Ces dernières années, partout dans le monde, les réformes des systèmes de retraite sont devenues une préoccupation majeure des responsables politiques à la suite des changements démographiques, de la transformation complète du marché du travail et, dernièrement, de la crise économique et financière. Ces dernières années, partout dans le monde, les réformes des systèmes de retraite sont devenues une préoccupation majeure des responsables politiques à la suite des changements démographiques, de la transformation complète du marché du travail et, dernièrement, de la crise économique et financière. La pression qui pèse sur les systèmes de retraite a poussé certains pays à entreprendre leur réforme à la hâte, ce qui soulève la question de la viabilité des réformes en question puisque certains enjeux ne sont pas pris en considération de façon adéquate. Notre pays, donc, n'est pas en reste puisque selon nos sources, rien ne va plus entre le département de Sidi Said et les différentes fédérations nationales des travailleurs affiliés à l'UGTA. Une remise en cause de la part de la tutelle de « quelques métiers », semble donner du piment à cette rencontre avortée au dernier moment. Du coup, la Centrale syndicale a décidé le report de l'examen du dossier qui divise jusqu'après les vacances. Une entrée sociale qui s'annonce chaude à l'horizon ! L'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) se retrouve donc au centre d'une crise concernant la définition des métiers et les secteurs non concernés par la révision du système de retraite, dont chacune des fédérations réclame d'être intégrée sur la liste des métiers pénibles. Selon nos sources, aucun consensus n'est trouvé au sujet des secteurs et des métiers à épargner des récentes décisions portant sur la suppression de la retraite anticipée et de la retraite sans condition d'âge. Chaque fédération réclame d'être intégrée dans la catégorie des métiers pénibles, estimant qu'aucune avancée ni consensus n'a été réalisé. En effet, le secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, n'a pas pu arracher une décision unanime auprès des présidents des fédérations lors d'une rencontre tenue durant le mois de Ramadhan dernier. Ces derniers le renvoient aux travailleurs auxquels revient, selon eux, le dernier mot, tout en n'excluant pas une éventuelle contestation de ces derniers si leur revendications ne sont pas prises en considérations. Bien que les «métiers pénibles» soient communément reconnus comme tels par les personnes qui possèdent une expérience du travail sur le terrain, le monde politique a généralement tendance à minimiser ou même à négliger totalement la réalité des métiers pénibles. Pour l'ensemble des travailleurs, si cette décision ne constituait qu'une mesure d'austérité parmi bien d'autres, elle se justifiait par la nécessité de sauvegarder les équilibres macro-économiques et la viabilité de nos pensions. Pour l'UGTA, par le biais de son secrétaire général, « cette situation ouvre les portes de l'enfer en évoquant ce dossier, dont toutes les fédérations réclament le maintien du régime de retraite et de la retraite anticipée». Notons que l'organisation syndicale a mis en place des éléments définissant la pénibilité du travail, entre autres les conditions de travail, la chaleur, les heures de travail, les maladies... D'autres secteurs exigent également le maintien de la retraite anticipée et sans condition d'âge, dont ceux de l'éducation et de la santé. La pression qui pèse sur les systèmes de retraite a poussé certains pays à entreprendre leur réforme à la hâte, ce qui soulève la question de la viabilité des réformes en question puisque certains enjeux ne sont pas pris en considération de façon adéquate. Notre pays, donc, n'est pas en reste puisque selon nos sources, rien ne va plus entre le département de Sidi Said et les différentes fédérations nationales des travailleurs affiliés à l'UGTA. Une remise en cause de la part de la tutelle de « quelques métiers », semble donner du piment à cette rencontre avortée au dernier moment. Du coup, la Centrale syndicale a décidé le report de l'examen du dossier qui divise jusqu'après les vacances. Une entrée sociale qui s'annonce chaude à l'horizon ! L'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) se retrouve donc au centre d'une crise concernant la définition des métiers et les secteurs non concernés par la révision du système de retraite, dont chacune des fédérations réclame d'être intégrée sur la liste des métiers pénibles. Selon nos sources, aucun consensus n'est trouvé au sujet des secteurs et des métiers à épargner des récentes décisions portant sur la suppression de la retraite anticipée et de la retraite sans condition d'âge. Chaque fédération réclame d'être intégrée dans la catégorie des métiers pénibles, estimant qu'aucune avancée ni consensus n'a été réalisé. En effet, le secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, n'a pas pu arracher une décision unanime auprès des présidents des fédérations lors d'une rencontre tenue durant le mois de Ramadhan dernier. Ces derniers le renvoient aux travailleurs auxquels revient, selon eux, le dernier mot, tout en n'excluant pas une éventuelle contestation de ces derniers si leur revendications ne sont pas prises en considérations. Bien que les «métiers pénibles» soient communément reconnus comme tels par les personnes qui possèdent une expérience du travail sur le terrain, le monde politique a généralement tendance à minimiser ou même à négliger totalement la réalité des métiers pénibles. Pour l'ensemble des travailleurs, si cette décision ne constituait qu'une mesure d'austérité parmi bien d'autres, elle se justifiait par la nécessité de sauvegarder les équilibres macro-économiques et la viabilité de nos pensions. Pour l'UGTA, par le biais de son secrétaire général, « cette situation ouvre les portes de l'enfer en évoquant ce dossier, dont toutes les fédérations réclament le maintien du régime de retraite et de la retraite anticipée». Notons que l'organisation syndicale a mis en place des éléments définissant la pénibilité du travail, entre autres les conditions de travail, la chaleur, les heures de travail, les maladies... D'autres secteurs exigent également le maintien de la retraite anticipée et sans condition d'âge, dont ceux de l'éducation et de la santé.