Dans la vie, personne n'est à l'abri d'une panne sèche, soit d'essence ou d'idée ! Un constat bien réel, surtout dans le monde du travail où la rapidité d'exécution et l'exigence d'un rendement de qualité acceptable sont les deux moteurs d'un bon fonctionnement de l'économie d'un pays. Comme les auteurs, aucun n'est vraiment à l'abri de la peur de la ‘'page blanche'', quand rien ne veut sortir de l'esprit et s'obstine à se coucher sur le papier, pour quelque raison que ce soit. La complexité du problème de la panne d'idée réside dans l'importance même de la force des pensées, au-delà du manque de matériels pour faire un travail précis, car les idées sont là pour répondre à des besoins bien concrets. À l'exemple de l'impulsion des innovations, ce sont les idées qui font avancer les projets d'utilité publique, issues souvent d'analyses intuitives d'expériences de longue date. Les idées en général, irriguent l'ensemble des champs des sciences (physique, chimie, médecine, ingénierie, architecture, etc.), et sans elles, point d'aboutissement technologique ou d'application de méthodologie créative dans l'ensemble des métiers intellectuels et même manuels. Parce qu'il survient toujours un moment où nous tombons en panne d'idées neuves. On a beau se creuser les méninges, rien à faire, aucune étincelle d'intelligence ne jaillit en nous. Aucune. Absolument aucune. Et nous nous désolons, tous seuls dans notre coin... ! À l'instant où cela se produit, l'on a comme l'impression que c'est l'impasse, et que rien ne relancerait le fil conducteur des idées...Il suffirait alors d'un mot, un petit vocable qui déclenchera presque ‘'automatiquement'' la machine des idées dont l'encre est le reflet sur le papier. Comme en politique, les idées forment le cumul des idéologies nées dans les arcanes des partis dont les responsables politiciens portent le devoir de les transformer en solutions pour le bien-être des citoyens.