Un nouveau plan d'action contre la cybercriminalité sera en vigueur ces jours-ci. La DGSN en partenariat avec plusieurs institutions étatiques va bénéficier d'équipements de surveillance électronique pour 22 wilayas. Un nouveau plan d'action contre la cybercriminalité sera en vigueur ces jours-ci. La DGSN en partenariat avec plusieurs institutions étatiques va bénéficier d'équipements de surveillance électronique pour 22 wilayas. A l'instar des autres pays, l'Algérie reste l'objet de multiples attaques via le net. L'année 2014, les forces de sécurité ont recensé 221 affaires classées dans les délits de la cybercriminalité. En 2015, les institutions publiques et des entreprises ont subi moins d'attaques mais la prévention grâce à de nouveaux équipements va être certainement d'une grande utilité pour la sécurité leur système informatique. Il faut savoir que le texte de loi sur la lutte contre la cybercriminalité énonce déjà « les mesures préventives de lutte contre la cybercriminalité ». Le texte en question précise également « les procédures conformes aux normes universelles auxquelles seront tenus les opérateurs en matière de communications électroniques ». Aussi, est-il indiqué que toutes les institutions doivent avoir des équipements dotés de Spam qui signalent automatiquement les emails non autorisés ou porteurs de virus qui peuvent nuire au système de réseaux. Le directeur central chargé de la société de l'information au ministère du PTIC a estimé récemment lors d'uns séminaire portant sur le sujet « qu'une lutte efficace contre cette criminalité nécessite de la prévention, du renseignement et du partage d'informations tant au niveau national qu'international ». Un organe de coordination entre différents services de l'Etat est déjà opérationnel depuis quelques temps. Il permet ainsi d'effectuer un partage d'informations sur d'éventuelles attaques contre les institutions et entreprises publiques. De son côté, le ministère de la Justice a initié des magistrats à des cycles de formations spécialisées dans ce qu'on appelle les délits de la cybercriminalité. A l'instar des autres pays, l'Algérie reste l'objet de multiples attaques via le net. L'année 2014, les forces de sécurité ont recensé 221 affaires classées dans les délits de la cybercriminalité. En 2015, les institutions publiques et des entreprises ont subi moins d'attaques mais la prévention grâce à de nouveaux équipements va être certainement d'une grande utilité pour la sécurité leur système informatique. Il faut savoir que le texte de loi sur la lutte contre la cybercriminalité énonce déjà « les mesures préventives de lutte contre la cybercriminalité ». Le texte en question précise également « les procédures conformes aux normes universelles auxquelles seront tenus les opérateurs en matière de communications électroniques ». Aussi, est-il indiqué que toutes les institutions doivent avoir des équipements dotés de Spam qui signalent automatiquement les emails non autorisés ou porteurs de virus qui peuvent nuire au système de réseaux. Le directeur central chargé de la société de l'information au ministère du PTIC a estimé récemment lors d'uns séminaire portant sur le sujet « qu'une lutte efficace contre cette criminalité nécessite de la prévention, du renseignement et du partage d'informations tant au niveau national qu'international ». Un organe de coordination entre différents services de l'Etat est déjà opérationnel depuis quelques temps. Il permet ainsi d'effectuer un partage d'informations sur d'éventuelles attaques contre les institutions et entreprises publiques. De son côté, le ministère de la Justice a initié des magistrats à des cycles de formations spécialisées dans ce qu'on appelle les délits de la cybercriminalité.