Abderazak Makri a, de nouveau appelé Abdelkader Bensalah et Noureddine Bedoui, à démissionner pour provoquerune nouvelle dynamique politique quiconduirait à la sortie de l'impasse politiqueactuelle. Abderazak Makri a, de nouveau appelé Abdelkader Bensalah et Noureddine Bedoui, à démissionner pour provoquerune nouvelle dynamique politique quiconduirait à la sortie de l'impasse politiqueactuelle. "Le chef de l'Etat et sonPremier ministre doivent démissionnerpar respect à la volonté du peuple quiréclame chaque jour leur départ, le nouveauPrésident doit veiller au respect dela démocratie et ne doit pas avoir étéimpliqué dans les fraudes électorales", at-il dit samedi, à l'occasion de la célébrationdu 16e anniversaire de la mort deCheikh Nahnah, le fondateur du MSP. Lechef du MSP a défendu la tenue de la présidentielle dans les meilleurs délais, estimantqu'un "dialogue global et inclusif"est un préalable à cette élection. Ajoutant: "S'il y a une personnalité consensuelle àl'issue de dialogue, je ne serai pas candidatà la présidentielle". En parlant de la scène politique, actuellement, il considèrequ'elle est travaillée par deux forces, àsavoir le Mouvement populaire et l'institutionmilitaire et que les élites politiquesont pour rôle de servir de médiateur pour faire converger les points de vue pour unesolution en vue du retour à la légalité constitutionnelle.Abderazak Makri s'est félicité de la positonde l'institution militaire, dans sonaccompagnement du mouvement populaire. Cela est une bonne chose, ajoute-t-ilen ce que cette institution ne doit pas s'ingérerdans le jeu politique pour ne pasdonner l'impression que l'Algérie est sousune junte militaire. Ce qui, de son point duvue, l'exposera aux risques interventionnistes,notamment de la part du Conseil deSécurité dont la France est membre permanent "Le chef de l'Etat et sonPremier ministre doivent démissionnerpar respect à la volonté du peuple quiréclame chaque jour leur départ, le nouveauPrésident doit veiller au respect dela démocratie et ne doit pas avoir étéimpliqué dans les fraudes électorales", at-il dit samedi, à l'occasion de la célébrationdu 16e anniversaire de la mort deCheikh Nahnah, le fondateur du MSP. Lechef du MSP a défendu la tenue de la présidentielle dans les meilleurs délais, estimantqu'un "dialogue global et inclusif"est un préalable à cette élection. Ajoutant: "S'il y a une personnalité consensuelle àl'issue de dialogue, je ne serai pas candidatà la présidentielle". En parlant de la scène politique, actuellement, il considèrequ'elle est travaillée par deux forces, àsavoir le Mouvement populaire et l'institutionmilitaire et que les élites politiquesont pour rôle de servir de médiateur pour faire converger les points de vue pour unesolution en vue du retour à la légalité constitutionnelle.Abderazak Makri s'est félicité de la positonde l'institution militaire, dans sonaccompagnement du mouvement populaire. Cela est une bonne chose, ajoute-t-ilen ce que cette institution ne doit pas s'ingérerdans le jeu politique pour ne pasdonner l'impression que l'Algérie est sousune junte militaire. Ce qui, de son point duvue, l'exposera aux risques interventionnistes,notamment de la part du Conseil deSécurité dont la France est membre permanent