La rentrée sociale prochaine s'annonce chaude. En dépit des assurances données par les différents responsables, qui ont pourtant promis de satisfaire toutes les doléances de leurs employés, la protesta reprendra de plus belle et risque de gagner du terrain. La rentrée sociale prochaine s'annonce chaude. En dépit des assurances données par les différents responsables, qui ont pourtant promis de satisfaire toutes les doléances de leurs employés, la protesta reprendra de plus belle et risque de gagner du terrain. Face à cette situation, les responsables seront dans l'obligation de répondre aux revendications déjà soulevées, afin d'éviter une crise et une paralysie des différents secteurs en question, après les menaces brandies par ces derniers de recourir à une grève ouverte et la paralysie de différents secteurs. Devant un silence qui a trop duré, malgré ses sollicitations du ministère de tutelle le Syndicat national des pharmaciens d'officine (Snapo) menace de recourir prochainement à une grève nationale pour dénoncer le manque flagrant des médicaments essentiels. Cette entité syndicale convoquera son conseil national le 27 août prochain pour prendre les décisions qui s'imposent et décider de la date et du lieu de leur prochain mouvement de protestation à entreprendre. Un membre de ce syndicat a affirmé qu'"il y a une grande pénurie sur le marché de médicaments, que ce soit des médicaments fabriqués localement ou importés". Ce dernier, appelle "à revoir le marché du médicament en procédant à une organisation fondamentale". Il ajoute que "les sociétés de fabrication, d ́importation et de stockage doivent respecter leurs engagements". Les enseignants vacataires et contractuels, à leur tour, sont remontés à bloc contre leur ministère de tutelle. Ils l'accusent de vouloir tourner la page qui comprend les revendications qui consiste en la régularisation de leurs salaires impayés depuis 18 mois et leur intégration dans la corporation. Suite au nonrespect de l'engagement du ministre de l'Education de solutionner les problèmes auxquels sont confrontés cesderniers, ils ont décidé d'aller vers unegrève nationale. L'autre organisme quin'est pas des moindres, en l'occurrence la Sonelgaz risque à son tour le même sort, puisque le bureau national duSyndicat national autonome des travailleurs de l'électricité et du gaz(Snateg) a rendu public, un communiquédans lequel il exige la réintégration des46 cadres de cette formation syndicale "licenciés abusivement par le groupeSonelgaz". Les syndicalistes soulignentdans leur déclaration : "Nous sollicitonsles plus hautes autorités du pays à intervenir,pour la réintégratio de nos 46 délégués syndicaux dans leurs postes detravail, et exhortons l'inspection générale du travail à mettre en oeuvre laloi et activer le processus juridiquerelatif à la protection des délégués syndicauxdans les brefs délais possibles".Selon les rédacteurs du document, il yaurait "bon nombre d'exactions" constatéeset les sanctions appliquées à l'encontredes syndicalistes et des travailleurssont "illégitimes". Toutefois,les syndicalistes, soucieux de la situationactuelle en période estivale, estiment que "la raison principale de ne enclencher une grève nationale est due à la température très élevée en cette période, et par souci d'assurer et garantir, ausimple citoyen consommateur d'électricité, la continuité du service, déjà perturbé dans plusieurs localités. Et si grève serait faite, personne n'évaluerait la catastrophe". Ainsi, même si aucune action d'envergure n'est envisagée dans l'immédiat, la prochaine rentrée socialesemble être une échéance pour les syndicalistes qui menacent de recourir à des grèves natioales. Face à cette situation, les responsables seront dans l'obligation de répondre aux revendications déjà soulevées, afin d'éviter une crise et une paralysie des différents secteurs en question, après les menaces brandies par ces derniers de recourir à une grève ouverte et la paralysie de différents secteurs. Devant un silence qui a trop duré, malgré ses sollicitations du ministère de tutelle le Syndicat national des pharmaciens d'officine (Snapo) menace de recourir prochainement à une grève nationale pour dénoncer le manque flagrant des médicaments essentiels. Cette entité syndicale convoquera son conseil national le 27 août prochain pour prendre les décisions qui s'imposent et décider de la date et du lieu de leur prochain mouvement de protestation à entreprendre. Un membre de ce syndicat a affirmé qu'"il y a une grande pénurie sur le marché de médicaments, que ce soit des médicaments fabriqués localement ou importés". Ce dernier, appelle "à revoir le marché du médicament en procédant à une organisation fondamentale". Il ajoute que "les sociétés de fabrication, d ́importation et de stockage doivent respecter leurs engagements". Les enseignants vacataires et contractuels, à leur tour, sont remontés à bloc contre leur ministère de tutelle. Ils l'accusent de vouloir tourner la page qui comprend les revendications qui consiste en la régularisation de leurs salaires impayés depuis 18 mois et leur intégration dans la corporation. Suite au nonrespect de l'engagement du ministre de l'Education de solutionner les problèmes auxquels sont confrontés cesderniers, ils ont décidé d'aller vers unegrève nationale. L'autre organisme quin'est pas des moindres, en l'occurrence la Sonelgaz risque à son tour le même sort, puisque le bureau national duSyndicat national autonome des travailleurs de l'électricité et du gaz(Snateg) a rendu public, un communiquédans lequel il exige la réintégration des46 cadres de cette formation syndicale "licenciés abusivement par le groupeSonelgaz". Les syndicalistes soulignentdans leur déclaration : "Nous sollicitonsles plus hautes autorités du pays à intervenir,pour la réintégratio de nos 46 délégués syndicaux dans leurs postes detravail, et exhortons l'inspection générale du travail à mettre en oeuvre laloi et activer le processus juridiquerelatif à la protection des délégués syndicauxdans les brefs délais possibles".Selon les rédacteurs du document, il yaurait "bon nombre d'exactions" constatéeset les sanctions appliquées à l'encontredes syndicalistes et des travailleurssont "illégitimes". Toutefois,les syndicalistes, soucieux de la situationactuelle en période estivale, estiment que "la raison principale de ne enclencher une grève nationale est due à la température très élevée en cette période, et par souci d'assurer et garantir, ausimple citoyen consommateur d'électricité, la continuité du service, déjà perturbé dans plusieurs localités. Et si grève serait faite, personne n'évaluerait la catastrophe". Ainsi, même si aucune action d'envergure n'est envisagée dans l'immédiat, la prochaine rentrée socialesemble être une échéance pour les syndicalistes qui menacent de recourir à des grèves natioales.