Le ministre d'Etat, ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra a souligné à Alger le rôle de l'Algérie dans la formation de cadres et de personnalités du continent africains après l'indépendance. Le ministre d'Etat, ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra a souligné à Alger le rôle de l'Algérie dans la formation de cadres et de personnalités du continent africains après l'indépendance. Intervenant lors d'une rencontre organisée à l'Ecole nationale d'administration (ENA), à l'occasion de la Journée de la femme africaine, M. Lamamra a indiqué que l'Algérie avait contribué à la formation de cadres africains et de personnalités éminentes du continent dans différents domaines. Il a ajouté que les réalisations accomplies par l'Algérie dans différentsdomaines dans le cadre de son processus de l'édification, notamment les infrastructures culturelles, économiques et sociales ainsi que les établissements d'enseignement, de formation et de recherche scientifique, "ont permis de partager cette richesse scientifique et culturelle avec plusieurs pays frères et amis du continent africain". M. Lamamra a rappelé dans le même contexte que l'Algérie avait contribué à la formation de cadres relevant des différents secteurs, citant notamment l'ENA qui a formé plusieurs personnalités éminentes du continent. L'Algérie qui a formé depuis l'indépendance plus de 50.000 cadres africains, est un "exemple" en matière de partage du savoir, de la science et de la formation dans le cadre de son appartenance à l'Afrique et au monde arabe, a-t-il soutenu, ajoutant que "l'engagement de l'Algérie participe de de sa conviction que son indépendance et sa prospérité sont étroitement liées à celles des pays frères et amis du continent africain". Il a également indiqué que "l'école algérienne a donné les meilleurs exemples dans la formation de générations capables de s'adapter aux exigences et aux nouvelles technologies que connaît le monde d'aujourd'hui". De son côté, la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Mounia Meslem a souligné l'importance de cette journée, célébrée depuis 1999. Elle a rappelé que l'Union africaine avait institué cette journée pour rendre hommage au rôle de la femme africaine permettant, a-t-elle dit, "d'arrêter les stratégies visant à promouvoir la place de la femme dans le continent". Mme Meslem s'est félicitée à cette occasion des réalisations accomplies par la femme africaine en matière d'enseignement supérieur et de formation dans le cadre de la coopération sudsud, à laquelle l'Algérie, a-t-elle soutenu, "demeure engagée par ses ressources humaines et matérielles conformément à ses valeurs suprêmes dans la défense des causes justes et du respect des libertés des peuples". La rencontre a permis par ailleurs à des étudiantes africaines poursuivant leurs études dans des écoles et instituts algériens, d'apporter leurs témoignages sur la qualité de l'enseignement offert par les enseignants et cadres algériens. Intervenant lors d'une rencontre organisée à l'Ecole nationale d'administration (ENA), à l'occasion de la Journée de la femme africaine, M. Lamamra a indiqué que l'Algérie avait contribué à la formation de cadres africains et de personnalités éminentes du continent dans différents domaines. Il a ajouté que les réalisations accomplies par l'Algérie dans différentsdomaines dans le cadre de son processus de l'édification, notamment les infrastructures culturelles, économiques et sociales ainsi que les établissements d'enseignement, de formation et de recherche scientifique, "ont permis de partager cette richesse scientifique et culturelle avec plusieurs pays frères et amis du continent africain". M. Lamamra a rappelé dans le même contexte que l'Algérie avait contribué à la formation de cadres relevant des différents secteurs, citant notamment l'ENA qui a formé plusieurs personnalités éminentes du continent. L'Algérie qui a formé depuis l'indépendance plus de 50.000 cadres africains, est un "exemple" en matière de partage du savoir, de la science et de la formation dans le cadre de son appartenance à l'Afrique et au monde arabe, a-t-il soutenu, ajoutant que "l'engagement de l'Algérie participe de de sa conviction que son indépendance et sa prospérité sont étroitement liées à celles des pays frères et amis du continent africain". Il a également indiqué que "l'école algérienne a donné les meilleurs exemples dans la formation de générations capables de s'adapter aux exigences et aux nouvelles technologies que connaît le monde d'aujourd'hui". De son côté, la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Mounia Meslem a souligné l'importance de cette journée, célébrée depuis 1999. Elle a rappelé que l'Union africaine avait institué cette journée pour rendre hommage au rôle de la femme africaine permettant, a-t-elle dit, "d'arrêter les stratégies visant à promouvoir la place de la femme dans le continent". Mme Meslem s'est félicitée à cette occasion des réalisations accomplies par la femme africaine en matière d'enseignement supérieur et de formation dans le cadre de la coopération sudsud, à laquelle l'Algérie, a-t-elle soutenu, "demeure engagée par ses ressources humaines et matérielles conformément à ses valeurs suprêmes dans la défense des causes justes et du respect des libertés des peuples". La rencontre a permis par ailleurs à des étudiantes africaines poursuivant leurs études dans des écoles et instituts algériens, d'apporter leurs témoignages sur la qualité de l'enseignement offert par les enseignants et cadres algériens.
