Le Centre de la jeunesse de Z�ralda a abrit�, mercredi dernier, une c�r�monie de remise de dipl�mes � 90 directeurs et 50 gestionnaires de centres de vacances et de loisirs (CVL), en pr�sence de M. Yahia Guidoum, ministre de la Jeunesse et des Sports, de Abdelwahab Bouhara, directeur de l'Agence nationale des loisirs de la jeunesse (ANALJ), et des cadres de la jeunesse. Les cadres des CVL ach�vent ainsi leur formation entam�e en 2002, lors de deux stages th�oriques entrecoup�s d'un stage pratique dans un CVL. Ce cheminement a �t� cl�tur� par l'examen que les stagiaires ont subi en f�vrier dernier. Cette c�r�monie a �t� pr�c�d�e d'une exposition relative � la politique de formation. Le directeur de l'ANALJ qui l'animait a relat� tout le processus de formation initi� par cette structure, et ce, depuis la promulgation de l'arr�t� de janvier 2002. Cette c�r�monie a �t� �gay�e par une troupe de zorna et un spectacle pr�sent� par une partie des dipl�m�s. En reconnaissance � leur d�vouement dans la formation des cadres des CVL, les formateurs ont re�u � leur tour des dipl�mes d'honneur. Avant de se s�parer, tous les pr�sents ont �t� convi�s � une sympathique collation. Cela a permis � ces directeurs de discuter avec certains responsables sur les possibilit�s d'encadrer, l'�t� prochain, un CVL et pourquoi pas un des centres que g�re l'ANALJ. Pour rappel, cette structure organise, en sa qualit� d'op�rateur public de loisirs de la jeunesse, de multiples activit�s ludiques au profit de l'enfance et de la jeunesse, au niveau de ses 17 centres de vacances op�rationnels. Ce plan d'activit� est couronn�, durant la p�riode estivale, par l'organisation de s�jours dans les CVL pour les enfants des travailleurs des entreprises publiques. Pour cet �t�, l'ANALJ compte augmenter ses capacit�s d'accueil avec la prochaine r�cup�ration d'une dizaine de structures utilis�es par d'autres structures �tatiques. O. K.
FLN/PERTURBATION AU SEIN DE PLUSIEURS KASMAS "Nous refusons d'�tre guid�s" La nouvelle r�organisation de la maison FLN, du moins dans certaines localit�s de la capitale, notamment dans la circonscription de Bouzar�ah qui regroupe les communes de Birkhadem, El-Biar, Gu�-de-Constantine, Saoula, Hydra, Bouzar�ah et B�ni- Messous, ne semble pas satisfaire les militants de la base. La nouvelle instruction du secr�taire g�n�ral de l'exparti unique qui a charg� des superviseurs membres du comit� ex�cutif du conseil national pour installer les nouveaux mouhafedhs et nouvelles kasmas aurait �t� bafou�e par certains superviseurs, selon les militants du FLN. A titre d'exemple, le superviseur de Bouzar�ah qui tente d'expliquer les statuts et le r�glement int�rieur de ce vieux parti serait bouscul� dans deux, voire trois grandes communes, � savoir El-Biar, Gu�-de-Constantine et Saoula, et ce, pour une histoire d'accompagnement. En effet, ce superviseur est toujours accompagn� par l'ex-mouhafedh de Bouzar�ah, chose que les militants de la base ne semblent pas appr�cier d'autant plus que des amis � lui sont toujours sollicit�s pour barrer la route aux comp�tences comme le souhaitent et l'exigent les statuts et le r�glement int�rieur du parti. Pis, le superviseur, ancien militant de carri�re et connaissant les rouages et les coulisses, se fait malheureusement par un de ses coll�gues superviseurs de la mouhafadha de Bab-El- Oued et l'ex-mouhafedh. Jeudi dernier, la situation allait exploser si ce n'�tait l'intervention des sages, lorsque le superviseur s'est rendu dans la commune de Gu�-de- Constantine pour installer le bureau local. Des militants qui ont rendu visite � notre r�daction se sont plaints de la pr�sence de l'ancien mouhafedh. "Nous refusons d'�tre guid�s", disaient-ils avant de pr�ciser : "L'on se demande pourquoi cet ex-mouhafedh qui a d�j� par le pass� �limin� plusieurs comp�tences des courses aux l�gislatives et aux locales, accompagne toujours le superviseur ? Au lieu de venir superviser nos communes, qu'il aille superviser la circonscription de Bab-El-Oued, o� il est d�sign�". Enfin, les militants contestataires affirment que l'instruction de Abada n'est pas appliqu�e � ce jour. R. S.