La diversification du marché, tel que préconisée dans le programme du gouvernement, devant être présenté, dimanche, devant l'Assemblée nationale, est-elle en mesure de relancer les activités de la Bourse d'Alger ? La diversification du marché, tel que préconisée dans le programme du gouvernement, devant être présenté, dimanche, devant l'Assemblée nationale, est-elle en mesure de relancer les activités de la Bourse d'Alger ? S'exprimant, jeudi, à la chaîne 3 de la Radio algérienne, le directeur général de cette institution, Yazid Benmouhoub, signale que c'est l'embellie financière "extraordinaire", à partir de la décennie 2000, qui a paradoxalement contribué a créer un effet "d'éviction" de cet autre outil de financement de l'économie. Aujourd'hui, dit-il, en raison de la baisse "drastique des surliquidités bancaires, chutant de 64 %, entre 2014 à 2016, et de lamise en difficulté du Trésor, il y a nécessité de réunir l'ensemble des acteurs, pour passer cette période avec le moins de troubles possibles". Même si, relève M. Benmouhoub, les "banques continuent de bénéficier d'une aisance financière, se pose quand même la question de savoir comment utiliser au mieux leurs crédits au bénéfice des entreprises et des PME, auxquelles les pouvoirs publics accordent un intérêt particulier". Des activités de la Bourse, au sein de laquelle seules cinq sociétés sont cotées, (deux publique et trois privées), l'intervenant escompte dans un proche avenir, yvoir introduire une sixième, AOM Invest,laquelle, indique-t-il, est "susceptibled'être imitée par une première PME, avantfin 2017". En tout état de cause, celui-ci considère que les capacités de la Bourse n'ont pas été suffisamment utilisées pour "aider" à lacroissance économique, annonçant, cependant,que "des entreprises à l'exemple deMobilis, la CAAR, le CPA, Cosider etdes cimenteries, projettent d'y entrer à leurtour".C'est le nombre des sociétés cotées enBourse qui, explique l'invité, "pourraientattirer les investisseurs, ainsi que l'argentqui est en circulation, sachant que lefinancement à travers cet outil n'est pasinflationniste". M. Benmouhoub tient, par ailleurs à rappelerque pour "les sociétés exportatrices,être cotée en Bourse représente le meilleurmoyen de pénétrer des marchés à l'international et de pérenniser leurs activités". S'exprimant, jeudi, à la chaîne 3 de la Radio algérienne, le directeur général de cette institution, Yazid Benmouhoub, signale que c'est l'embellie financière "extraordinaire", à partir de la décennie 2000, qui a paradoxalement contribué a créer un effet "d'éviction" de cet autre outil de financement de l'économie. Aujourd'hui, dit-il, en raison de la baisse "drastique des surliquidités bancaires, chutant de 64 %, entre 2014 à 2016, et de lamise en difficulté du Trésor, il y a nécessité de réunir l'ensemble des acteurs, pour passer cette période avec le moins de troubles possibles". Même si, relève M. Benmouhoub, les "banques continuent de bénéficier d'une aisance financière, se pose quand même la question de savoir comment utiliser au mieux leurs crédits au bénéfice des entreprises et des PME, auxquelles les pouvoirs publics accordent un intérêt particulier". Des activités de la Bourse, au sein de laquelle seules cinq sociétés sont cotées, (deux publique et trois privées), l'intervenant escompte dans un proche avenir, yvoir introduire une sixième, AOM Invest,laquelle, indique-t-il, est "susceptibled'être imitée par une première PME, avantfin 2017". En tout état de cause, celui-ci considère que les capacités de la Bourse n'ont pas été suffisamment utilisées pour "aider" à lacroissance économique, annonçant, cependant,que "des entreprises à l'exemple deMobilis, la CAAR, le CPA, Cosider etdes cimenteries, projettent d'y entrer à leurtour".C'est le nombre des sociétés cotées enBourse qui, explique l'invité, "pourraientattirer les investisseurs, ainsi que l'argentqui est en circulation, sachant que lefinancement à travers cet outil n'est pasinflationniste". M. Benmouhoub tient, par ailleurs à rappelerque pour "les sociétés exportatrices,être cotée en Bourse représente le meilleurmoyen de pénétrer des marchés à l'international et de pérenniser leurs activités".