La nouvelle Assemblée populaire nationale (APN) issue du scrutin du 10 mai dernier sera au centre d'une conférence-débat qu'organisent, aujourd'hui, conjointement l'IRD (Initiative pour la refondation démocratique) et le MDS (Mouvement démocratique et social). Les initiateurs du débat veulent poser une série de questions dont notamment : «Pourquoi le pouvoir a-t-il choisi le cinquantenaire de l'indépendance pour tenter de renouveler sa légitimité ? Cette APN est-elle légitime pour jouer ce rôle constituant ? Quel contenu revêtira la future Constitution et pour quel(s) objectif(s) ? sous l'intitulé de : «Quelle Constitution et quel processus de légitimation ?». La conférence déclinée en deux communications se déroule au 67, Bd Krim-Belkacem (ex-Télemly) à Alger. La problématique s'articule donc autour de l'élaboration d'une Constitution dans un contexte marqué, notent les initiateurs, du débat, par «les évolutions au plan national et international» qui «appellent maintenant à un changement constitutionnel qui prenne en charge les exigences citoyennes et démocratiques.». Et d'ajouter : «Les différents régimes qui se sont succédé depuis 1962 se sont reposés sur la répression de tout désir d'émancipation de la société et sur des légitimités – historique, révolutionnaire et électorale – usurpées et/ou dévoyées. On voit, en particulier, comment en Tunisie, au Maroc et en Egypte la question de la réforme de la Constitution a cristallisé les luttes politiques dans des conditions qui interpellent quant à la possibilité de faire aboutir les aspirations démocratiques». Les animateurs disent vouloir réfléchir à ces «interrogations et à d'autres, notamment à comment traduire notre projet de société en termes juridico constitutionnels» et d'ajouter que «ce débat imposé par l'agenda politique national et eu égard à l'enjeu considérable qu'il recèle n'est, nous espérons, que la première rencontre, dans cet espace de réflexion et de propositions que nous vous suggérons, avant d'aborder d'autres thématiques constitutives de la vie politique». La nouvelle Assemblée populaire nationale (APN) issue du scrutin du 10 mai dernier sera au centre d'une conférence-débat qu'organisent, aujourd'hui, conjointement l'IRD (Initiative pour la refondation démocratique) et le MDS (Mouvement démocratique et social). Les initiateurs du débat veulent poser une série de questions dont notamment : «Pourquoi le pouvoir a-t-il choisi le cinquantenaire de l'indépendance pour tenter de renouveler sa légitimité ? Cette APN est-elle légitime pour jouer ce rôle constituant ? Quel contenu revêtira la future Constitution et pour quel(s) objectif(s) ? sous l'intitulé de : «Quelle Constitution et quel processus de légitimation ?». La conférence déclinée en deux communications se déroule au 67, Bd Krim-Belkacem (ex-Télemly) à Alger. La problématique s'articule donc autour de l'élaboration d'une Constitution dans un contexte marqué, notent les initiateurs, du débat, par «les évolutions au plan national et international» qui «appellent maintenant à un changement constitutionnel qui prenne en charge les exigences citoyennes et démocratiques.». Et d'ajouter : «Les différents régimes qui se sont succédé depuis 1962 se sont reposés sur la répression de tout désir d'émancipation de la société et sur des légitimités – historique, révolutionnaire et électorale – usurpées et/ou dévoyées. On voit, en particulier, comment en Tunisie, au Maroc et en Egypte la question de la réforme de la Constitution a cristallisé les luttes politiques dans des conditions qui interpellent quant à la possibilité de faire aboutir les aspirations démocratiques». Les animateurs disent vouloir réfléchir à ces «interrogations et à d'autres, notamment à comment traduire notre projet de société en termes juridico constitutionnels» et d'ajouter que «ce débat imposé par l'agenda politique national et eu égard à l'enjeu considérable qu'il recèle n'est, nous espérons, que la première rencontre, dans cet espace de réflexion et de propositions que nous vous suggérons, avant d'aborder d'autres thématiques constitutives de la vie politique».