Le contenu du projet de la loi de finances complémentaire 2015 ne semble pas agréer de larges pans de la classe politique. Le contenu du projet de la loi de finances complémentaire 2015 ne semble pas agréer de larges pans de la classe politique. Le MSP fait partie des partis politiques qui s'inscrivent en porte-à-faux avec les grandes lignes de ce projet, dont le contenu a filtré dans la presse nationale alors que le texte n'est qu'au stade d'avant-projet puisqu'il n'est pas encore passé par le Conseil des ministres. Le MSP, qui suspecte le pouvoir de vouloir passer le projet en question à travers une ordonnance présidentielle, dit d'emblée non à cette démarche. En outre ce parti politique suspecte aussi le gouvernement de vouloir de nouveau, suite à l'effondrement des prix du baril de pétrole et à l'amenuisement des ressources financières du pays, de vouloir de nouveau contracter des crédits pour faire face à cette nouvelle donne. Dans le communiqué rendu public hier, faisant suite à la réunion de son bureau national, le MSP estime que cette nouvelle tendance n'est que le reflet de l'échec de la politique gouvernementale ce d'autant que durant plus de 10 années le pays a bénéficié d'une hausse considérable des prix du baril du pétrole et avait donc à sa disposition une formidable manne financière. Le communiqué du MSP, signé de la main de son président, Abderezak Makri, accuse aussi le pouvoir d'avoir fait perdre au pays une chance historique à cause de la gabegie dans la gestion et la propagation du phénomène de la corruption. Sur un autre plan, purement politique celui-là, le MSP réitère son invitation au pouvoir afin d'accepter de collaborer avec l'opposition conformément aux normes internationales pour faciliter la transition démocratique « négociée » et ce afin d'éviter le chaos et l'instabilité. Nul besoin de rappeler que le MSP, qui a fustigé dans son communiqué la politique gouvernementale «d'achat de la paix sociale», fait partie de la CNLTD et de l'ICSO au sein desquelles se regroupe la majorité des partis de l'opposition. Des partis qui n'ont eu de cesse de clamer, en vain, la nécessité d'une transition démocratique. Le pouvoir a toujours opposé une fin de non recevoir à ces doléances. Conjoncture oblige, le MSP a condamné la montée de la violence et du terrorisme qui touche plusieurs pays arabes, dont la Tunisie qui vient d'être frappée de plein fouet par une attaque terroriste d'envergure quia a fait presque 40 morts, dont une grande majorité de touristes européens. Par la suite, le MSP développe une lecture par rapport à la recrudescence du terrorisme en estimant que ces pratiques sont des moyens destructeurs entre les mains des puissances colonialistes et des régimes totalitaires pour réprimer les peuples et contrôler leur volonté. Dans la foulée, le MSP considère aussi que les réseaux terroristes sont des phénomènes marginaux dans les sociétés arabes par rapport aux mouvements réformistes pacifistes. Le communiqué s'étonne en outre du retour des actes terroristes après un reflux suite aux révolutions arabes. Le MSP dénonce enfin l'attaque de la flotille qui a voulu briser le blocus de la bande de Ghaza . . Le MSP fait partie des partis politiques qui s'inscrivent en porte-à-faux avec les grandes lignes de ce projet, dont le contenu a filtré dans la presse nationale alors que le texte n'est qu'au stade d'avant-projet puisqu'il n'est pas encore passé par le Conseil des ministres. Le MSP, qui suspecte le pouvoir de vouloir passer le projet en question à travers une ordonnance présidentielle, dit d'emblée non à cette démarche. En outre ce parti politique suspecte aussi le gouvernement de vouloir de nouveau, suite à l'effondrement des prix du baril de pétrole et à l'amenuisement des ressources financières du pays, de vouloir de nouveau contracter des crédits pour faire face à cette nouvelle donne. Dans le communiqué rendu public hier, faisant suite à la réunion de son bureau national, le MSP estime que cette nouvelle tendance n'est que le reflet de l'échec de la politique gouvernementale ce d'autant que durant plus de 10 années le pays a bénéficié d'une hausse considérable des prix du baril du pétrole et avait donc à sa disposition une formidable manne financière. Le communiqué du MSP, signé de la main de son président, Abderezak Makri, accuse aussi le pouvoir d'avoir fait perdre au pays une chance historique à cause de la gabegie dans la gestion et la propagation du phénomène de la corruption. Sur un autre plan, purement politique celui-là, le MSP réitère son invitation au pouvoir afin d'accepter de collaborer avec l'opposition conformément aux normes internationales pour faciliter la transition démocratique « négociée » et ce afin d'éviter le chaos et l'instabilité. Nul besoin de rappeler que le MSP, qui a fustigé dans son communiqué la politique gouvernementale «d'achat de la paix sociale», fait partie de la CNLTD et de l'ICSO au sein desquelles se regroupe la majorité des partis de l'opposition. Des partis qui n'ont eu de cesse de clamer, en vain, la nécessité d'une transition démocratique. Le pouvoir a toujours opposé une fin de non recevoir à ces doléances. Conjoncture oblige, le MSP a condamné la montée de la violence et du terrorisme qui touche plusieurs pays arabes, dont la Tunisie qui vient d'être frappée de plein fouet par une attaque terroriste d'envergure quia a fait presque 40 morts, dont une grande majorité de touristes européens. Par la suite, le MSP développe une lecture par rapport à la recrudescence du terrorisme en estimant que ces pratiques sont des moyens destructeurs entre les mains des puissances colonialistes et des régimes totalitaires pour réprimer les peuples et contrôler leur volonté. Dans la foulée, le MSP considère aussi que les réseaux terroristes sont des phénomènes marginaux dans les sociétés arabes par rapport aux mouvements réformistes pacifistes. Le communiqué s'étonne en outre du retour des actes terroristes après un reflux suite aux révolutions arabes. Le MSP dénonce enfin l'attaque de la flotille qui a voulu briser le blocus de la bande de Ghaza . .
