L'attaquant de Montpellier, qui a rejoint les sélection nationale quelques joueurs avant le début de la CAN, a reçu les louanges de Chérif Oudjani, buteur algérien lors de la finale de la CAN 1990 face au Nigéria : "Andy Delort, ce n'est quand même pas rien. Ses nouveaux équipiers, qui sont tous des compétiteurs, vont vite se dire : "Lui, il va nous aider à gagner des matches." De plus, comparé à mon époque, où j'étais le seul à être né en France dans la sélection, la tendance s'est carrément inversée. Aujourd'hui, les locaux se retrouvent en minorité. Ce sont les joueurs d'Europe qui vont jouer dans les anciennes colonies. Après, pour gagner une CAN, il faut des individualités et surtout, une équipe. Sans jeu de mots, sa présence vaudra de l'or." Des propos relayés par L'Equipe.