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«Mon prochain mandat sera celui de l'éradication du terrorisme»
Abdelaziz Bouteflika promet de poursuivre la réconciliation nationale

Au dixième jour de la campagne électorale, le candidat indépendant est, encore une fois, revenu sur la nécessité d'assurer «une bonne fois pour toutes un retour à la sécurité et à la paix».
Au dixième jour de la campagne électorale, le candidat indépendant est, encore une fois, revenu sur la nécessité d'assurer «une bonne fois pour toutes un retour à la sécurité et à la paix».
Le candidat à sa propre succession, Abdelaziz Bouteflika, promet que s'il venait à être réélu à la tête de l'Etat, son prochain mandat sera consacré, dans sa grande partie, à la paix et à la stabilité. Dans la wilaya de Guelma où il s'est rendu au dixième jour de la campagne électorale, le candidat indépendant est encore une fois revenu sur la nécessité d'assurer «une bonne fois pour toutes un retour à la sécurité et à la paix».
Tout en prônant sa politique de réconciliation nationale qu'il poursuivra encore durant le prochain quinquennat, Bouteflika refuse d'entendre parler d'éradicateurs. «Les éradicateurs qui refuseront de déposer les armes seront éradiqués», clame-t-il.
Car, poursuit-t-il encore, «les civilisations ne peuvent se construire par des effusions de sang». Durcissant encore davantage le ton, le candidat promet que «l'Etat combattra avec rigueur et sans merci toute tentative d'atteinte à sa stabilité».
En entamant ce discours, Bouteflika reconnaît que celui-ci n'était, certes, pas prévu, mais il ne pouvait pas «en faire l'impasse dans une ville aussi historique que Guelma». Une ville qui a «enfanté des personnes tels que Salah Boubnider et Houari Boumediene». Parlant justement du parcours qu'il a eu à traverser avec le feu président, le candidat dit voir en lui «un aîné et un compagnon de première heure aussi bien durant la guerre de Libération qu'aprèsl'Indépendance». «Houari Boumediene, que Dieu ait pitié de son âme, a fait beaucoup de choses pour ce pays. Bonnes ou mauvaises? Je ne sais pas. Mais tout ce que je peux dire, c'est qu'à cette époque, son époque, les gens étaient heureux. Nous étions heureux !», affirme-t-il. D'autant plus qu'à cette époque la conjoncture n'était pas la même que celle actuelle et l'Algérie avait sa place dans le concert des Nations. «Je peux en témoigner car moi-même j'ai eu à gérer la diplomatie algérienne», se souvient-il.
Malheureusement, «les années du terrorisme qui ont suivi ont tout saccagé, causant des ravages à l'intérieur et à l'extérieur du pays». «Durant les années 70, nous étions capables d'affronter les grandes puissances du monde avant que l'Algérie ne soit réduite à affronter le terrorisme», regrette le candidat.
Faisant un bref comparatif entre la situation de l'Algérie à l'époque de Boumediene et celle sous sa houlette, Bouteflika dresse un constat avec beaucoup de diplomatie.
«Je ne sais pas si Boumediene serait heureux d'être parmi nous aujourd'hui, mais tout ce que je peux dire, c'est que je suis certain d'être sur la bonne voie dans la construction d'un pays dont ont rêvé nos camarades de lutte et dont lui-même a rêvé, que Dieu lui accorde Sa Sainte Miséricorde», affirme-t-il.
Les citoyens qui ont assisté à cette rencontre de proximité à laquelle étaient conviés des notables de la région et représentants de la société civile ont saisi cette opportunité pour soulever les manques dans la région tels les infrastructures hospitalières ou encore les chemins de wilaya.
«Je ne gère pas les hameaux, si je suis réélu à la tête de l'Etat, je consacrerai un budget à la wilaya dont la gérance appartiendra aux autorités locales», corrige-t-il.
Le candidat s'est également rendu, hier, dans la wilaya de Souk Ahras où il a effectué le traditionnel bain de foule.
L'unité nationale est intacte !
Revenant sur ses visites dans les deux wilayas de Tizi Ouzou et de Béjaïa, le candidat s'est dit «heureux» et «surtout agréablement surpris» par l'accueil qui lui a été réservé.
«Beaucoup d'observateurs prétendaient qu'il y a eu une fracture dans ce pays. A ceux-la je répondrai, tout simplement, que la fracture est dans vos têtes !», lance-t-il . .
Le candidat à sa propre succession, Abdelaziz Bouteflika, promet que s'il venait à être réélu à la tête de l'Etat, son prochain mandat sera consacré, dans sa grande partie, à la paix et à la stabilité. Dans la wilaya de Guelma où il s'est rendu au dixième jour de la campagne électorale, le candidat indépendant est encore une fois revenu sur la nécessité d'assurer «une bonne fois pour toutes un retour à la sécurité et à la paix».
Tout en prônant sa politique de réconciliation nationale qu'il poursuivra encore durant le prochain quinquennat, Bouteflika refuse d'entendre parler d'éradicateurs. «Les éradicateurs qui refuseront de déposer les armes seront éradiqués», clame-t-il.
Car, poursuit-t-il encore, «les civilisations ne peuvent se construire par des effusions de sang». Durcissant encore davantage le ton, le candidat promet que «l'Etat combattra avec rigueur et sans merci toute tentative d'atteinte à sa stabilité».
En entamant ce discours, Bouteflika reconnaît que celui-ci n'était, certes, pas prévu, mais il ne pouvait pas «en faire l'impasse dans une ville aussi historique que Guelma». Une ville qui a «enfanté des personnes tels que Salah Boubnider et Houari Boumediene». Parlant justement du parcours qu'il a eu à traverser avec le feu président, le candidat dit voir en lui «un aîné et un compagnon de première heure aussi bien durant la guerre de Libération qu'aprèsl'Indépendance». «Houari Boumediene, que Dieu ait pitié de son âme, a fait beaucoup de choses pour ce pays. Bonnes ou mauvaises? Je ne sais pas. Mais tout ce que je peux dire, c'est qu'à cette époque, son époque, les gens étaient heureux. Nous étions heureux !», affirme-t-il. D'autant plus qu'à cette époque la conjoncture n'était pas la même que celle actuelle et l'Algérie avait sa place dans le concert des Nations. «Je peux en témoigner car moi-même j'ai eu à gérer la diplomatie algérienne», se souvient-il.
Malheureusement, «les années du terrorisme qui ont suivi ont tout saccagé, causant des ravages à l'intérieur et à l'extérieur du pays». «Durant les années 70, nous étions capables d'affronter les grandes puissances du monde avant que l'Algérie ne soit réduite à affronter le terrorisme», regrette le candidat.
Faisant un bref comparatif entre la situation de l'Algérie à l'époque de Boumediene et celle sous sa houlette, Bouteflika dresse un constat avec beaucoup de diplomatie.
«Je ne sais pas si Boumediene serait heureux d'être parmi nous aujourd'hui, mais tout ce que je peux dire, c'est que je suis certain d'être sur la bonne voie dans la construction d'un pays dont ont rêvé nos camarades de lutte et dont lui-même a rêvé, que Dieu lui accorde Sa Sainte Miséricorde», affirme-t-il.
Les citoyens qui ont assisté à cette rencontre de proximité à laquelle étaient conviés des notables de la région et représentants de la société civile ont saisi cette opportunité pour soulever les manques dans la région tels les infrastructures hospitalières ou encore les chemins de wilaya.
«Je ne gère pas les hameaux, si je suis réélu à la tête de l'Etat, je consacrerai un budget à la wilaya dont la gérance appartiendra aux autorités locales», corrige-t-il.
Le candidat s'est également rendu, hier, dans la wilaya de Souk Ahras où il a effectué le traditionnel bain de foule.
L'unité nationale est intacte !
Revenant sur ses visites dans les deux wilayas de Tizi Ouzou et de Béjaïa, le candidat s'est dit «heureux» et «surtout agréablement surpris» par l'accueil qui lui a été réservé.
«Beaucoup d'observateurs prétendaient qu'il y a eu une fracture dans ce pays. A ceux-la je répondrai, tout simplement, que la fracture est dans vos têtes !», lance-t-il . .


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