Le Panorama propose en l'espace d'une semaine pas moins de 68 films sur les 80 productions prévues. Ce chiffre en lui-même est positif pour un pays dont la production cinématographique était en chute libre. Le Panorama propose en l'espace d'une semaine pas moins de 68 films sur les 80 productions prévues. Ce chiffre en lui-même est positif pour un pays dont la production cinématographique était en chute libre. Le Panorama du cinéma qui s'est ouvert jeudi dernier à la salle Ibn Zeydoun de l'Oref ne semble pas remporter le succès escompté par ses organisateurs. Médiatisation et promotion insuffisantes ou indifférence du public, l'idée de mettre l'ensemble des films produits lors de la manifestation « Alger, capitale de la culture arabe 2007» en compétition comme pour un mini-festival ne semble pas attirer grand monde. Si l'ouverture, jeudi dernier en présence de Mme la ministre de la Culture, Khalida Toumi, a drainé un nombre massif d'invités à la salle Ibn-Zeydoun, dès vendredi, seconde journée du Panorama, les hôtesses d'accueil recrutées pour l'occasion ont dû beaucoup s'ennuyer. Pourtant le Panorama propose en l'espace d'une semaine pas moins de 68 films sur les 80 productions prévues. Ce chiffre en lui-même est positif pour un pays dont la production cinématographique était en chute libre. En plus de pouvoir revoir les films déjà présentés, les spectateurs pourront découvrir, en avant-première, des films qui étaient encore en cours de finalisation. C'est ainsi que le 25 mars seront projetés : La Dernière solution de Rachid Benallal et Le Voyage à Alger, de Abdelkrim Bahloul respectivement à 16 heures trente et 19 heures. Archipel de sables de Ghaouti Bendedouche, La Chine est encore loin de Malek Bensmaïl, Mascarade de Liès Salem et Affaire d'hommes de Amine Kaïs Seddikioui seront projetés le 26 mars respectivement à 14h, 16h, 18h et 20h. Le documentaire Professeur Lahbib Benyekhlef et le Malg sera présenté par Amine Kaïs le même jour à 15h30. Le 26 mars sera présenté Le sultan de L'eau de Belkacem Ouahdi, téléfilm inspiré du merveilleux roman «Gouverneurs de la rosée» de l'écrivain haïtien, Jacques Roumain(1907/1944). A raison de six projections par jour et de 10 heures du matin à 18 heures, 33 films documentaires seront projetés à la salle Zinet. Pour cette catégorie, le jury est présidé par le réalisateur palestinien Michel Khleifi et composé des réalisateurs algériens, Malik Aït Aoudia, Ali Fateh Ayadi et Mohamed Aïche. La réalisatrice française Dalila Ennadre, le réalisateur tunisien Hichem Ben Ammar et l'universitaire algérien Abdelaziz Boubakir en sont également membres. Avec deux projections par après-midi, la salle Cosmos présente une douzaine de téléfilms et courts métrages. Le jury de cette catégorie est présidé par le critique de cinéma marocain Ahmed Boughaba. Farkouk Kattou de la télévision tunisienne, la réalisatrice tunisienne Raja Ammari, les journalistes algériens Abrous Outoudert, Amar Bourouis et Nadira Laggoune ainsi que l'écrivain Hamid Abdelkader en sont les membres. Concernant la catégorie longs-métrages, la salle Ibn Zeydoun est mobilisée avec trois projections par jour, pour 18 films en compétition et un hors-compétition : Indigènes de Rachid Bouchareb. Ce sera la dernière projection qui aura lieu le 27 mars à 14 heures. Le jury présidé par le réalisateur algérien Mohamed Chouikh est composé du critique de cinéma italien Giovanni Rizzo, de Moufida Tlatli et Selma Baccar, réalisatrices tunisiennes, de l'actrice et cinéaste marocaine Salima Benmoumen, de Mouloud Achour et Améziane Ferhani, repectivement écrivain et journaliste algériens. Par catégorie, trois prix sont prévus: celui du meilleur film, celui du meilleur sujet et Spécial panorama. Cet évènement culturel est considéré par M. Abdelkrim Aït Oumeziane, directeur et M. Ahmed Benkamla, organisateur et coordinateur général, comme une autoévaluation dans le cadre de la préparation du Festival international du cinéma prévu pour le mois de novembre prochain. Notons que deux films ayant bénéficié de l'aide de la manifestation « Alger, capitale de la culture arabe 2007», ne seront pas projetés. Il s'agit de Délice Paloma de Nadir Moknache et de «Ne restent dans l'oued que ses galets» de Jean-Pierre lledo . Selon les organisateurs, aucune copie en langue arabe n'a été remise à ce jour pour le premier. Quant au second c'est pour cause de résiliation de contrat avec la boîte de production. Parallèlement aux projections, des séminaires sont organisés par l'Association des producteurs audiovisuels algériens (AVA) et l'Association des réalisateurs professionnels algériens (ARPA). Le 24 de 9 heures à 17 heures, sera débattu le thème «Cinéma et patrimoine» à la salle Frantz Fanon. Le 25 et le 26, de 9 à 17 heures également, sera fait un état des lieux de la Cinématographie nationale. Le 26 sera la journée de délibération des trois jurys. La cérémonie de clôture aura lieu le 27 mars à 18 heures à la salle Ibn Zeydoun de l'Oref. Le Panorama du cinéma qui s'est ouvert jeudi dernier à la salle Ibn Zeydoun de l'Oref ne semble pas remporter le succès escompté par ses organisateurs. Médiatisation et promotion insuffisantes ou indifférence du public, l'idée de mettre l'ensemble des films produits lors de la manifestation « Alger, capitale de la culture arabe 2007» en compétition comme pour un mini-festival ne semble pas attirer grand monde. Si l'ouverture, jeudi dernier en présence de Mme la ministre de la Culture, Khalida Toumi, a drainé un nombre massif d'invités à la salle Ibn-Zeydoun, dès vendredi, seconde journée du Panorama, les hôtesses d'accueil recrutées pour l'occasion ont dû beaucoup s'ennuyer. Pourtant le Panorama propose en l'espace d'une semaine pas moins de 68 films sur les 80 productions prévues. Ce chiffre en lui-même est positif pour un pays dont la production cinématographique était en chute libre. En plus de pouvoir revoir les films déjà présentés, les spectateurs pourront découvrir, en avant-première, des films qui étaient encore en cours de finalisation. C'est ainsi que le 25 mars seront projetés : La Dernière solution de Rachid Benallal et Le Voyage à Alger, de Abdelkrim Bahloul respectivement à 16 heures trente et 19 heures. Archipel de sables de Ghaouti Bendedouche, La Chine est encore loin de Malek Bensmaïl, Mascarade de Liès Salem et Affaire d'hommes de Amine Kaïs Seddikioui seront projetés le 26 mars respectivement à 14h, 16h, 18h et 20h. Le documentaire Professeur Lahbib Benyekhlef et le Malg sera présenté par Amine Kaïs le même jour à 15h30. Le 26 mars sera présenté Le sultan de L'eau de Belkacem Ouahdi, téléfilm inspiré du merveilleux roman «Gouverneurs de la rosée» de l'écrivain haïtien, Jacques Roumain(1907/1944). A raison de six projections par jour et de 10 heures du matin à 18 heures, 33 films documentaires seront projetés à la salle Zinet. Pour cette catégorie, le jury est présidé par le réalisateur palestinien Michel Khleifi et composé des réalisateurs algériens, Malik Aït Aoudia, Ali Fateh Ayadi et Mohamed Aïche. La réalisatrice française Dalila Ennadre, le réalisateur tunisien Hichem Ben Ammar et l'universitaire algérien Abdelaziz Boubakir en sont également membres. Avec deux projections par après-midi, la salle Cosmos présente une douzaine de téléfilms et courts métrages. Le jury de cette catégorie est présidé par le critique de cinéma marocain Ahmed Boughaba. Farkouk Kattou de la télévision tunisienne, la réalisatrice tunisienne Raja Ammari, les journalistes algériens Abrous Outoudert, Amar Bourouis et Nadira Laggoune ainsi que l'écrivain Hamid Abdelkader en sont les membres. Concernant la catégorie longs-métrages, la salle Ibn Zeydoun est mobilisée avec trois projections par jour, pour 18 films en compétition et un hors-compétition : Indigènes de Rachid Bouchareb. Ce sera la dernière projection qui aura lieu le 27 mars à 14 heures. Le jury présidé par le réalisateur algérien Mohamed Chouikh est composé du critique de cinéma italien Giovanni Rizzo, de Moufida Tlatli et Selma Baccar, réalisatrices tunisiennes, de l'actrice et cinéaste marocaine Salima Benmoumen, de Mouloud Achour et Améziane Ferhani, repectivement écrivain et journaliste algériens. Par catégorie, trois prix sont prévus: celui du meilleur film, celui du meilleur sujet et Spécial panorama. Cet évènement culturel est considéré par M. Abdelkrim Aït Oumeziane, directeur et M. Ahmed Benkamla, organisateur et coordinateur général, comme une autoévaluation dans le cadre de la préparation du Festival international du cinéma prévu pour le mois de novembre prochain. Notons que deux films ayant bénéficié de l'aide de la manifestation « Alger, capitale de la culture arabe 2007», ne seront pas projetés. Il s'agit de Délice Paloma de Nadir Moknache et de «Ne restent dans l'oued que ses galets» de Jean-Pierre lledo . Selon les organisateurs, aucune copie en langue arabe n'a été remise à ce jour pour le premier. Quant au second c'est pour cause de résiliation de contrat avec la boîte de production. Parallèlement aux projections, des séminaires sont organisés par l'Association des producteurs audiovisuels algériens (AVA) et l'Association des réalisateurs professionnels algériens (ARPA). Le 24 de 9 heures à 17 heures, sera débattu le thème «Cinéma et patrimoine» à la salle Frantz Fanon. Le 25 et le 26, de 9 à 17 heures également, sera fait un état des lieux de la Cinématographie nationale. Le 26 sera la journée de délibération des trois jurys. La cérémonie de clôture aura lieu le 27 mars à 18 heures à la salle Ibn Zeydoun de l'Oref.