La nouvelle grille des salaires, effective au courant de ce mois, faut ressortir 22.000 DA d'augmentation pour les professeurs universitaires, 4000 DA pour un agent de bureau communal, et 900 DA seulement pour une femme de ménage. La nouvelle grille des salaires, effective au courant de ce mois, faut ressortir 22.000 DA d'augmentation pour les professeurs universitaires, 4000 DA pour un agent de bureau communal, et 900 DA seulement pour une femme de ménage. Le Secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), fraîchement reconduit à la tête de la Centrale syndicale, vient de rendre publiques les augmentations, au titre de la nouvelle grille des salaires, en vigueur depuis le début du mois en cours. Lors d'une réunion en présence des représentants des différentes Fédérations affiliées à l'UGTA, tenue hier, à la Maison du peuple, Abdelmadjid Sidi Saïd a communiqué certaines augmentations « concrètes » au profit de plusieurs catégories des secteurs de la Fonction publique, en l'occurrence, l'éducation nationale, l'enseignement supérieur, les collectivités locales et l'administration communale, la santé, la formation professionnelle, les douanes, le commerce et les corps communs. « C'est un acquis assez intéressant pour le monde du travail, nous avons tenu nos promesses, et les résultats parlent d'eux-mêmes », a-t-il signifié, mettant en exergue le travail de fourmi consenti par la Centrale syndicale depuis l'amorce des négociations sur le dossier de la fonction publique en 1990. En effet, cette consécration, si elle en est une, est venue couronner un long processus de dialogue et de concertation avec les pouvoirs publics, permettant une bouffée d'oxygène pour les travailleurs de la Fonction publique, asphyxiés par l'érosion spectaculaire du pouvoir d'achat. Reste à présent, à finaliser les 11 statuts particuliers restants sur un total de 44. « Ils sont actuellement au niveau la Direction générale de la Fonction publique, en phase de finalisation », a affirmé Abdelmadjid Sidi Saïd, ajoutant, qu'ensuite il sera procédé à la révision des régimes indemnitaires comme ultime phase du processus, induisant, ainsi, une autre augmentation pour les travailleurs. Sur la question du pouvoir d'achat des travailleurs, le SG de l'UGTA s'est voulu rassurant, en annonçant que « la Centrale syndicale est en train de formuler des propositions de mécanismes à même de permettre sa préservation à la lumière de la nouvelle grille des salaires ». Concrètement, un enseignant du primaire, par exemple, qui touchait auparavant près de 21.000 DA touchera un peu plus de 28.000 DA, soit un gain net de 7126,52 DA, et le proviseur de lycée verra son salaire de 31.600 DA passer à 42.800 DA, soit une augmentation nette de 11.235,65 DA. Les grands bénéficiaires de cette nouvelle grille des salaires sont évidemment, les professeurs universitaires, qui verront leurs traitements passer de 59.000 DA à 81.500 DA, soit un gain net de 22.295 DA. Pour leur part, les salaires des agents de l'Administration communale et des collectivités locales, bénéficieront d'un gain net oscillant entre 3.300 DA et 8.200 DA, selon les grades et les catégories professionnelles. Les corps communs eux, seront augmentés entre 3.600 DA et 4.600 DA. Au bas de l'échelle, on retrouve les vacataires payés à l'heure. C'est ainsi que le gardien qui effectue 8 heures de travail verra son salaire passer de 9.466 DA à 12.830 DA, soit une augmentation de 3.364 DA, et les femmes de manage qui travaillent 5 heures par jour, se verront augmentées de 966 DA. Le Secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), fraîchement reconduit à la tête de la Centrale syndicale, vient de rendre publiques les augmentations, au titre de la nouvelle grille des salaires, en vigueur depuis le début du mois en cours. Lors d'une réunion en présence des représentants des différentes Fédérations affiliées à l'UGTA, tenue hier, à la Maison du peuple, Abdelmadjid Sidi Saïd a communiqué certaines augmentations « concrètes » au profit de plusieurs catégories des secteurs de la Fonction publique, en l'occurrence, l'éducation nationale, l'enseignement supérieur, les collectivités locales et l'administration communale, la santé, la formation professionnelle, les douanes, le commerce et les corps communs. « C'est un acquis assez intéressant pour le monde du travail, nous avons tenu nos promesses, et les résultats parlent d'eux-mêmes », a-t-il signifié, mettant en exergue le travail de fourmi consenti par la Centrale syndicale depuis l'amorce des négociations sur le dossier de la fonction publique en 1990. En effet, cette consécration, si elle en est une, est venue couronner un long processus de dialogue et de concertation avec les pouvoirs publics, permettant une bouffée d'oxygène pour les travailleurs de la Fonction publique, asphyxiés par l'érosion spectaculaire du pouvoir d'achat. Reste à présent, à finaliser les 11 statuts particuliers restants sur un total de 44. « Ils sont actuellement au niveau la Direction générale de la Fonction publique, en phase de finalisation », a affirmé Abdelmadjid Sidi Saïd, ajoutant, qu'ensuite il sera procédé à la révision des régimes indemnitaires comme ultime phase du processus, induisant, ainsi, une autre augmentation pour les travailleurs. Sur la question du pouvoir d'achat des travailleurs, le SG de l'UGTA s'est voulu rassurant, en annonçant que « la Centrale syndicale est en train de formuler des propositions de mécanismes à même de permettre sa préservation à la lumière de la nouvelle grille des salaires ». Concrètement, un enseignant du primaire, par exemple, qui touchait auparavant près de 21.000 DA touchera un peu plus de 28.000 DA, soit un gain net de 7126,52 DA, et le proviseur de lycée verra son salaire de 31.600 DA passer à 42.800 DA, soit une augmentation nette de 11.235,65 DA. Les grands bénéficiaires de cette nouvelle grille des salaires sont évidemment, les professeurs universitaires, qui verront leurs traitements passer de 59.000 DA à 81.500 DA, soit un gain net de 22.295 DA. Pour leur part, les salaires des agents de l'Administration communale et des collectivités locales, bénéficieront d'un gain net oscillant entre 3.300 DA et 8.200 DA, selon les grades et les catégories professionnelles. Les corps communs eux, seront augmentés entre 3.600 DA et 4.600 DA. Au bas de l'échelle, on retrouve les vacataires payés à l'heure. C'est ainsi que le gardien qui effectue 8 heures de travail verra son salaire passer de 9.466 DA à 12.830 DA, soit une augmentation de 3.364 DA, et les femmes de manage qui travaillent 5 heures par jour, se verront augmentées de 966 DA.