Mieux, l'édile piquera une grande colère en disant: «Notre commune a été désavantagée, malgré son statut de municipalité pauvre et enclavée, comme l'ont étayé les études lancées, il y a deux années, par le centre national d'études et d'analyses pour la population et le développement (Ceneap)». Et d'ajouter: «Notre commune, qui ne dispose que d'un seul bus acheté par les moyens de l'APC en 1987, aurait dû être retenue parmi par les communes attributaires, telles M'chira, Oued Athménia, Rouached, Tassadane Haddada, Tiberguent, Amira Arres, etc., et partant, bénéficier d'un moyen de transport supplémentaire que nous avons prévu pour le renforcement du transport scolaire, lequel constitue une problématique à part entière dans la région». Le premier magistrat de cette commune a aussi souligné que «les autorités de wilaya sont au courant de cet énorme problème de carence du transport scolaire dans la localité qui englobe 14 mechtas, et dont des centaines de collégiens et lycéens sont scolarisées à Ferdjioua pour, justement, contourner ces désagréments qu'ils endurent depuis plusieurs années».