De nouvelles spécialités ont été introduites au sein de l'université. Du master en droit approfondi, en passant par le génie aéronautique à celui de l'agro-pastoralisme, ces nouvelles spécialités se comptent par centaines et assurent de nouveaux débouchés. De nouvelles spécialités ont été introduites au sein de l'université. Du master en droit approfondi, en passant par le génie aéronautique à celui de l'agro-pastoralisme, ces nouvelles spécialités se comptent par centaines et assurent de nouveaux débouchés. Le choix de ces filières a été arrêté par l'instruction ministérielle de juin 2015 qui a introduit prés de 600 spécialités qui seront étendues à l'avenir à d'autres dans le cadre de la restructuration du système LMD. En cours d'évaluation, les options retenues dans ce cadre misent « à valoriser la pédagogie universitaire en l'adaptant aux nouvelles réalités ». Il convient de noter que ces nouvelles spécialités concernent aussi bien les filières de sciences humaines que techniques. Les spécialités sont encadrées par des masters "spécial recherche" et d'autres pour « recherche et développement » en partenariat avec des entreprises. Jusque-là, près d'une centaine d'entreprises ont accepté dans le cadre d'une convention signée avec le ministère de l'Enseignement supérieur. Les centres universitaires de tous les pays ont d'ores et déjà inclus ces nouvelles filières. A titre illustratif, les sciences humaines (sociologie, philosophie et langues) ont obtenu l'accord des recteurs pour des spécialités telles sociologie du crime, étude critique des langues ou analyse du discours philosophique. De même que pour les sciences techniques, il s'agit de l'introduction de filières en biologie (environnement et sécurité alimentaire), en architecture (architecture en milieu hostile) ou en agronomie (études pastorales). Pour se mettre à niveau, le ministère de l'Enseignement supérieur s'engage à fournir un contenu pédagogique en s'associant à des universités et centres de recherches étrangers. Déjà, l'université de Bruxelles, celle de Paris Dauphine, le collège de Cambridge du Royaume-Uni, l'université de Montréal au Canada sont prêtes pour une collaboration pour un partenariat dans l'enseignement et leur contribution à l'encadrement pédagogique. Le choix de ces filières a été arrêté par l'instruction ministérielle de juin 2015 qui a introduit prés de 600 spécialités qui seront étendues à l'avenir à d'autres dans le cadre de la restructuration du système LMD. En cours d'évaluation, les options retenues dans ce cadre misent « à valoriser la pédagogie universitaire en l'adaptant aux nouvelles réalités ». Il convient de noter que ces nouvelles spécialités concernent aussi bien les filières de sciences humaines que techniques. Les spécialités sont encadrées par des masters "spécial recherche" et d'autres pour « recherche et développement » en partenariat avec des entreprises. Jusque-là, près d'une centaine d'entreprises ont accepté dans le cadre d'une convention signée avec le ministère de l'Enseignement supérieur. Les centres universitaires de tous les pays ont d'ores et déjà inclus ces nouvelles filières. A titre illustratif, les sciences humaines (sociologie, philosophie et langues) ont obtenu l'accord des recteurs pour des spécialités telles sociologie du crime, étude critique des langues ou analyse du discours philosophique. De même que pour les sciences techniques, il s'agit de l'introduction de filières en biologie (environnement et sécurité alimentaire), en architecture (architecture en milieu hostile) ou en agronomie (études pastorales). Pour se mettre à niveau, le ministère de l'Enseignement supérieur s'engage à fournir un contenu pédagogique en s'associant à des universités et centres de recherches étrangers. Déjà, l'université de Bruxelles, celle de Paris Dauphine, le collège de Cambridge du Royaume-Uni, l'université de Montréal au Canada sont prêtes pour une collaboration pour un partenariat dans l'enseignement et leur contribution à l'encadrement pédagogique.