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Un artiste aux multiples facettes
Entretien avec Bachir Lalalli, auteur-comédien-metteur en scène du TRB
Publié dans Le Midi Libre le 02 - 06 - 2015

Bachir Lalalli fait partie de la tendance actuelle du théâtre algérien qui ressent le besoin de dire ce qu'il pense. Connu pour sa pièce Dinouzour, Bachir est revenu avec une nouvelle pièce présentée en compétition dans le cadre de cette 10e édition du Festival national du théâtre professionnel, représentant ainsi le théâtre régional de Béjaïa.
Bachir Lalalli fait partie de la tendance actuelle du théâtre algérien qui ressent le besoin de dire ce qu'il pense. Connu pour sa pièce Dinouzour, Bachir est revenu avec une nouvelle pièce présentée en compétition dans le cadre de cette 10e édition du Festival national du théâtre professionnel, représentant ainsi le théâtre régional de Béjaïa.
Le jeune auteur, comédien et metteur en scène, que nous avons sollicité à la fin de la séance débat, a bien voulu répondre à nos questions.
Midi Libre : Que voulez-vous transmettre à travers cette nouvelle oeuvre ?
Bachir Lallali : Comme ce n'est un secret pour personne, le monde est en pleines turbulences. Théâtralement, je veux montrer cette situation, à ma manière, qui , hélas, empire de plus en plus. Et c'est mon devoir en tant qu'artiste. La pièce traite de la dictature et de la confiscation de la volonté populaire. Dez ya khoya dez est clairement une dénonciation des comportements des gouvernements arabes ou considérés comme tels.
Que confirme ce texte pour vous ?
Ce texte est là pour confirmer ce désir profond que ressentent les artistes d'exprimer une situation bien réelle, par des moyens artistiques pour mieux faire passer leur message. Pour vous dire, son écriture a pris pas moins d'une année et demie et sa mise en scène quatre à cinq mois. Il y a eu du travail, beaucoup de travail pour la mettre sur pied.
On a constaté que le casting que vous avez fait est très ordinaire...
Absolument. Parmi les comédiens, il y a ceux qui n'ont jamais mis les pieds sur les planches. Mais c'est voulu. Il s'agit de six comédiens, dont Réda Aiache qui joue le rôle de l'intégriste, Bizzek Boussekine, qui a été longtemps absent de la scène et qui revient à l'occasion de cette pièce, Sofiane Boukemouche qui joue le rôle de l'historien, Massinissa Fettis, qui incarne l'autorité, Lounis Naït Ali et Cheikh Salek, le comédien venu du fin fond du Sahara occidental.
Que voulez-vous insinuer par Dez ya khoya dez ?
C'est un appel pour ne pas lâcher prise et résister à toutes les situations pour protéger notre Algérie et toute l'humanité en général.
Le jeune auteur, comédien et metteur en scène, que nous avons sollicité à la fin de la séance débat, a bien voulu répondre à nos questions.
Midi Libre : Que voulez-vous transmettre à travers cette nouvelle oeuvre ?
Bachir Lallali : Comme ce n'est un secret pour personne, le monde est en pleines turbulences. Théâtralement, je veux montrer cette situation, à ma manière, qui , hélas, empire de plus en plus. Et c'est mon devoir en tant qu'artiste. La pièce traite de la dictature et de la confiscation de la volonté populaire. Dez ya khoya dez est clairement une dénonciation des comportements des gouvernements arabes ou considérés comme tels.
Que confirme ce texte pour vous ?
Ce texte est là pour confirmer ce désir profond que ressentent les artistes d'exprimer une situation bien réelle, par des moyens artistiques pour mieux faire passer leur message. Pour vous dire, son écriture a pris pas moins d'une année et demie et sa mise en scène quatre à cinq mois. Il y a eu du travail, beaucoup de travail pour la mettre sur pied.
On a constaté que le casting que vous avez fait est très ordinaire...
Absolument. Parmi les comédiens, il y a ceux qui n'ont jamais mis les pieds sur les planches. Mais c'est voulu. Il s'agit de six comédiens, dont Réda Aiache qui joue le rôle de l'intégriste, Bizzek Boussekine, qui a été longtemps absent de la scène et qui revient à l'occasion de cette pièce, Sofiane Boukemouche qui joue le rôle de l'historien, Massinissa Fettis, qui incarne l'autorité, Lounis Naït Ali et Cheikh Salek, le comédien venu du fin fond du Sahara occidental.
Que voulez-vous insinuer par Dez ya khoya dez ?
C'est un appel pour ne pas lâcher prise et résister à toutes les situations pour protéger notre Algérie et toute l'humanité en général.


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