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Le message du Président
Journée nationale de la presse
Publié dans Le Midi Libre le 23 - 10 - 2016

Le président de la République Abdelaziz Bouteflika a adressé un message à la veille de la célébration de la journée nationale de la presse, le 22 octobre. En voici la traduction APS :
Le président de la République Abdelaziz Bouteflika a adressé un message à la veille de la célébration de la journée nationale de la presse, le 22 octobre. En voici la traduction APS :
«Mesdames, Messieurs,
Voila que notre pays persévère à célébrer la journée nationale de la presse pour laquelle nous avons choisi la date du 22 octobre de chaque année. Notre initiative de décréter cette fête propre à la corporation de la presse de notre pays a plus d'une signification.
Il s'agit, en premier lieu, d'un devoir de reconnaissance envers la presse nationale pour son accompagnement et son soutien aux revendications de notre valeureux peuple et à sa résistance depuis la «Sahoua» à travers la tribune du célèbre journal «El Bassa'ir» à la glorieuse révolution du premier Novembre, quand le staff rédactionnel du journal historique «El Moudjahid» et la Voix de la radio de l'Algérie combattante se faisaient l'écho des mitrailleurs de nos vaillants moudjahidine et des cris de nos enfants sous la répression et la torture du colonialisme abject.
Je tiens à cette occasion à rendre hommage à la bravoure et à la résistance de la presse nationale, tous supports confondus, (audio- visuel et écrite) durant la tragédie nationale. Cette presse qui s'est attelée à la défense, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, de la sécurité des Algériens et de la pérennité de la République et a oeuvré au recouvrement de la paix et de la sécurité de notre chère patrie.
Aussi, je tiens à me recueillir à la mémoire des martyrs du devoir national, hommes et femmes, parmi les journalistes algériens. Il s'agit aussi d'affirmer notre profonde conviction que les médias sont un support fondamental et essentiel dans la bataille de l'édification dans tous les domaines.
Un support indispensable au vu de sa contribution à la promotion du pluralisme politique, l'ancrage démocratique et la vulgarisation du civisme. C'est aussi un support important pour transmettre la véritable image de l'Algérie dans un Monde où les faibles n'ont pas de place.
Mesdames, Messieurs,
La décision de décréter cette journée nationale de la presse, loin d'être une mesure fortuite, s'inscrit en droite ligne avec une politique et des choix résolument assumés par l'Algérie. Une Algérie qui sait ou elle va.
Nous ne pouvons qu'être fiers, dans ce sens, de ce que l'université algérienne a consacré pour la formation de ses diplômés en journalisme à travers toutes les régions du pays. Toutes ces promotions et ces jeunes compétences, dont foisonnent les salles de rédaction de nos nombreux journaux et qui rendent attractifs nos écrans et chaînes de télévision, sont en effet pour nous un motif de satisfaction.
Dans ce même contexte, l'Algérie s'est dotée d'une législation dont nous pouvons nous enorgueillir puisqu'elle a permis à notre pays d'occuper une place importante en terme de reconnaissance et de consécration de la liberté de la presse.
La Constitution, amendée au début de l'année en cours, est venue confirmer explicitement la consécration de la liberté de la presse dans toutes sa composante sans contrainte aucune si ce n'est le respect de la dignité, des libertés et des droits de la personne.
De même qu'elle consacre la libre diffusion et promotion de l'information, des idées, des images et des opinions sous la protection de la loi et dans le respect des constantes et valeurs de notre peuple. Le même amendement a consacré, en outre, le droit du citoyen à l'accès à l'information à travers la presse.
Tous ces acquis, nouvellement instaurés ou formellement confirmés par l'amendement constitutionnel, visent à conforter les étapes positives que nous avons franchies dans la matérialisation sur le terrain du Code de l'information, dont l'institution de l'Autorité de régulation de l'audio- visuel (ARAV) que nous espérons voir contribuer à la promotion de ce volet du paysage médiatique national et l'aider à aller vers plus de professionnalisme au service et dans l'intérêt de la société.
Je saisis cette heureuse occasion pour exhorter la corporation de la presse écrite et les autorités publiques concernées à oeuvrer ensemble pour accélérer la mise en place de l'Autorité de régulation de la presse écrite, stipulée par la loi.
Nous souhaitons que cet organe soit lui aussi un espace pour établir davantage de compréhension entre le pouvoir et la presse écrite et aider la presse algérienne à améliorer sa performance, non seulement en terme de liberté d'opinion, de diversité d'idées et de convictions mais également pour la consécration de la certitude que nous sommes, aussi différentes que soient nos obédiences, un peuple uni et unique et que nous n'avons d'autre patrie que l'Algérie.
Mesdames, Messieurs,
Je voudrais également saisir cette opportunité pour aborder, pour la première fois, un sujet qui constitue un défi fondamental pour la corporation de la presse algérienne et pour l'Algérie toute entière, à savoir la presse électronique qui domine aujourd'hui le monde entier.
C'est un défi pour les médias nationaux et en premier lieu pour la presse écrite du fait, par exemple, qu'elle réduit son marché. C'est un défi pour l'Algérie tout entière du fait qu'elle (presse électronique) provient souvent de pays étrangers et permet de diffuser des insinuations calomnieuses et injurieuses, de semer les idées subversives voire de s'attaquer ouvertement et sans aucun scrupule, à notre peuple et à notre pays.
La presse électronique fait désormais l'objet de réflexion pour sa régulation dans d'autres pays et je souhaiterais que l'on parvienne, journalistes, responsables de l'Etat et société civile, à réfléchir ensemble à cette question dans notre pays.
Mesdames, Messieurs,
C'est en tout honneur que j'ai accepté que le Prix du Président de la République pour le journaliste professionnel ait pour thème cette année «La femme algérienne, facteur majeur du développement économique et social».
Comment ne pas accepter sachant que la corporation de la presse nationale est majoritairement constituée de femmes journalistes? Comment ne pas accepter sachant aussi, que la femme algérienne a écrit l'Histoire de l'Algérie, et qu'elle écrit aujourd'hui son présent et son avenir?
Je saisis cette occasion pour rendre hommage à nos Moudjahidate et aux Chahidate parmi elles, qui ont grandement contribué à la glorieuse révolution de Novembre. La révolution des Moudjahidine et Moudjahidate que le colonisateur qualifiait à l'époque de terroristes. Les Moudjahidate que des voix haineuses avaient osé taxer de terroristes.
Dans l'Algérie indépendante, la Femme a marqué aussi sa présence et prouvé son efficacité dans tous les domaines. Elle a marqué sa résistance chaque fois que l'Algérie s'est trouvée confrontée aux épreuves et aux difficultés. Aussi, nous lui avons ouvert davantage la sphère politique à travers la Constitution et la législation. C'est ainsi que la dernière révision constitutionnelle a mis à la charge de l'Etat de veiller à l'égalité entre les citoyens et les citoyennes en matière d'emploi.
Mesdames, Messieurs,
Nul doute que l'Algérie est confrontée aujourd'hui à plusieurs défis, tant pour la préservation de sa sécurité et sa stabilité dans un environnement marqué par les tensions que pour le parachèvement de son processus rénové sur la voie de la construction et de l'édification économique, sociale, culturelle et politique.
Face à tous ces défis, la presse nationale constitue un acteur influent dans le façonnage de l'opinion publique et la mobilisation des énergies et des volontés. En tant que Moudjahid ayant combattu pour la liberté et en ma qualité de Président de la République et garant de la Constitution, je demeure profondément attaché à la liberté en général et à celle de la presse en particulier.
Les enfants de mon pays qui ont choisi ce noble métier qu'est la presse et le journalisme ont tout mon respect et toute ma considération. Par conséquent, je ne prétendrais pas m'adresser à vous sur les intérêts de notre pays et de notre peuple dans une logique paternaliste, mais je vous exhorte à transmettre la vérité, rien que la vérité. Je vous exhorte à ne jamais perdre de vue l'Algérie en tant que patrie, Etat et peuple.
L 'Algérie et ses intérêts, non pas le pouvoir ni un courant politique quel qu'il soit. Partant de ce principe et de ces règles et limites, vous me trouverez toujours à vos côtés, défenseur de vos droits et oeuvrant à la promotion de votre profession. Je vous félicite et vous souhaite à tous davantage de succès et de progrès dans l'Algérie de la paix et de la réconciliation. Vive l'Algérie ».
«Mesdames, Messieurs,
Voila que notre pays persévère à célébrer la journée nationale de la presse pour laquelle nous avons choisi la date du 22 octobre de chaque année. Notre initiative de décréter cette fête propre à la corporation de la presse de notre pays a plus d'une signification.
Il s'agit, en premier lieu, d'un devoir de reconnaissance envers la presse nationale pour son accompagnement et son soutien aux revendications de notre valeureux peuple et à sa résistance depuis la «Sahoua» à travers la tribune du célèbre journal «El Bassa'ir» à la glorieuse révolution du premier Novembre, quand le staff rédactionnel du journal historique «El Moudjahid» et la Voix de la radio de l'Algérie combattante se faisaient l'écho des mitrailleurs de nos vaillants moudjahidine et des cris de nos enfants sous la répression et la torture du colonialisme abject.
Je tiens à cette occasion à rendre hommage à la bravoure et à la résistance de la presse nationale, tous supports confondus, (audio- visuel et écrite) durant la tragédie nationale. Cette presse qui s'est attelée à la défense, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, de la sécurité des Algériens et de la pérennité de la République et a oeuvré au recouvrement de la paix et de la sécurité de notre chère patrie.
Aussi, je tiens à me recueillir à la mémoire des martyrs du devoir national, hommes et femmes, parmi les journalistes algériens. Il s'agit aussi d'affirmer notre profonde conviction que les médias sont un support fondamental et essentiel dans la bataille de l'édification dans tous les domaines.
Un support indispensable au vu de sa contribution à la promotion du pluralisme politique, l'ancrage démocratique et la vulgarisation du civisme. C'est aussi un support important pour transmettre la véritable image de l'Algérie dans un Monde où les faibles n'ont pas de place.
Mesdames, Messieurs,
La décision de décréter cette journée nationale de la presse, loin d'être une mesure fortuite, s'inscrit en droite ligne avec une politique et des choix résolument assumés par l'Algérie. Une Algérie qui sait ou elle va.
Nous ne pouvons qu'être fiers, dans ce sens, de ce que l'université algérienne a consacré pour la formation de ses diplômés en journalisme à travers toutes les régions du pays. Toutes ces promotions et ces jeunes compétences, dont foisonnent les salles de rédaction de nos nombreux journaux et qui rendent attractifs nos écrans et chaînes de télévision, sont en effet pour nous un motif de satisfaction.
Dans ce même contexte, l'Algérie s'est dotée d'une législation dont nous pouvons nous enorgueillir puisqu'elle a permis à notre pays d'occuper une place importante en terme de reconnaissance et de consécration de la liberté de la presse.
La Constitution, amendée au début de l'année en cours, est venue confirmer explicitement la consécration de la liberté de la presse dans toutes sa composante sans contrainte aucune si ce n'est le respect de la dignité, des libertés et des droits de la personne.
De même qu'elle consacre la libre diffusion et promotion de l'information, des idées, des images et des opinions sous la protection de la loi et dans le respect des constantes et valeurs de notre peuple. Le même amendement a consacré, en outre, le droit du citoyen à l'accès à l'information à travers la presse.
Tous ces acquis, nouvellement instaurés ou formellement confirmés par l'amendement constitutionnel, visent à conforter les étapes positives que nous avons franchies dans la matérialisation sur le terrain du Code de l'information, dont l'institution de l'Autorité de régulation de l'audio- visuel (ARAV) que nous espérons voir contribuer à la promotion de ce volet du paysage médiatique national et l'aider à aller vers plus de professionnalisme au service et dans l'intérêt de la société.
Je saisis cette heureuse occasion pour exhorter la corporation de la presse écrite et les autorités publiques concernées à oeuvrer ensemble pour accélérer la mise en place de l'Autorité de régulation de la presse écrite, stipulée par la loi.
Nous souhaitons que cet organe soit lui aussi un espace pour établir davantage de compréhension entre le pouvoir et la presse écrite et aider la presse algérienne à améliorer sa performance, non seulement en terme de liberté d'opinion, de diversité d'idées et de convictions mais également pour la consécration de la certitude que nous sommes, aussi différentes que soient nos obédiences, un peuple uni et unique et que nous n'avons d'autre patrie que l'Algérie.
Mesdames, Messieurs,
Je voudrais également saisir cette opportunité pour aborder, pour la première fois, un sujet qui constitue un défi fondamental pour la corporation de la presse algérienne et pour l'Algérie toute entière, à savoir la presse électronique qui domine aujourd'hui le monde entier.
C'est un défi pour les médias nationaux et en premier lieu pour la presse écrite du fait, par exemple, qu'elle réduit son marché. C'est un défi pour l'Algérie tout entière du fait qu'elle (presse électronique) provient souvent de pays étrangers et permet de diffuser des insinuations calomnieuses et injurieuses, de semer les idées subversives voire de s'attaquer ouvertement et sans aucun scrupule, à notre peuple et à notre pays.
La presse électronique fait désormais l'objet de réflexion pour sa régulation dans d'autres pays et je souhaiterais que l'on parvienne, journalistes, responsables de l'Etat et société civile, à réfléchir ensemble à cette question dans notre pays.
Mesdames, Messieurs,
C'est en tout honneur que j'ai accepté que le Prix du Président de la République pour le journaliste professionnel ait pour thème cette année «La femme algérienne, facteur majeur du développement économique et social».
Comment ne pas accepter sachant que la corporation de la presse nationale est majoritairement constituée de femmes journalistes? Comment ne pas accepter sachant aussi, que la femme algérienne a écrit l'Histoire de l'Algérie, et qu'elle écrit aujourd'hui son présent et son avenir?
Je saisis cette occasion pour rendre hommage à nos Moudjahidate et aux Chahidate parmi elles, qui ont grandement contribué à la glorieuse révolution de Novembre. La révolution des Moudjahidine et Moudjahidate que le colonisateur qualifiait à l'époque de terroristes. Les Moudjahidate que des voix haineuses avaient osé taxer de terroristes.
Dans l'Algérie indépendante, la Femme a marqué aussi sa présence et prouvé son efficacité dans tous les domaines. Elle a marqué sa résistance chaque fois que l'Algérie s'est trouvée confrontée aux épreuves et aux difficultés. Aussi, nous lui avons ouvert davantage la sphère politique à travers la Constitution et la législation. C'est ainsi que la dernière révision constitutionnelle a mis à la charge de l'Etat de veiller à l'égalité entre les citoyens et les citoyennes en matière d'emploi.
Mesdames, Messieurs,
Nul doute que l'Algérie est confrontée aujourd'hui à plusieurs défis, tant pour la préservation de sa sécurité et sa stabilité dans un environnement marqué par les tensions que pour le parachèvement de son processus rénové sur la voie de la construction et de l'édification économique, sociale, culturelle et politique.
Face à tous ces défis, la presse nationale constitue un acteur influent dans le façonnage de l'opinion publique et la mobilisation des énergies et des volontés. En tant que Moudjahid ayant combattu pour la liberté et en ma qualité de Président de la République et garant de la Constitution, je demeure profondément attaché à la liberté en général et à celle de la presse en particulier.
Les enfants de mon pays qui ont choisi ce noble métier qu'est la presse et le journalisme ont tout mon respect et toute ma considération. Par conséquent, je ne prétendrais pas m'adresser à vous sur les intérêts de notre pays et de notre peuple dans une logique paternaliste, mais je vous exhorte à transmettre la vérité, rien que la vérité. Je vous exhorte à ne jamais perdre de vue l'Algérie en tant que patrie, Etat et peuple.
L 'Algérie et ses intérêts, non pas le pouvoir ni un courant politique quel qu'il soit. Partant de ce principe et de ces règles et limites, vous me trouverez toujours à vos côtés, défenseur de vos droits et oeuvrant à la promotion de votre profession. Je vous félicite et vous souhaite à tous davantage de succès et de progrès dans l'Algérie de la paix et de la réconciliation. Vive l'Algérie ».


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