Les groupes terroristes sont en perte de vitesse. Ils essuient de véritables saignées de leurs effectifs les réduisant à la portion congrue. Les groupes terroristes sont en perte de vitesse. Ils essuient de véritables saignées de leurs effectifs les réduisant à la portion congrue. Les efforts de l'ANP ont ainsi démontré que l'Algérie reste un rempart contre les tentatives de sa déstabilisation. Que ces soient Djound el Khilafa, Aqmi ou Daech, ces groupes terroristes n'ont aucune chance de poursuivre leur voie - djihadiste -. Les analystes estiment que les coups assénés par l'ANP ces dernières années aux différents groupes terroristes, renforcent davantage l'Algérie dans sa victoire contre les tentatives de déstabilisation du pays. Et pour preuve certains prestigieux cabinets d'analyse de sécurité comme l'international Crisis Group, le Département d'Etat américain et l'Ifri (Institut français des relations internationales) ont tous, à l'unanimité, estimé que l'Etat algérien n'a jamais reculé face à la montée en puissance de ces groupes qualifiés de - djihadistes -. L'International Crisis group signale, dans un dernier rapport, que "le groupe Daech n'a pas d'existence en Algérie". Ses tentatives d'incursion en Algérie, estime ce cabinet d'études ont été vaines même si cette organisation a tenté de recruter via les réseaux sociaux ou le Net. "C'est un échec total de ces groupes face au plan de sécurité lancé par le gouvernement algérien dés l'année 2014" estime un autre site d'analyse spécialisé dans les crises globales. De la même façon où le groupe Aqmi et son corollaire Djound el Khilafa de Droudkel, le terrain ne leur est plus favorable et même s'ils persistent dans quelques attaques isolées les spécialistes des questions sécuritaires indiquent que leur échec est programmé d'avance. Pour preuve, leurs réseaux sont, au fur et à mesure, démantelés grâce à l'efficacité du renseignementet les mesures anticipativesmenées par les services de sécurité danstoute la bande frontalière. En outre, lesautorités algériennes ont considéré que letarissement des sources financières de ces groupes terroristes reste l'un des fronts à mener dans cette bataille. Les spécialistes au fait de cette question soulignent que "le terrorisme mondial veut évoluer avec plus de ressources, mais reste contrarié par l'assèchement des ces réseaux clandestins" constitués généralement de narco-trafiquantset contrebandiers. Pour en venir à bouts de ce qui reste de ces organisations, L'Algérie, rappelons-le, a renforcé saprésence militaire dans les 7.500 kilomètresdes frontières entre la Libye, leNiger et le Mali et même dans les pourtours proches de la frontière ouest. Un plan qui a d'ailleurs montré des résultasprobants où les pays puissants ont salué sa réussite après avoir douté des annéessur l'efficacité des services de sécurité. Bien au contraire, le plan de lutte antiterroriste algérien ne concerne pas uniquementle théâtre des opérations mais vise àdonner une autre image d'un pays hautementsécurisé comme l'a indiqué un récentrapport de l'institut de sondage américain,Gallup. Pour leur part, l'analyse de l'Ifriabonde dans le même sens où "l'Algéries'érige actuellement comme un pôle de sécurisation dans toute la région" y compris dans le Sahel. Les efforts de l'ANP ont ainsi démontré que l'Algérie reste un rempart contre les tentatives de sa déstabilisation. Que ces soient Djound el Khilafa, Aqmi ou Daech, ces groupes terroristes n'ont aucune chance de poursuivre leur voie - djihadiste -. Les analystes estiment que les coups assénés par l'ANP ces dernières années aux différents groupes terroristes, renforcent davantage l'Algérie dans sa victoire contre les tentatives de déstabilisation du pays. Et pour preuve certains prestigieux cabinets d'analyse de sécurité comme l'international Crisis Group, le Département d'Etat américain et l'Ifri (Institut français des relations internationales) ont tous, à l'unanimité, estimé que l'Etat algérien n'a jamais reculé face à la montée en puissance de ces groupes qualifiés de - djihadistes -. L'International Crisis group signale, dans un dernier rapport, que "le groupe Daech n'a pas d'existence en Algérie". Ses tentatives d'incursion en Algérie, estime ce cabinet d'études ont été vaines même si cette organisation a tenté de recruter via les réseaux sociaux ou le Net. "C'est un échec total de ces groupes face au plan de sécurité lancé par le gouvernement algérien dés l'année 2014" estime un autre site d'analyse spécialisé dans les crises globales. De la même façon où le groupe Aqmi et son corollaire Djound el Khilafa de Droudkel, le terrain ne leur est plus favorable et même s'ils persistent dans quelques attaques isolées les spécialistes des questions sécuritaires indiquent que leur échec est programmé d'avance. Pour preuve, leurs réseaux sont, au fur et à mesure, démantelés grâce à l'efficacité du renseignementet les mesures anticipativesmenées par les services de sécurité danstoute la bande frontalière. En outre, lesautorités algériennes ont considéré que letarissement des sources financières de ces groupes terroristes reste l'un des fronts à mener dans cette bataille. Les spécialistes au fait de cette question soulignent que "le terrorisme mondial veut évoluer avec plus de ressources, mais reste contrarié par l'assèchement des ces réseaux clandestins" constitués généralement de narco-trafiquantset contrebandiers. Pour en venir à bouts de ce qui reste de ces organisations, L'Algérie, rappelons-le, a renforcé saprésence militaire dans les 7.500 kilomètresdes frontières entre la Libye, leNiger et le Mali et même dans les pourtours proches de la frontière ouest. Un plan qui a d'ailleurs montré des résultasprobants où les pays puissants ont salué sa réussite après avoir douté des annéessur l'efficacité des services de sécurité. Bien au contraire, le plan de lutte antiterroriste algérien ne concerne pas uniquementle théâtre des opérations mais vise àdonner une autre image d'un pays hautementsécurisé comme l'a indiqué un récentrapport de l'institut de sondage américain,Gallup. Pour leur part, l'analyse de l'Ifriabonde dans le même sens où "l'Algéries'érige actuellement comme un pôle de sécurisation dans toute la région" y compris dans le Sahel.