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Approche scientifique, morale et religieuse
LA SIGNIFICATION DU JEÛNE
Publié dans L'Expression le 26 - 07 - 2012

Le jeûne est un symbole. Jeûner signifie s'abstenir de tout désir
«Ô les croyants! On vous a prescrit le jeûne(as-Siyam) comme on l'a prescrit à ceux d'avant vous, ainsi atteindrez-vous la piété, pendant un nombre déterminé de jours. Quiconque d'entre vous est malade ou en voyage, devra jeûner un nombre égal d'autres jours. Mais pour ceux qui ne pourraient le supporter (qu'avec grande difficulté), il y a une compensation: nourrir un pauvre (...)» Sourate 2 La vache (Al-Baqarah).
Ce verset indique clairement les limites du jeûne. Il est admis que l'organisme peut dans une certaine mesure obéir au cerveau et de ce fait, la résistance physique peut être importante en fonction de l'endurance de l'individu et de sa force psychique. De plus, ce verset indique une compensation en cas d'impossibilité de le faire pour les musulmans, à savoir nourrir un pauvre. Dans ce qui suit, nous allons rapporter l'état de l'art du point de vue médical concernant le mécanisme du jeûne, nous donnerons ensuite quelques repères sur la façon dont est perçu le jeûne dans différentes spécialités. Nous donnerons enfin, comment la faim dans le monde continue d'une façon scandaleuse à sévir.
Le jeûne du point de vue physiologique
Le jeûne est la privation, volontaire ou non, de nourriture, accompagnée ou pas d'une consommation d'eau (l'absence d'apport hydrique convenable n'est pas envisagé ici). Le jeûne met en marche des mécanismes d'adaptation physiologique qui sont l'héritage du lent processus de l'évolution. D'un point de vue médical, la période de jeûne commence à partir de la sixième heure après le dernier repas. Le jeûne fait partie intégrante de la pratique de nombreuses religions (Ramadhan, carême). Il est le quotidien d'une grande partie de la population des pays en voie de développement.(1)
Certaines affections réagissent particulièrement bien au jeûne. Les maladies du coeur, l'hypertension, les allergies, les maladies inflammatoires et l'arthrite rhumatoïde font partie du lot.
On peut considérer que le jeûne et un régime végétarien permettent de diminuer les symptômes de l'arthrite rhumatoïde, sans que l'on puisse encore expliquer complètement les processus en cause. Le jeûne est contre-indiqué dans le cas de fatigue, anorexie et boulimie,, faiblesse et arythmie cardiaques, cancer, ulcères peptiques,
maladies rénales, tuberculose (2)
Le mode de vie des pays développés, fait de repas réguliers, n'est historiquement pas normal. En effet, cette situation d'abondance permanente n'est possible que depuis quelques dizaines d'années et uniquement pour une fraction limitée de la population mondiale. Notre patrimoine génétique semble moins adapté à cette situation d'alimentation permanente qu'à celle du jeûne. Il est ainsi explicable que le corps rencontre des difficultés lorsqu'il ne jeûne pas, «notre évolution nous a destiné à résister au manque.»(1.)
Durant un jeûne total, seules les entrées hydriques sont compensées. Il n y a pas d'absorption de nutriments capables d'être utilisés ou stockés. L'organisme utilise alors le glycogène du foie, le décompose et libère le glucose dans la circulation. (...) Un adulte de 1,70 m, pesant 70 kg, possède environ 15 kg de réserve de graisse, de quoi tenir, s'il est en bonne santé, une quarantaine de jours de jeûne. Mais au-delà, la poursuite du jeûne consomme les protéines du corps. «Dans les limites définies [jeûne inférieur à trois semaines chez une personne de corpulence normale] le jeûne ne présente pas de danger.». Le jeûne thérapeutique est une pratique popularisée par le médecin Otto Buchinger au début du xxe siècle en Europe de l'Ouest.(1)
Le jeûne dans les religions
Le jeûne pour raisons médicales ou spirituelles est connu depuis l'Antiquité. Il en est fait mention dans le Mahâbhârata et les UpaniSad. Il s'est particulièrement développé au Moyen-Orient et Asie du Sud-Est, avec l'Islam, et en Occident avec la diffusion du christianisme. (1)
La religion juive recommande les jeûnes (Taanit) suivants: Yom Kippour, Tisha Beav (les seuls jeûnes mentionnés dans la Torah), le 17 Tammouz, le jeûne de Guedaliah, le 10 Tevet, le jeûne des premiers-nés, le jeûne d'Esther, la plupart étant des jeûnes de deuil. Dans l'ancienne religion juive, on imposait aux adultes de jeûner une seule fois par an en la fête du «Grand Pardon». Mais des personnes dévotes et pieuses, notamment les Pharisiens, jeûnaient deux fois par semaine, les lundis et jeudis du lever au coucher du jour. (1)
Lorsque le carême catholique s'est constitué comme temps de pénitence au IVe siècle, l'obligation du jeûne était très rigoureuse. Actuellement, depuis 1949, le jeûne est limité à deux jours, le mercredi des Cendres et le Vendredi saint. Le jeûne est devenu une pratique courante dans l'Eglise catholique et orthodoxe où il est considéré comme une pratique de pénitence qui permet de prendre conscience de ses manquements et de se rapprocher de Dieu (voir Matt IV 2 Lc IV 1-4). Il consiste en une privation volontaire de nourriture: lors d'un jour jeûné, le fidèle ne fait qu'un seul repas de la journée (traditionnellement à midi), qu'il peut compléter par de légères collations le matin et le soir comme du pain et de l'eau ou encore une soupe. Quelque peu tombée en désuétude, l'abstinence du vendredi a quasiment disparu. (1)
Le jeûne permanent dû à la famine
Dans l'islam, le jeûne, ou sawm, a une signification relativement large. En effet, on parle de jeûne comme d'un renoncement spirituel, ne se limitant donc pas seulement à l'arrêt de consommation de nourriture ou de boisson. Il est recommandé au croyant de respecter un jeûne, le sawm, pendant le mois de Ramadhan principalement, et à d'autres dates également, ainsi qu'en tout temps, afin de développer sa spiritualité. Le jeûne est aussi une période d'amélioration de remise en question de soi pour le croyant. Il commence à l'aube (alfajr) et se termine au coucher du soleil (almaghrib). On doit s'abstenir, pendant ce laps de temps, de nourriture, de boisson, de tabac, d'alcool et de drogue (à noter que cette interdiction tient tout le temps mais surtout pendant le jeûne), de relations sexuelles ainsi que de musique et de toute chose illicite (haram). Sont exemptés les femmes enceintes, les malades sous traitements médicaux, les enfants prépubères, les voyageurs, et les femmes en période de menstruations. (1)
Certaines pratiques ascétiques de dhutanga incluent une limitation de la nourriture. Certains moines observent également une période de jeûne plus ou moins longue et stricte, souvent considérée comme favorable à la méditation. Le jeûne a un rôle important dans la religion hindoue. Les croyants observent différentes diètes selon leurs croyances personnelles et les coutumes locales. Les diètes de jeûne sont diverses. Si le jeûne est strictement respecté, la personne jeûnant n'absorbe aucune nourriture, ni solide, ni liquide, du coucher du soleil jusqu'à 48 minutes après le lever du soleil. (...) Dans une logique matérialiste proche du monisme, le jeûne modéré (15 jours à 3 semaines ou le demi-jeûne) a pour vocation d'améliorer la conscience du corps. Combiné avec des techniques méditatives, le jeûne permet de mieux ressentir l'effet positif ou négatif des pensées, actions ou projets sur notre corps et notre bien-être. Enfin, il existe le jeûne politique, qui est un moyen de protestation non violent utilisé entre autres par Gandhi.(1)
«Jeûner nous permet de mesurer la faim et d'éprouver le calvaire de ceux qui ont faim. A titre d'exemple, la Corne de l'Afrique est aux prises avec la pire sécheresse des 60 dernières années, qui a déjà coûté la vie à des dizaines de milliers de personnes et menace 12 millions d'Africains confrontés à la famine.» Plus de 29.000 enfants de moins de cinq ans sont morts à cause de la famine provoquée par la sécheresse en Somalie, a affirmé Nancy Lindborg, une responsable de l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (Usaid). D'après l'ONU, 640.000 enfants somaliens sont extrêmement mal nourris, ce qui laisse penser que le nombre d'enfants en bas âge, qui vont mourir, va augmenter. Parallèlement, à Genève, le Comité international de la Croix-Rouge (Cicr) a lancé, jeudi, un appel pour collecter l'équivalent de 86 millions $ US supplémentaires afin de venir en aide à 1,1 million de personnes dans des régions de Somalie affectées par la famine. (3)
Dans son dernier ouvrage-choc «Destruction massive -géopolitique de la faim», Jean Ziegler, Pr émérite de sociologie à l'Université de Genève, rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l'alimentation de 2000 à 2008, a consacré l'essentiel de son oeuvre à l'état de la faim dans le monde et des moyens de l'éradiquer. Pour lui, toutes les trois secondes, un enfant de moins de dix ans meurt de malnutrition, tandis que des dizaines de millions d'autres, et leurs parents avec eux, souffrent de la faim et de ses terribles conséquences physiques et psychologiques. Et pourtant, nous le savons aussi, l'agriculture d'aujourd'hui serait en mesure de nourrir 12 milliards d'êtres humains. Nulle fatalité, donc. Mais comment en sortir? D'abord, prendre conscience des dimensions exactes du problème: un état des lieux documenté. Puis identifier les ennemis du droit à l'alimentation. Pour Jean Ziegler, la souffrance a un visage, l'oppression un nom, et les mécanismes à l'oeuvre sont saisis dans leur application concrète (4).
Pour Yamin Makri, faire le Ramadan est un acte de résistance dans un monde de plus en plus sécularisé. Nous l' écoutons: «Vivre le Ramadhan dans la société de la marchandise dans laquelle nous baignons, c'est aller à contre-courant car nos sociétés voudraient réduire l'homme à une machine à produire et à consommer. La société moderne fait du travail une finalité de la vie, et la recherche des plaisirs dans la consommation le centre de toutes nos préoccupations. (...) Ce qui nous guette tous dans l'insouciance des habitudes, c'est bien le risque de devenir des automates, des êtres sans conscience. Et ce qui fait la spécificité de l'être musulman, c'est bien sa conscience éveillée. Si Dieu nous interdit les boissons enivrantes ou les jeux de hasard, si Dieu nous demande de contrôler nos colères et notre égo, c'est bien toujours pour cette unique raison: préserver notre conscience, laisser nos coeurs éveillés afin de pouvoir y recevoir la lumière divine. ́ ́Lumière sur lumière ́ ́ comme il est dit dans le Saint Coran».(5)
(...) Le mois du jeûne du Ramadhan, à l'image des deux autre piliers de l'islam (salât et Hajj), ajoute le docteur Yamin Makkri, est une véritable coupure au milieu de l'année, qui aussi a pour objectif de faire sortir le croyant des habitudes mécaniques d'une existence qui perd sa finalité. (...) C'est tout le contraire du musulman qui s'enfonce dans un quotidien ponctué par sa petite vie de travailleur docile (quand il travaille) et de consommateur aliéné (quand il en a les moyens). Tellement attaché à sa belle voiture et à son beau téléviseur qu'il en oublie le sens et l'objectif de ses adorations. Pour celui-là, quand sonne l'heure de la prière, quand arrive le mois du Ramadhan, ce sont des événements qui le perturbent, le dérangent dans sa misérable vie d'insouciance.(...) Vivre le Ramadhan dans cette société, c'est véritablement un acte de résistance contre ce système qui voudrait nous ôter notre humanité et nous détourner du Tawhid.»(5)
Pendant ce temps, la société de consommation et le néolibéralisme endorment le peuple comme du temps de l'Empire romain avec le pain et les jeux de cirque. Il n'est que de voir le battage autour des Jeux olympiques où on apprend que des fetwas sont délivrées aux athlètes musulmans pour ne pas faire le Ramadhan. Pourtant, la puissance spirituelle est autrement plus forte, plus élégante et plus noble qu'un steak comme le montrent ces deux exemples lus sur Le Monde: «Ce n'était pas arrivé depuis les Jeux olympiques de 1980: les Jeux de Londres se dérouleront pendant le Ramadhan, qui a débuté cette année le 20 juillet. Pas moins de 3 500 athlètes de confession musulmane sont concernés. (...) Pour le joueur de hockey britannique Darren Cheesman, le jeûne est un atout: ́ ́Le Ramadhan me donne encore plus de force, cela améliore mes capacités». (...) Ce n'est pas la première fois que le calendrier religieux vient se heurter à celui des Jeux. Plusieurs journaux rappellent le précédent de Eric Liddell aux Jeux de Paris en 1924, qui a fait l'objet d'un film, Les chariots de feu, en 1981. Ce chrétien avait refusé de participer aux 100 mètres, car il avait lieu un dimanche. A la place, il avait couru le 400 mètres et battu le record du monde, s'octroyant la médaille d'or.(6)
Conclusion
Jeûner a pour but de donner soif et faim de Dieu. De plus, jeûner est aussi un geste de solidarité avec les pauvres et une invitation au partage et à l'aumône. Le jeûne est un symbole. Jeûner signifie s'abstenir de tout désir. Le jeûne physique est le symbole de cette abstinence, c'est un rappel; tandis que l'on réfrène l'appétit physique, il faut s'abstenir des convoitises personnelles et des désirs égoïstes. Jeûner peut nous inciter à être plus sobre, moins gourmand, faire preuve d'empathie envers les plus démunis, au besoin en contribuant à alléger leur détresse mais surtout cela devrait être un retour sur soi sur la signification de la vie. Sommes-nous au crépuscule de l'humanité ou dans son déclin définitif? Quand nous rompons le jeûne, pensons à ceux qui jeûnent du fait qu'ils n'ont rien. Pendant ce temps, on dit que dans les pays industrialisés, 25% de la nourriture sont jetés sans être consommée. Savons-nous que le marché des armes n'a jamais été aussi florissant avec plus de 1000 milliards de dollars/an, alors qu'il suffit de 50 milliards pour éradiquer la faim? Si on y ajoute qu'un plein de 4x4 en biocarburant, à partir du maïs, peut nourrir un Somalien pendant un an, nous avons une idée de l'anomie du monde. Est-ce cela le destin de l'humanité? Ce verset du Coran résume mieux que mille discours la signification de la piété: «La piété ne consiste pas à tourner sa face du côté de l'Orient ou de l'Occident, la piété, c'est croire en Dieu, au Jugement dernier, aux anges, aux Livres et aux prophètes; la piété, c'est donner de son bien - quelque attachement qu'on lui porte - aux proches, aux orphelins, aux indigents, aux voyageurs et aux mendiants; la piété, c'est aussi racheter les captifs, accomplir la salât, s'acquitter de la zakât, demeurer fidèle à ses engagements, se montrer patient dans l'adversité, dans le malheur et face au péril. Telles sont les vertus qui caractérisent les croyants pieux et sincères!» Sourat El Baqara verset 177
1. Le Jeûne: Encyclopédie libre Wikipédia
2.www.passeportsante.net/fr/Therapies/Guide/ArticleInteret.aspx?doc=jeune_proteus_1998_2_th
3.http://www.lapresse.ca/international/dossiers/famine-dans-la-corne-de-lafrique/201108/04/01-4423455-29-000-jeunes-enfants-morts-de-famine.php
4. http://www.babelio.com/livres/Ziegler-Destruction-massive-Geopolitique-de-la-faim/3241166
5. http://oumma.com/13468/ramadan-arme-combattreconsumerisme?utm_source=Oumma+Media &utm_campaign=c7e80851d2-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email Yamin Makri
6. Laure Beaulieu: Quand le calendrier des JO rencontre celui du Ramadhan. Le Monde.fr 20.07.2012


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