L´office national du développement équin et camelin à Tiaret tire la sonnette dalarme. Dans l´indifférence la plus totale, le cheval pur-sang arabe est en train de mourir à petit feu. Des vétérinaires et des agronomes de cet office n´ont pas été payés depuis six mois. Conséquence directe de cet étouffement financier, l´office n´arrive plus à assurer la reproduction et l´élevage des cette race noble. Au rythme où reculent les choses, il n´est pas écarté de voir cette race disparaître.