- Nomination d'un nouveau directeur général à Lafarge Algérie Jean-Jacques Gauthier est nommé directeur général de Lafarge Algérie, leader des matériaux de construction, à compter du 1er septembre 2016, en remplacement d'Eric Meuriot qui a fait valoir ses droits à la retraite, souligne un communiqué du groupe rendu public. A l'occasion de sa nomination, Jean-Jacques Gauthier a déclaré : «Je suis particulièrement heureux et fier de prendre la responsabilité de Lafarge Algérie, un pays très important pour notre groupe. Notre mission est d'être un acteur fortement engagé au service du développement économique et social du pays, avec comme objectifs de continuer à accroître notre production, hisser nos équipes à leurs meilleurs niveaux et apporter toujours plus de valeur à nos clients et au marché de la construction, par le biais notamment de la mise en œuvre de solutions constructives adaptées et innovantes. Nous poursuivrons avec force et détermination notre objectif santé et sécurité visant à atteindre zéro accident dans nos opérations.» - Récession au Brésil La récession s'est installée au Brésil, première économie d'Amérique latine, où le produit intérieur brut (PIB) a reculé de 0,6% au deuxième trimestre par rapport au précédent, alors que le pays s'apprête à tourner la page du gouvernement de gauche de Dilma Rousseff. Il s'agit du sixième recul consécutif du PIB, selon les chiffres publiés hier par l'Institut brésilien de géographie et statistiques. Par rapport au deuxième trimestre de 2015, le recul du PIB est de 3,8%, a indiqué l'IBGE qui a révisé à la hausse le résultat du premier trimestre de 0,3% à 0,4%. Sur l'année, le PIB accumule une chute de 4,6% et de 4,9% sur les quatre derniers trimestres, selon l'IBGE. Pour 2016, les marchés et la Banque centrale prévoient un recul de l'activité économique de 3,2% au Brésil, proche de la prévision du Fonds monétaire international qui table sur 3,3%. - Pib en recul au Canada Le Canada a enregistré au deuxième trimestre le recul le plus prononcé de son produit intérieur brut (PIB) depuis la crise financière de 2009, avec un repli de 1,6% en rythme annuel attribué aux incendies qui ont paralysé l'industrie pétrolière. Cette baisse de la croissance est pratiquement en ligne avec les attentes des analystes, qui tablaient sur un recul de 1,5% en rythme annualisé. Sans l'incidence des feux de forêt qui ont nécessité un arrêt de l'exploitation pétrolière dans l'Alberta, le PIB aurait progressé de 0,1% au deuxième trimestre, a noté hier l'institut canadien de la statistique.