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Karim Younes défend son action
Fortement critiqué et acculé
Publié dans Le Midi Libre le 31 - 07 - 2019

Le coordonnateur du panel de dialogue et de médiation, Karim Younes, a défendu hier mardi, son rôle dans celui-ci et nié être l'émissaire du pouvoir, affirmant être seulement un citoyen appelé à apporter sa contribution au règlement de la crise politique que traverse le pays.
Le coordonnateur du panel de dialogue et de médiation, Karim Younes, a défendu hier mardi, son rôle dans celui-ci et nié être l'émissaire du pouvoir, affirmant être seulement un citoyen appelé à apporter sa contribution au règlement de la crise politique que traverse le pays.
"L'histoire est une roue qui se déroule sans fin et nul ne peut entraver sa course, ni l'empêcher d'atteindre son destin. Je suis plus soucieux du futur de mon pays, que du présent de ma propre image. C'est alors, en mon âme et conscience, que je me suis senti obligé... l'obligé de mes compatriotes, l'obligé de nos enfants, adultes en devenir, exclusivement", a indiqué M.
Younes, dans un texte publié sur son compte Facebook. "Même si je dois encore être victime de mise en accusation, je continuerai à agir de façon équitable, en dépit de la manière inique dont certains opèrent, car je me veux engagé dans ce processus qui vise à prendre à bras le corps, la réalité telle qu'elle est", a-t-il ajouté. L'ancien président de l'Assemblée populaire nationale (APN), s'est dit "triste" de constater que son appel à l'action, "se transforme en appel à la réaction". Pour lui, "l'homme instruit par l'Histoire sait que la société est transformée par l'opinion, que l'opinion ne se modifiera pas toute seule et qu'un seul individu est impuissant à la changer..., mais il sait que plusieurs hommes, opérant ensemble dans le même sens, peuvent modifier l'opinion.
Cette connaissance lui donne le sentiment de son pouvoir, la conscience de son devoir et la règle de son activité, qui est d'aider à la transformation de la société dans le sens qu'il regarde comme le plus avantageux", a-t-il écrit. "Tenter d'obtenir la libération de jeunes manifestants, pour avoir porté le drapeau de ses couleurs identitaires, est une tare? De faire arrêter les violence policières sur les manifestants est une hérésie? Faire sauter les verrous qui empêchent l'accès de la capitale les jours de marches, une faute grave? D'appeler à l'ouverture des médias aux opinions qui courent dans la société, une ineptie? De porter la voix de millions d'Algériens pour le départ de l'actuel gouvernement, une lubie? Que veut-on au juste?
De laisser tous ses leviers de pouvoir au pouvoir que l'on veut abattre?", s'est-il interrogé. Le coordonnateur du Panel a nié être le pouvoir ouson émissaire, affirmant être seulement un citoyen "appelé à apporter sa contribution aux côtés des hommes et des femmes de bonne volonté, pour faire aboutir la lutte enclenchée de longue date, impulsée par la révolution de février 2019". "Que ceux qui pensent détenir la vérité, en s'installant dans le confort du censeur, fassent mieux. J'applaudirai à leurs succès", at- il conclu.
"L'histoire est une roue qui se déroule sans fin et nul ne peut entraver sa course, ni l'empêcher d'atteindre son destin. Je suis plus soucieux du futur de mon pays, que du présent de ma propre image. C'est alors, en mon âme et conscience, que je me suis senti obligé... l'obligé de mes compatriotes, l'obligé de nos enfants, adultes en devenir, exclusivement", a indiqué M.
Younes, dans un texte publié sur son compte Facebook. "Même si je dois encore être victime de mise en accusation, je continuerai à agir de façon équitable, en dépit de la manière inique dont certains opèrent, car je me veux engagé dans ce processus qui vise à prendre à bras le corps, la réalité telle qu'elle est", a-t-il ajouté. L'ancien président de l'Assemblée populaire nationale (APN), s'est dit "triste" de constater que son appel à l'action, "se transforme en appel à la réaction". Pour lui, "l'homme instruit par l'Histoire sait que la société est transformée par l'opinion, que l'opinion ne se modifiera pas toute seule et qu'un seul individu est impuissant à la changer..., mais il sait que plusieurs hommes, opérant ensemble dans le même sens, peuvent modifier l'opinion.
Cette connaissance lui donne le sentiment de son pouvoir, la conscience de son devoir et la règle de son activité, qui est d'aider à la transformation de la société dans le sens qu'il regarde comme le plus avantageux", a-t-il écrit. "Tenter d'obtenir la libération de jeunes manifestants, pour avoir porté le drapeau de ses couleurs identitaires, est une tare? De faire arrêter les violence policières sur les manifestants est une hérésie? Faire sauter les verrous qui empêchent l'accès de la capitale les jours de marches, une faute grave? D'appeler à l'ouverture des médias aux opinions qui courent dans la société, une ineptie? De porter la voix de millions d'Algériens pour le départ de l'actuel gouvernement, une lubie? Que veut-on au juste?
De laisser tous ses leviers de pouvoir au pouvoir que l'on veut abattre?", s'est-il interrogé. Le coordonnateur du Panel a nié être le pouvoir ouson émissaire, affirmant être seulement un citoyen "appelé à apporter sa contribution aux côtés des hommes et des femmes de bonne volonté, pour faire aboutir la lutte enclenchée de longue date, impulsée par la révolution de février 2019". "Que ceux qui pensent détenir la vérité, en s'installant dans le confort du censeur, fassent mieux. J'applaudirai à leurs succès", at- il conclu.


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