Depuis les fortes chutes de pluie qui se sont abattues sur plusieurs localités, les partenaires de Coojal commencent déjà à s'inquièter. Ces inondations risquent de retarder le projet de l'autoroute dont les travaux sont entamés sur une longueur de 88,6 km dont 15,5 km passeront inélutablement par le Parc national jouissant pourtant d'une protection internationale "Convention de Ramsar". Nos partenaires japonais projettent de faire des études afin de pouvoir protéger leur projet et le réaliser dans les délais impartis. Les barrages de la wilaya, après les précipitations de fin de semaine, ont débordé. Les sept mois de pluie ont été catastrophiques pour les agriculteurs de la région et ont mis en péril de nombreux projets de développement. Pour juguler ce phénomène, des mesures drastiques ont été prises par les gestionnaires des deux barrages en collaboration avec les services hydrauliques de la wilaya. Des lachers d'eau ont été opérés au niveau du barrage de Bounamoussa d'une capacité de 160 millions de mètres cubes suite aux pluies torrentielles. On apprend que plus de 60 millions de mètres cubes ont été lachés en moins de 48 heures. Le barrage de Mexa dans la municipalité de Bougous, d'une capacité de 43 millions de mètres cubes, a subi le même sort. Les lachers d'eau ont eu pour conséquences la submersion de dizaines d'hectares de culture dans les communes de Zerizer, Ben M'hidi, Chatt Bouteldja et autres. Les responsables sont contraints de réactiver, dans les plus brefs délais, la réalisation des deux autres barrages situés dans le périmètre de Bouteldja. Les opérations ainsi effectuées, notamment le curage et les aménagements, ont montré leur limite. Elles ont consommé, sans donner de résultats probants, une somme de 48 milliards de dinars durant les 8 dernières années. Depuis les fortes chutes de pluie qui se sont abattues sur plusieurs localités, les partenaires de Coojal commencent déjà à s'inquièter. Ces inondations risquent de retarder le projet de l'autoroute dont les travaux sont entamés sur une longueur de 88,6 km dont 15,5 km passeront inélutablement par le Parc national jouissant pourtant d'une protection internationale "Convention de Ramsar". Nos partenaires japonais projettent de faire des études afin de pouvoir protéger leur projet et le réaliser dans les délais impartis. Les barrages de la wilaya, après les précipitations de fin de semaine, ont débordé. Les sept mois de pluie ont été catastrophiques pour les agriculteurs de la région et ont mis en péril de nombreux projets de développement. Pour juguler ce phénomène, des mesures drastiques ont été prises par les gestionnaires des deux barrages en collaboration avec les services hydrauliques de la wilaya. Des lachers d'eau ont été opérés au niveau du barrage de Bounamoussa d'une capacité de 160 millions de mètres cubes suite aux pluies torrentielles. On apprend que plus de 60 millions de mètres cubes ont été lachés en moins de 48 heures. Le barrage de Mexa dans la municipalité de Bougous, d'une capacité de 43 millions de mètres cubes, a subi le même sort. Les lachers d'eau ont eu pour conséquences la submersion de dizaines d'hectares de culture dans les communes de Zerizer, Ben M'hidi, Chatt Bouteldja et autres. Les responsables sont contraints de réactiver, dans les plus brefs délais, la réalisation des deux autres barrages situés dans le périmètre de Bouteldja. Les opérations ainsi effectuées, notamment le curage et les aménagements, ont montré leur limite. Elles ont consommé, sans donner de résultats probants, une somme de 48 milliards de dinars durant les 8 dernières années.