Les dépenses pour le développement de la ressource humaine ont été consacrées aux secteurs névralgiques, soit la santé et l'éducation. En termes de réalisations, 40 % des dépenses ont été utilisées pour de nouveaux projets. Les dépenses pour le développement de la ressource humaine ont été consacrées aux secteurs névralgiques, soit la santé et l'éducation. En termes de réalisations, 40 % des dépenses ont été utilisées pour de nouveaux projets. L'Etat a dépensé des milliards de dinars pour résorber le manque d'infrastructures dans les domaines estimés vitaux pour la nation. Ainsi, il y va du ressort de l'éducation et la santé pour lesquels les réalisations ont été importantes et qui arrivent en tête en termes de volume d'argent retenu pour l'amélioration et le renforcement de leurs infrastructures. Dans le détail, l'Education nationale a enregistré la réalisation de 5.000 infrastructures de base parmi lesquelles on peut noter la réalisation de 3.000 écoles primaires, 1.000 CEM et 850 lycées. Tous ces projets sont aujourd'hui opérationnels sans compter la liste qui sera conduite prochainement pour compléter les chantiers dans la région du Sud. De même que l'enseignement supérieur a totalisé la création de 600.000 places pédagogiques jusqu'à fin 2015 avec la création de 400.000 lits pour les résidences universitaires et 44 nouveaux restaurants. La santé n'est pas en reste puisque le dernier bilan permet de constater que 172 hôpitaux, 377 polycliniques spécialisées, 1.000 salles de soins et 17 écoles de formations dans le paramédical ont été réalisés en l'espace de 4 années. C'est dire que le gouvernement n'a pas reculé face à ces deux secteurs contrairement à ce que rapportent d'autres sources. Le secteur de la solidarité a également bénéficié d'une dépense qui lui a permis de réaliser des chantiers qui étaient en attente, à savoir 70 centres spécialisés pour la prise en charge des handicapés et 40 autres destinés pour les personnes vulnérables et n'ayant pas de revenus. Malgré la crise qui a obligé le gouvernement à mettre en place des restrictions budgétaires dans pas mal de secteurs, les ressources ne vont pas se tarir pour ce qui est des transferts sociaux. Selon un état de lieux dressé par un comité d'expertise au niveau gouvernemental, la priorité actuelle de l'Etat est d'éviter le resserrement des budgets lorsqu'il s'agit de développement humain. La scolarisation, réduction des décès à l'accouchement et l'analphabétisme Le plan stratégique du gouvernement vise dans l'ensemble certains aspects dont il a la responsabilité de leur amélioration. En premier lieu, il s'agit de réduire le taux de mortalité post-natale qui a été de 22 % en 2014 mais en revanche ce taux a régressé de moitié depuis 25 ans. Le plan prévoit dans ce cadre d'améliorer le taux de natalité pendant l'accouchement à travers une prise en charge intégrale de tous les risques liés à la grossesse. L'indice de fécondité qui enregistre globalement près de 3.000 naissances par jour indique une hausse légère par rapport aux premières années 2000. A ce niveau, les dépenses pour les soins de santé dès l'accouchement ne seront pas revues à la baisse. Toutefois, l'âge moyen pour l'accouchement continue sa baisse avec une moyenne retenue de 31,3 ans. Pour ce qui est de la scolarisation, il y a lieu de noter que globalement le taux atteint est de 98 %, ce qui renseigne que les 2 % restants sont dus à l'effet de phénomènes particuliers. Les zones non enclavées n'ont pas d'établissements scolaires et l'inscription des enfants en âge de scolarité ne se fait pas correctement dans ces endroits. Mais il faut reconnaître que ce taux reste largement satisfaisant et que le plan futur vise à réduire la déperdition scolaire et le décrochage tels que le ministère de l'Education le prévoit. En ce qui concerne l'analphabétisme, il faut noter que son recul se fait constater d'année en année. Si le taux était de l'ordre de 22 % en 2008, les efforts inscrits par les pouvoirs publics l'ont réduit à 15% alors que les projections l'annoncent à 12 % en 2018. Cela dit, cette population d'analphabètes n'est pas de l'ordre de millions comme ce fut le cas il y a des années. Les classes pédagogiques d'alphabétisation seront généralisées cette année avec un espoir d'éradiquer ce fléau dans les années à venir. L'Etat a dépensé des milliards de dinars pour résorber le manque d'infrastructures dans les domaines estimés vitaux pour la nation. Ainsi, il y va du ressort de l'éducation et la santé pour lesquels les réalisations ont été importantes et qui arrivent en tête en termes de volume d'argent retenu pour l'amélioration et le renforcement de leurs infrastructures. Dans le détail, l'Education nationale a enregistré la réalisation de 5.000 infrastructures de base parmi lesquelles on peut noter la réalisation de 3.000 écoles primaires, 1.000 CEM et 850 lycées. Tous ces projets sont aujourd'hui opérationnels sans compter la liste qui sera conduite prochainement pour compléter les chantiers dans la région du Sud. De même que l'enseignement supérieur a totalisé la création de 600.000 places pédagogiques jusqu'à fin 2015 avec la création de 400.000 lits pour les résidences universitaires et 44 nouveaux restaurants. La santé n'est pas en reste puisque le dernier bilan permet de constater que 172 hôpitaux, 377 polycliniques spécialisées, 1.000 salles de soins et 17 écoles de formations dans le paramédical ont été réalisés en l'espace de 4 années. C'est dire que le gouvernement n'a pas reculé face à ces deux secteurs contrairement à ce que rapportent d'autres sources. Le secteur de la solidarité a également bénéficié d'une dépense qui lui a permis de réaliser des chantiers qui étaient en attente, à savoir 70 centres spécialisés pour la prise en charge des handicapés et 40 autres destinés pour les personnes vulnérables et n'ayant pas de revenus. Malgré la crise qui a obligé le gouvernement à mettre en place des restrictions budgétaires dans pas mal de secteurs, les ressources ne vont pas se tarir pour ce qui est des transferts sociaux. Selon un état de lieux dressé par un comité d'expertise au niveau gouvernemental, la priorité actuelle de l'Etat est d'éviter le resserrement des budgets lorsqu'il s'agit de développement humain. La scolarisation, réduction des décès à l'accouchement et l'analphabétisme Le plan stratégique du gouvernement vise dans l'ensemble certains aspects dont il a la responsabilité de leur amélioration. En premier lieu, il s'agit de réduire le taux de mortalité post-natale qui a été de 22 % en 2014 mais en revanche ce taux a régressé de moitié depuis 25 ans. Le plan prévoit dans ce cadre d'améliorer le taux de natalité pendant l'accouchement à travers une prise en charge intégrale de tous les risques liés à la grossesse. L'indice de fécondité qui enregistre globalement près de 3.000 naissances par jour indique une hausse légère par rapport aux premières années 2000. A ce niveau, les dépenses pour les soins de santé dès l'accouchement ne seront pas revues à la baisse. Toutefois, l'âge moyen pour l'accouchement continue sa baisse avec une moyenne retenue de 31,3 ans. Pour ce qui est de la scolarisation, il y a lieu de noter que globalement le taux atteint est de 98 %, ce qui renseigne que les 2 % restants sont dus à l'effet de phénomènes particuliers. Les zones non enclavées n'ont pas d'établissements scolaires et l'inscription des enfants en âge de scolarité ne se fait pas correctement dans ces endroits. Mais il faut reconnaître que ce taux reste largement satisfaisant et que le plan futur vise à réduire la déperdition scolaire et le décrochage tels que le ministère de l'Education le prévoit. En ce qui concerne l'analphabétisme, il faut noter que son recul se fait constater d'année en année. Si le taux était de l'ordre de 22 % en 2008, les efforts inscrits par les pouvoirs publics l'ont réduit à 15% alors que les projections l'annoncent à 12 % en 2018. Cela dit, cette population d'analphabètes n'est pas de l'ordre de millions comme ce fut le cas il y a des années. Les classes pédagogiques d'alphabétisation seront généralisées cette année avec un espoir d'éradiquer ce fléau dans les années à venir.