrain et c'est devenu le seul moyen qui s'offre aux grévistes pour faire entendre leurs voix. Mais vu l'ampleur des débrayages chroniques qui traduisent parfois un impact insidieux sur l'équilibre du secteur en question, le réaménagement du code du travail accompagné de certaines mesures font que le recours systématique à la grève n'est pas le seul procédé qui reste à suivre. Les nouveaux éléments juridiques qui vont encadrer le droit à la grève n'ont pas suscité véritablement de réactions des corps professionnels alors que les syndicats minimisent leurs portées. Ainsi, l'article 312 du nouveau code de travail explique les étapes que doivent suivre les grévistes avant l'aboutissement de leur droit à l'arrêt de travail. Il est stipulé ainsi que « le recours à la grève se fait par voie de vote à bulletins secrets. Le préavis de grève doit être déposé le même jour au niveau de l'Inspection du travail et de l'employeur 8 jours avant le début de la grève ». Ce qui est considéré comme une crainte, c'est le fait de stipuler dans l'article 351 qu'un gréviste peut être réquisitionné. Ce qui a été le cas de pas mal de secteurs avant la publication de ce nouveau code. L'autre inquiétude est celle où l'article 363 annonce des sanctions pénales contre les syndicalistes s'ils boycottent les voies de conciliation qui sont de 10.000 à 20.000 DA et sont doublés à chaque absence. Bref, la voie répressive contre les grévistes est perçue par des syndicalistes comme une atteinte contre le droit de grève en question. Un procédé dissuasif qui met en en relief que l'approche de l'encadrement de la grève est policé. En parallèle, lorsque les grèves se mettent en trop, le Bureau international du travail recommande de communiquer aux syndicats, le droit minimal avec des jours précis sur le recours au débrayage. En d'autres termes, aucun secteur n'a le droit de déposer un préavis de grève avant 45 jours tel que le stipule un autre article du nouveau code de travail. Cela dit, les pouvoirs publics chercheraient à mettre la pression sur les corps d'administrations et les autres secteurs sensibles à valider la procédure de conciliation sociale. Mais les syndicats restent hésitants en faisant dire aux différents responsables de tutelles que l'absence de communication et la rupture du dialogue sont les résultats qui aboutissent à la protesta.