Le représentant du peuple, dans une doléance adressée au ministre de l'industrie et de la Promotion des investissements, brosse un tableau noir de la société, étranglée économiquement par l'absence de plan de charge conséquent et une gestion désastreuse. Le représentant du peuple, dans une doléance adressée au ministre de l'industrie et de la Promotion des investissements, brosse un tableau noir de la société, étranglée économiquement par l'absence de plan de charge conséquent et une gestion désastreuse. Rebondissement dans l'affaire Transmet Bois, une entreprise employant 180 ouvriers, exsangue financièrement et menacée de mettre la clé sous le paillasson, sous l'effet d'une faillite inévitable. Après un débrayage de trois mois qui n'a pas abouti à la concrétisation de leurs plateforme revendicative, le collectif des travailleurs qui a frappé à toutes les portes vainement, a demandé au député Bouchareb Mohamed, d'El Islah, d'intervenir auprès de la tutelle pour trouver une solution afin de de sauver l'entreprise et régler les six mois des arriérés des salaires des travailleurss. Le représentant du peuple, dans une doléance adressée au ministre de l'industrie et de la Promotion des investissements, brosse un tableau noir de la société, étranglée économiquement par l'absence de plan de charge conséquent et une gestion désastreuse (selon les travailleurs), avant de demander l'ouverture d'une enquête pour situer les responsabilités des uns et des autres. Le député fera également souligner, qu'il est tout à fait possible de redresser la situation de l'entreprise par le biais d'un approvisionnement régulier en matières premières pour faire face à d'éventuelles attributions de marchés que les pouvoirs publics sont en mesure d'octroyer à l'entreprise. Dans le même contexte, le collectif des travailleurs a énergiquement réagi à la dernière sortie du P-dg qui s'est enfin, disent-ils, manifesté pour leur proposer un marché de dupes."Il nous propose l'alternative du diable, manger avec lui ou crever de faim, mais nous restons fermes et solidaires dans notre combat", lancent-ils. En fait, le P-dg, avait, affirme-t-on, demandé aux travailleurs de renoncer à l'exécution de la clause de la convention relative au montant de l'indemnisation en cas de fermeture, en contrepartie leurs salaires seraient réglés intégralement. Une proposition jugée tout simplement indécente par les protestataires qui continuent à réclamer de la tutelle la régularisation sans conditions des six mois de salaire et impérativement l'ouverture d'un audit sur la gestion du staff actuel, conditions sine qua non à toute reprise de travail. En attendant, selon un cadre de l'entreprise ayant requis l'anonymat, la décision de fermeture après moult tergiversations, a été entérinée tout récemment par la tutelle et un liquidateur a déjà été désigné. Rebondissement dans l'affaire Transmet Bois, une entreprise employant 180 ouvriers, exsangue financièrement et menacée de mettre la clé sous le paillasson, sous l'effet d'une faillite inévitable. Après un débrayage de trois mois qui n'a pas abouti à la concrétisation de leurs plateforme revendicative, le collectif des travailleurs qui a frappé à toutes les portes vainement, a demandé au député Bouchareb Mohamed, d'El Islah, d'intervenir auprès de la tutelle pour trouver une solution afin de de sauver l'entreprise et régler les six mois des arriérés des salaires des travailleurss. Le représentant du peuple, dans une doléance adressée au ministre de l'industrie et de la Promotion des investissements, brosse un tableau noir de la société, étranglée économiquement par l'absence de plan de charge conséquent et une gestion désastreuse (selon les travailleurs), avant de demander l'ouverture d'une enquête pour situer les responsabilités des uns et des autres. Le député fera également souligner, qu'il est tout à fait possible de redresser la situation de l'entreprise par le biais d'un approvisionnement régulier en matières premières pour faire face à d'éventuelles attributions de marchés que les pouvoirs publics sont en mesure d'octroyer à l'entreprise. Dans le même contexte, le collectif des travailleurs a énergiquement réagi à la dernière sortie du P-dg qui s'est enfin, disent-ils, manifesté pour leur proposer un marché de dupes."Il nous propose l'alternative du diable, manger avec lui ou crever de faim, mais nous restons fermes et solidaires dans notre combat", lancent-ils. En fait, le P-dg, avait, affirme-t-on, demandé aux travailleurs de renoncer à l'exécution de la clause de la convention relative au montant de l'indemnisation en cas de fermeture, en contrepartie leurs salaires seraient réglés intégralement. Une proposition jugée tout simplement indécente par les protestataires qui continuent à réclamer de la tutelle la régularisation sans conditions des six mois de salaire et impérativement l'ouverture d'un audit sur la gestion du staff actuel, conditions sine qua non à toute reprise de travail. En attendant, selon un cadre de l'entreprise ayant requis l'anonymat, la décision de fermeture après moult tergiversations, a été entérinée tout récemment par la tutelle et un liquidateur a déjà été désigné.