En dépit de toutes les difficultés qu'il rencontre et qui sont le fait de son entourage immédiat, le SG du FLN, Djamal Ould Abbès ne perd pas l'espoir et surtout le courage de venir à bout de ses adversaires. Ceux qui sont en train de distiller rumeurs et propagandes dans le but d'affaiblir le FLN auprès de l'électorat. Et si la question de la corruption politique à travers sa nouvelle appellation la "Chkara " est soulevée à l'intérieur du parti avec l'ampleur qu'elle a prise, ne s'agit-il pas d'une manœuvre à peine déguisée de lier cette question aux divisions qui gangrènent les rangs de la composante humaine du FLN. En d'autres termes, les griefs dont on accuse Ould Abbès n'ont-ils pas pour but essentiel le fait que les problèmes internes du parti sont loin d'être réglés par la présence de certains protagonistes et autres inconditionnels insatisfaits. Cherche-t-on réellement à sortir de cette impasse politico-organique ? Tous les procédures, les compromis sont possibles. Toutes les pistes, toutes les combinaisons sont possibles. Mais une seule chose ne peut jamais être escamotée ou ignorée, c'est la base et les militants authentiques qui soutiennent Ould Abbès dans son opération de renouveau du FLN, de disposer de son propre sort politique et d'aller droit vers la victoire aux élections législatives afin d'assurer au FLN son statut de première force politique du pays surtout que le peuple accorde toujours sa confiance à l'ex-parti unique. C'est une confiance qui d'ailleurs se renouvelle à chaque échéance électorale même si certaines nuances peuvent tromper ici et là et entretenir le doute chez certains. Ceux que l'on surnomme communément " les inconditionnels insatisfaits ". Le chantage à l'intransigeance de la part de certains au sein des structures pyramidales du parti, ses rivaux politiques sur le terrain utilisant l'argent sale pour semer les voix des électeurs, ne sont en fait que des éléments qui non seulement sont vomis par l'opinion publique mais rejetés par la jeunesse qui se cherche une voie démocratique. Les détracteurs du FLN, parti majoritaire qu'on le veuille ou non, qui, en d'autres termes, ne représentent qu'eux-mêmes, quelques que soient les manières politiques auxquelles fait face le FLN de son principal rival sur le terrain et qui utilise l'argent sale pour le détrôner de sa place de première formation politique du pays, aujourd'hui, comme le souligne à chaque occasion son SG, Djamal Ould Abbès, il reste encore une masse de militants et de cadres habiles, qui ne tomberont pas dans ces pièges. Nombreuses sont les tentatives dont le parti est à présent l'objet. Mais sa vocation est de vivre au milieu d'une grande partie de la société algérienne. D'aucuns devraient savoir que grâce à son ancrage dans la société, le FLN ne fait attention ni aux alliances conjoncturelles contre lui, ni aux attaques dont il fait l'objet de son rival politique le RND, ni encore moins des partis de la mouvance islamiste et qui en somme n'ont les moindres chances d'être viables. Les manœuvres, les complots ourdis contre la première force politique du pays et par ricochet contre les institutions de l'Etat lui ont fourni maintes occasions de justifier sa réputation de " philosophie politique " pour y faire face. Le SG du FLN, Djamal Ould Abbès au cours de ses différentes rencontres avec les militants et les candidats à la députation a été catégorique pour dire qu'il est impératif de rester à l'écoute des préoccupations des citoyens de les suivre et les traiter dans l'intérêt supérieur de la Nation. C'est dans cette optique que s'inscrit l'attention de la campagne électorale du FLN. Si expliquer la politique, la philosophie du FLN et faire connaître les acquis et les réformes politique, démocratique et économique du programme politique du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, président du FLN, sont la feuille de route tracée par Ould Abbès, cela n'exclut pas que le citoyen soit informé en toute objectivité sur l'activisme politique général, y compris sur les politiques et autres parties internes et externes qui tentent la déstabilisation du pays. Ceux qui sont en train de critiquer la gestion politique et organique du FLN par Ould Abbès feignent de reconnaître que celui-ci souligne sans complaisance une réalité interne, un diagnostic qui retrace avec courage et exactitude les bons et les mauvais moments de la vie du FLN. Dans ce cadre, Ould Abbès a beaucoup insisté sur les missions essentielles que devrait assumer le FLN au cours de cette étape et qui s'articulent autour des trois axes suivants : a)-Soutenir le programme, les réformes économique et politique dont le président du FLN, Abdelaziz Bouteflika a souligné la nécessité impérieuse et qui ont reçu l'adhésion du peuple. b)-Œuvrer en vue de permettre au FLN de poursuivre sa mission de préservation de l'indépendance nationale et de développement dans le cadre du processus de réconciliation nationale et de la nouvelle Constitution amendée. c)- Mettre en valeur les potentialités nationales et assurer leur mobilisation consciente en vue de faire face aux graves défis auxquels est confronté le pays. Les orientations du SG du FLN, Djamal Ould Abbès sont venues à point nommé pour mesurer les étapes franchies pour que la mobilisation, l'action viennent transcender les divergences et les arrières-pensées car la diversité et le pluralisme n'excluent pas la responsabilité. Celle des politiques est considérable aujourd'hui pour rendre au renouveau national initié par le président Bouteflika la plénitude de ses moyens et de ses finalités politiques, démocratiques, économiques et sociales. Aujourd'hui, le cadre politique et d'intervention de chacun existe pour dynamiser le tissu politique, démocratique, économique, social et culturel, sa logique affichée dans le renouveau national, sa nature explicitée et ses objectifs connus, il reste à présent à la mouvementer et l'exploiter au service de tous comme s'est fixé le FLN dans sa campagne électorale autour des législatives.
