Les vendredis s'égrènent, imperturbables, apportant chaque semaine plus de monde dans les manifestations, et plus de détermination des Algériens à ne pas avaler encore des couleuvres. Pourtant, les pourvoyeurs de couleuvres ne semblent pas désarmer. Ils tiennent à leur ligne, celle de l'autisme. Y aura-t-il un moment où ils comprendront et agiront plutôt comme l'armée portugaise en 1974 que l'armée soudanaise en 2019 ? A. T. [email protected]