Avec l'arrivée du virus H1N1 de la grippe A et de sa propagation rapide sur le sol national, l'Etat a mis le paquet pour lutter contre cette pandémie et importer des doses suffisantes du nouveau vaccin. Avec l'arrivée du virus H1N1 de la grippe A et de sa propagation rapide sur le sol national, l'Etat a mis le paquet pour lutter contre cette pandémie et importer des doses suffisantes du nouveau vaccin. Quelque 20 millions de doses seront réceptionnées à partir de ce mois de décembre en Algérie. Ceci dit, cet arrivage rassurant pour certains coïncide avec une vive polémique autour du vaccin en question en raison des craintes exprimées par le personnel de la santé, à travers le monde. En effet, bon nombre de médecins, de différentes nationalités, ont affirmé que ce nouveau produit traitant la grippe "A" peut provoquer des effets secondaires dangereux pour la santé. L'efficacité du vaccin est ainsi remise en cause au moment où ses fabriquants insistent sur les tests cliniques positifs du produit. En outre, cette polémique s'est amplifiée depuis la mort de cinq personnes (4 Suédois et 1 Suisse) après avoir été vaccinés contre la grippe porcine. Pour tout cela, les citoyens de bon nombre de pays boudent cet antigrippe "A" et optent pour l'antigrippal classique. Au niveau national, et selon de sources hospitalières, le personnel médical, notamment, celui du CHU de Mustapha-Bacha, ont pratiquement refusé, quant à eux, de se faire vacciner contre la grippe A, toute en s'engageant à assurer la vaccination de la population. Une réticence inquiétante de ces professionnels de la santé qui suscite bien d'interrogations sur la dangerosité de ce vaccin. Cependant, aucun des professeurs en médecine, approchés hier, ne voulait s'étaler sur la question. Le doute sur l'efficacité ou non de ce vaccin demeure "pointu", et ce, en l'absence d'informations médicales et autres réponses rassurantes sur le sujets. «Personnellement, je refuse le vaccin contre le virus H1N1. Son efficacité n'est pas encore confirmée alors qu'on parle d'effets secondaires indésirables pour ne pas dire dangereux», nous dira une étudiante interne, approchée hier au Chu Mustapha-Bacha, avant d'ajouter «tous mes professeurs le refusent, cela explique tout». Il faut dire qu'au moment où les médias étrangers consacrent de sérieux débats sur cette polémique, le silence règne en Algérie. Les différentes chaînes de télévision étrangères ont repris et débattus, tout au long de la semaine, les dernières déclarations poignantes d'un professeur russe en neurochirurgie, le Dr Russell L.Blaylock, qui a appelé les citoyens à éviter le vaccin contre la grippe porcine. «Le vaccin contient un adjuvant dangereux nommé Squaléne (MF-59). Ce produit peut provoquer de graves maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, l'arthrite rhumatoïde et le lupus», a-t-il dit. Des déclarations peu rassurantes d'un neurochirurgien, qui affirme tout de même que la meilleure protection reste la vitamine D3. Cette dernière, poursuit-il, module la réaction immunitaire, réduisant le risque de réactions excessives. Elle stimule le corps à produire ce qu'on appelle des peptides antimicrobiens puissants destructeurs du virus qui ne font pas intervenir l'immunité. Les huiles de poisson contribuent également à réduire une réaction immunitaire excessive. Divers antioxydants peuvent aussi être utiles comme le curcuma, l'extrait de pépin de pamplemousse, la vitamine C, ainsi que la vitamine E naturelle. Quelque 20 millions de doses seront réceptionnées à partir de ce mois de décembre en Algérie. Ceci dit, cet arrivage rassurant pour certains coïncide avec une vive polémique autour du vaccin en question en raison des craintes exprimées par le personnel de la santé, à travers le monde. En effet, bon nombre de médecins, de différentes nationalités, ont affirmé que ce nouveau produit traitant la grippe "A" peut provoquer des effets secondaires dangereux pour la santé. L'efficacité du vaccin est ainsi remise en cause au moment où ses fabriquants insistent sur les tests cliniques positifs du produit. En outre, cette polémique s'est amplifiée depuis la mort de cinq personnes (4 Suédois et 1 Suisse) après avoir été vaccinés contre la grippe porcine. Pour tout cela, les citoyens de bon nombre de pays boudent cet antigrippe "A" et optent pour l'antigrippal classique. Au niveau national, et selon de sources hospitalières, le personnel médical, notamment, celui du CHU de Mustapha-Bacha, ont pratiquement refusé, quant à eux, de se faire vacciner contre la grippe A, toute en s'engageant à assurer la vaccination de la population. Une réticence inquiétante de ces professionnels de la santé qui suscite bien d'interrogations sur la dangerosité de ce vaccin. Cependant, aucun des professeurs en médecine, approchés hier, ne voulait s'étaler sur la question. Le doute sur l'efficacité ou non de ce vaccin demeure "pointu", et ce, en l'absence d'informations médicales et autres réponses rassurantes sur le sujets. «Personnellement, je refuse le vaccin contre le virus H1N1. Son efficacité n'est pas encore confirmée alors qu'on parle d'effets secondaires indésirables pour ne pas dire dangereux», nous dira une étudiante interne, approchée hier au Chu Mustapha-Bacha, avant d'ajouter «tous mes professeurs le refusent, cela explique tout». Il faut dire qu'au moment où les médias étrangers consacrent de sérieux débats sur cette polémique, le silence règne en Algérie. Les différentes chaînes de télévision étrangères ont repris et débattus, tout au long de la semaine, les dernières déclarations poignantes d'un professeur russe en neurochirurgie, le Dr Russell L.Blaylock, qui a appelé les citoyens à éviter le vaccin contre la grippe porcine. «Le vaccin contient un adjuvant dangereux nommé Squaléne (MF-59). Ce produit peut provoquer de graves maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, l'arthrite rhumatoïde et le lupus», a-t-il dit. Des déclarations peu rassurantes d'un neurochirurgien, qui affirme tout de même que la meilleure protection reste la vitamine D3. Cette dernière, poursuit-il, module la réaction immunitaire, réduisant le risque de réactions excessives. Elle stimule le corps à produire ce qu'on appelle des peptides antimicrobiens puissants destructeurs du virus qui ne font pas intervenir l'immunité. Les huiles de poisson contribuent également à réduire une réaction immunitaire excessive. Divers antioxydants peuvent aussi être utiles comme le curcuma, l'extrait de pépin de pamplemousse, la vitamine C, ainsi que la vitamine E naturelle.