Plus que quatre semaines avant l'Aïd el-Adha, qui aura lieu cette année les 23 aoûtprochain, qui interviendra à la veille de la rentrée scolaire etle prixdu mouton, selon des estimations, dépassera les 40.000 DA. Plus que quatre semaines avant l'Aïd el-Adha, qui aura lieu cette année les 23 aoûtprochain, qui interviendra à la veille de la rentrée scolaire etle prixdu mouton, selon des estimations, dépassera les 40.000 DA. Au casse-tête des fournitures scolaires s'ajoute donc l'achat dumouton, ce qui met les bourses desménages à rude épreuve. Par ailleurs, enplus du mouton et tous les ingrédientsdont la nécessité oblige, la fête solliciteaussi de nombreuses autres dépenses liéesà l'obligation d'acheter les habits pourtous les enfants de la famille. Car à l'issued'une saison de grande consommation,rythmée par une succession d'événementset de fêtes (vacances, mariages,Ramadhan...), la plupart des bourses sontquasi-vides. L'été a impacté le budget desAlgériens, d'autant plus que l'Algérie traverseune phase particulièrement difficileen ces temps de vaches maigres marquéepar profonde déprime économique, avecdes conséquences sociales de plus en plus lourdes. Les préparatifs concernant cettefête sacrée se poursuivent dans toutes lesrégions du pays, focalisant les discussions sur le prix du mouton. A quatre semaines de l'Aïd et à l'instar des années précédentes, les prix du mouton ontconnu une hausse considérable dans les marchés à bestiaux ou les points de venteoù le mouton est proposé à plus de 40.000 DA. Et ce, malgré l'abondance des pluies enregistrée ces derniers moisdans plusieurs régions du pays, ayant permis une régénération du couvert végétal. Face àcette situation, des citoyens se rabattront surement comme chaque année sur les caprins. Beaucoup d'Algériens hésitent toujours et se donnent un temps de réflexion et préfèrent attendre pour se décider à acheter ou non leur mouton. D'autres ont décidé carrément de fairel'impasse sur cette fête, découragée par une flambée des prix qui rappelle unesituation vécue l'année dernière par des milliers d'Algériens. Pourtant, les autorités concernées avaient annoncé l'annéedernière que desdispositions seront prises pour la régulation des prix du cheptel ovin. C'est ce qu'avait annoncé la veillede l'Aïd el-Aadha sur les ondes de la Radio nationale, le directeur des services vétérinaires au ministère de l'Agriculture.Il avait indiqué que le ministère de l'Agriculture étudiait un projet visant la régulation des prix. A priori, rien ne semble avoir changé, puisque les prix cette année encore risquent de décourager unebonne partie des citoyens. Même si l'offre est abondante en raison de l'augmentation de la production nationale, cela nesemble pas avoir influé outre mesure surles prix du mouton. Au casse-tête des fournitures scolaires s'ajoute donc l'achat dumouton, ce qui met les bourses desménages à rude épreuve. Par ailleurs, enplus du mouton et tous les ingrédientsdont la nécessité oblige, la fête solliciteaussi de nombreuses autres dépenses liéesà l'obligation d'acheter les habits pourtous les enfants de la famille. Car à l'issued'une saison de grande consommation,rythmée par une succession d'événementset de fêtes (vacances, mariages,Ramadhan...), la plupart des bourses sontquasi-vides. L'été a impacté le budget desAlgériens, d'autant plus que l'Algérie traverseune phase particulièrement difficileen ces temps de vaches maigres marquéepar profonde déprime économique, avecdes conséquences sociales de plus en plus lourdes. Les préparatifs concernant cettefête sacrée se poursuivent dans toutes lesrégions du pays, focalisant les discussions sur le prix du mouton. A quatre semaines de l'Aïd et à l'instar des années précédentes, les prix du mouton ontconnu une hausse considérable dans les marchés à bestiaux ou les points de venteoù le mouton est proposé à plus de 40.000 DA. Et ce, malgré l'abondance des pluies enregistrée ces derniers moisdans plusieurs régions du pays, ayant permis une régénération du couvert végétal. Face àcette situation, des citoyens se rabattront surement comme chaque année sur les caprins. Beaucoup d'Algériens hésitent toujours et se donnent un temps de réflexion et préfèrent attendre pour se décider à acheter ou non leur mouton. D'autres ont décidé carrément de fairel'impasse sur cette fête, découragée par une flambée des prix qui rappelle unesituation vécue l'année dernière par des milliers d'Algériens. Pourtant, les autorités concernées avaient annoncé l'annéedernière que desdispositions seront prises pour la régulation des prix du cheptel ovin. C'est ce qu'avait annoncé la veillede l'Aïd el-Aadha sur les ondes de la Radio nationale, le directeur des services vétérinaires au ministère de l'Agriculture.Il avait indiqué que le ministère de l'Agriculture étudiait un projet visant la régulation des prix. A priori, rien ne semble avoir changé, puisque les prix cette année encore risquent de décourager unebonne partie des citoyens. Même si l'offre est abondante en raison de l'augmentation de la production nationale, cela nesemble pas avoir influé outre mesure surles prix du mouton.