Cette rentrée verra un trousseau scolaire plus cher. Les parents d'élèves se plaignent de prix exagérés qui ne leur permettent pas de subvenir aux besoins de leurs enfants. Cette rentrée verra un trousseau scolaire plus cher. Les parents d'élèves se plaignent de prix exagérés qui ne leur permettent pas de subvenir aux besoins de leurs enfants. La facture des dépenses des fournitures scolaires sera élevée. Pas un magasin ou un espace commercial qui ne pratique des prix prohibitifs mettant en difficulté les petites bourses. Les cartables et sacs scolaires coûtent en moyenne entre 2.000 à 3.000 DA et un pack de stylos à bille est à 200 DA sans compter les tabliers, la trousse, les cahiers et livres dont ont besoin les enfants scolarisés dans les premiers paliers. La conjoncture ne se prête pas à des dépenses normales et certains n'arrivent pas à comprendre ce phénomène qui touche des millions d'élèves obligés de s'armer pour cette rentrée en fournitures. Sauf quelques éléments qu'on peut trouver aisément dans les grands espaces commerciaux, la plupart du matériel scolaire est importé et le choix des pays pour les gros importateurs est multiple. L'Europe, la Chine et Dubai constituent selon nos sources les pays qui arrivent à écouler tous leurs produits avec une facilité déconcertante. Des marques et des labels sont nettement visibles pour ceux qui s'approvisionnent en ces produits. On estime ainsi que les dépenses globales pour cette année sont de l'ordre de 60 milliards de dinars avec une tendance à la hausse. Les élèves sont soumis à un cartable bien rempli avec tous les outils pour les travaux pratiques en classe dont un crayon de couleur ou une ardoise qui reviennent plus chers que d'habitude. Certains guettent les promotions rares en se procurant des packages de cahiers ou de livres un peu abordables par rapport à ce qui est exposé dans les magasins des grandes artères. Cependant, ce n'est pas le cas pour d'autres commerçants qui ne lésinent pas sur les moyens de marketing pour obliger les parents à acheter aux prix indiqués sans discount ni bonus comme on a l'habitude de voir ce genre de pratiques sous d'autres cieux. Bien avant la rentrée des classes, les magasins qui varient en produits esthétiquement bien attirants et séduisants, sont dans l'expectative. Ils projettent, pour la plupart d'entre eux, de baisser les prix aussitôt la rentrée entamée. Pour ce qui est du livre scolaire et parascolaire, c'est le même constat. Les livres de lecture fournis par l'Office national de publications scolaires ont un peu évolué dans la forme et la présentation par rapport à il y a quelques années. Les livres de lectures et de maths pour le cycle primaire présentent un avantage de qualité avec des prix étudiés. Mais, ils ne sont pas disponibles partout vu le nombre croissant d'élèves scolarisés pour cette année. Pour parfaire le cursus de leurs enfants, certains parents n'hésitent plus en fonction de leurs revenus à acheter les livres au format de poche aux contenus littéraires ou scientifiques. La tendance qui colle à l'actualité marche bien pour les concepteurs et éditeurs étrangers qui trouvent un marché en or en Algérie. Les livres aux contenus illustrés et aux récits scientifiques réactualisés attirent bien mais ne font que le bonheur des familles aisées et leurs progénitures. La facture des dépenses des fournitures scolaires sera élevée. Pas un magasin ou un espace commercial qui ne pratique des prix prohibitifs mettant en difficulté les petites bourses. Les cartables et sacs scolaires coûtent en moyenne entre 2.000 à 3.000 DA et un pack de stylos à bille est à 200 DA sans compter les tabliers, la trousse, les cahiers et livres dont ont besoin les enfants scolarisés dans les premiers paliers. La conjoncture ne se prête pas à des dépenses normales et certains n'arrivent pas à comprendre ce phénomène qui touche des millions d'élèves obligés de s'armer pour cette rentrée en fournitures. Sauf quelques éléments qu'on peut trouver aisément dans les grands espaces commerciaux, la plupart du matériel scolaire est importé et le choix des pays pour les gros importateurs est multiple. L'Europe, la Chine et Dubai constituent selon nos sources les pays qui arrivent à écouler tous leurs produits avec une facilité déconcertante. Des marques et des labels sont nettement visibles pour ceux qui s'approvisionnent en ces produits. On estime ainsi que les dépenses globales pour cette année sont de l'ordre de 60 milliards de dinars avec une tendance à la hausse. Les élèves sont soumis à un cartable bien rempli avec tous les outils pour les travaux pratiques en classe dont un crayon de couleur ou une ardoise qui reviennent plus chers que d'habitude. Certains guettent les promotions rares en se procurant des packages de cahiers ou de livres un peu abordables par rapport à ce qui est exposé dans les magasins des grandes artères. Cependant, ce n'est pas le cas pour d'autres commerçants qui ne lésinent pas sur les moyens de marketing pour obliger les parents à acheter aux prix indiqués sans discount ni bonus comme on a l'habitude de voir ce genre de pratiques sous d'autres cieux. Bien avant la rentrée des classes, les magasins qui varient en produits esthétiquement bien attirants et séduisants, sont dans l'expectative. Ils projettent, pour la plupart d'entre eux, de baisser les prix aussitôt la rentrée entamée. Pour ce qui est du livre scolaire et parascolaire, c'est le même constat. Les livres de lecture fournis par l'Office national de publications scolaires ont un peu évolué dans la forme et la présentation par rapport à il y a quelques années. Les livres de lectures et de maths pour le cycle primaire présentent un avantage de qualité avec des prix étudiés. Mais, ils ne sont pas disponibles partout vu le nombre croissant d'élèves scolarisés pour cette année. Pour parfaire le cursus de leurs enfants, certains parents n'hésitent plus en fonction de leurs revenus à acheter les livres au format de poche aux contenus littéraires ou scientifiques. La tendance qui colle à l'actualité marche bien pour les concepteurs et éditeurs étrangers qui trouvent un marché en or en Algérie. Les livres aux contenus illustrés et aux récits scientifiques réactualisés attirent bien mais ne font que le bonheur des familles aisées et leurs progénitures.