Le président de AHD 54, Fawzi Rebaine, à tiré à boulets rouges sur toutes les parties de l'opposition et s'est notamment démarqué de l'appel aux marches du 24 février lancé par l'instance de suivi et de coordination de l'opposition (ISCO) . Le président de AHD 54, Fawzi Rebaine, à tiré à boulets rouges sur toutes les parties de l'opposition et s'est notamment démarqué de l'appel aux marches du 24 février lancé par l'instance de suivi et de coordination de l'opposition (ISCO) . « Je ne suis pas concerné par ces marches » a indiqué d'emblée le président de AHD 54 en n'hésitant pas à descendre en flammes les initiateurs de cet appel, en l'occurrence l'ISCO. « Le 24 février donc ce n'est pas l'opposition » a-t-il ajouté lors de la conférence de presse qu'il a animée hier au siège de son parti à Alger car, de son point de vue, « l'opposition formée par d'anciens Premiers ministres et ministres ne peut pas représenter l'opposition ». L'ISCO a, pour rappel, lancé un appel à des marches pour le 24 février sur l'ensemble du territoire national, y compris donc à Alger où, pourtant les marches sont interdites depuis 2001. Il a ainsi dénié le statut d'opposants à Mouloud Hammrouche, Ahmed Benbitour ou encore Ali Benflis, tous les trois cités nommément. « Ce n'est pas à la presse de décréter qui est opposant et qui ne l'est pas » car « l'opposition est une ligne de conduite politique et c'est pas au milieu du gué qu'on enfile le costume d'opposant ». « Si Ali Benflis est opposant, qui suis-je moi ? ». Une interrogation lourde de sens à travers laquelle le conférencier a rappelé son parcours d'opposant depuis les années 80. Dans la même lignée, il a précisé n'être « pas concerné par les initiatives de la CNLTD ou du FFS ». Fawzi Rebaine a aussi apporté son soutien aux syndicats du secteur de l'Education nationale qui ont appelé à des mouvements de grève La Coordination des syndicats entamera à partir d'aujourd'hui une grève de deux jours, alors que le Cnapest lui emboîtera le pas le 16 février pour une grève d'une journée reconductible. « Les revendications des syndicats sont légitimes » a-t-il martelé en pointant un doigt accusateur en direction des pouvoirs publics qui sont, d'après lui, les seuls responsables du marasme qui secoue le secteur de l'Education. « Le secteur de l'Education est une grande catastrophe » selon lui. Il a aussi fustigé les associations des parents d'élèves qui sont exclusivement au service des pouvoirs publics tout en appelant toutes les parties au dialogue et à observer « une trêve ». Il a prôné un dialogue constructif. Rebaine s'est aussi attaqué au président de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel, Miloud Chorfi. « C'est un homme politique affilé à un parti politique » dira-t-il en précisant « qu'il n'a jamais défendu la liberté d'expression ou les droits de l'Homme ». Par conséquent le président de AHD 54 a clairement mis en avant son scepticisme en soulignant notamment qu'il ne croit pas « à la neutralité de cette autorité ». Dans ce même contexte, et évoquant les chaînes de télévision privées, Rebaine s'est interrogé sur leurs moyens de financement en mettrant en garde contre « le transfert d'argent » qui pourrait s'opérer par le biais d'entreprises publiques. Il s'est aussi attaqué au président du FCE , Ali Haddad, en particulier et à certains patrons en général en indiquant que ces derniers se servent de l'argent du Trésor public. S'agissant des événements d'In-Salah, il a plaidé pour le dialogue et la nécessité pour le gouvernement d'être à l'écoute des populations. Car, selon lui, « les dérapages ne sont pas à exclure ». « Je ne suis pas concerné par ces marches » a indiqué d'emblée le président de AHD 54 en n'hésitant pas à descendre en flammes les initiateurs de cet appel, en l'occurrence l'ISCO. « Le 24 février donc ce n'est pas l'opposition » a-t-il ajouté lors de la conférence de presse qu'il a animée hier au siège de son parti à Alger car, de son point de vue, « l'opposition formée par d'anciens Premiers ministres et ministres ne peut pas représenter l'opposition ». L'ISCO a, pour rappel, lancé un appel à des marches pour le 24 février sur l'ensemble du territoire national, y compris donc à Alger où, pourtant les marches sont interdites depuis 2001. Il a ainsi dénié le statut d'opposants à Mouloud Hammrouche, Ahmed Benbitour ou encore Ali Benflis, tous les trois cités nommément. « Ce n'est pas à la presse de décréter qui est opposant et qui ne l'est pas » car « l'opposition est une ligne de conduite politique et c'est pas au milieu du gué qu'on enfile le costume d'opposant ». « Si Ali Benflis est opposant, qui suis-je moi ? ». Une interrogation lourde de sens à travers laquelle le conférencier a rappelé son parcours d'opposant depuis les années 80. Dans la même lignée, il a précisé n'être « pas concerné par les initiatives de la CNLTD ou du FFS ». Fawzi Rebaine a aussi apporté son soutien aux syndicats du secteur de l'Education nationale qui ont appelé à des mouvements de grève La Coordination des syndicats entamera à partir d'aujourd'hui une grève de deux jours, alors que le Cnapest lui emboîtera le pas le 16 février pour une grève d'une journée reconductible. « Les revendications des syndicats sont légitimes » a-t-il martelé en pointant un doigt accusateur en direction des pouvoirs publics qui sont, d'après lui, les seuls responsables du marasme qui secoue le secteur de l'Education. « Le secteur de l'Education est une grande catastrophe » selon lui. Il a aussi fustigé les associations des parents d'élèves qui sont exclusivement au service des pouvoirs publics tout en appelant toutes les parties au dialogue et à observer « une trêve ». Il a prôné un dialogue constructif. Rebaine s'est aussi attaqué au président de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel, Miloud Chorfi. « C'est un homme politique affilé à un parti politique » dira-t-il en précisant « qu'il n'a jamais défendu la liberté d'expression ou les droits de l'Homme ». Par conséquent le président de AHD 54 a clairement mis en avant son scepticisme en soulignant notamment qu'il ne croit pas « à la neutralité de cette autorité ». Dans ce même contexte, et évoquant les chaînes de télévision privées, Rebaine s'est interrogé sur leurs moyens de financement en mettrant en garde contre « le transfert d'argent » qui pourrait s'opérer par le biais d'entreprises publiques. Il s'est aussi attaqué au président du FCE , Ali Haddad, en particulier et à certains patrons en général en indiquant que ces derniers se servent de l'argent du Trésor public. S'agissant des événements d'In-Salah, il a plaidé pour le dialogue et la nécessité pour le gouvernement d'être à l'écoute des populations. Car, selon lui, « les dérapages ne sont pas à exclure ».