Alors, comme ça, exhiber dans la rue un drapeau amazigh peut coûter aussi cher que les grosses affaires de corruption. D'ailleurs, il paraît que les manifestants coupables de cette hérésie qui déstabilise l'équilibre national ( chouf! ) ont été conduits à El-Harrach tout comme leurs illustres devanciers qui, eux, ont visiblement des dossiers un peu plus lourds. Le gag, ce serait un drapeau amazigh flottant sur la prison... A. T. [email protected]